Témoignage : entre déconfinement, médisance et providence divine
Je n’ai pas l’habitude de parler de mon quotidien, mais j’ai aujourd’hui à cœur de partager avec toi ce que l’Eternel m’a communiqué hier.
Dans les situations les plus banales, le Saint béni soit-Il n’est pas à cours d’idées pour nous enseigner et nous bénir, pourvu que notre cœur demeure dirigé vers le Ciel.
Hier, je suis sorti dans les rues parisiennes pour me rendre à la poste.
Fini le calme reposant des rues parisiennes : avec le déconfinement, il y a comme un retour à la normal.
Arrivée devant le bureau de poste, c’est un attroupement désordonné de plus d’une dizaine de personnes qui est là. Chacun attend son tour.
Il y a un vigile qui tente de réguler les entrées-sorties, comme c’était déjà le cas en période de confinement.
Les distances de sécurité ne sont pas respectées, certains se montrent impatients, il n’y a aucun rang, c’est un désordre.
Le vigile, un peu sous pression, peine quelque peu mais il fait de son mieux et semble sympathique.
J’essaie d’estimer si cela vaut la peine de patienter car je n’ai aucune envie de rester faire la queue pendant une heure.
A peine ai-je commencé ma réflexion qu’une dispute éclate. L’atmosphère change brutalement.
Parmi la foule, un ancien agent de sécurité (selon ses dires) méprise et insulte devant tous le vigile en fonction, car il estime qu’il fait mal son boulot et gère très mal les entrées.
Il parle violemment, avec beaucoup de haine et ce qui devait arriver arriva, ce verset s’accompli sous mes yeux : « une parole dure excite la colère. » (Proverbes 15 :1).
Le vigile en poste réplique alors, avec haine également, et tous les deux s’insultent et se dévorent devant tous, avec une certaine férocité.
Ils semblent presque prêts à se taper dessus. L’ambiance devient vraiment pénible, et comme plusieurs, j’ai presque envie d’intervenir.
Mais une pensée suivie d’une grande paix vient sur mon âme…
Sans crier gare, l’enseignement méditer quelques jours plus tôt est remonté dans mon cœur :
« C’est un honneur pour l’homme de se tenir loin des disputes » (Proverbes 20 :3). Les Sages commentent ce verset dans le midrach :
« Si c’est un honneur de se tenir loin d’une querelle personnelle, à plus forte raison faut-il éviter de se mêler des querelles des autres !
D’ailleurs, n’est-il pas dit : « Comme celui qui saisit un chien par les oreilles, Ainsi est un passant qui s’irrite pour une querelle où il n’a que faire. » (Proverbes 26 :17) –
Et là, je reçois un premier enseignement des plus délectable et je me dis : qu’il est bon d’étudier au quotidien la Torah de l’Eternel !
Comme le dit David : « La Parole de Dieu est un bouclier » et encore : « Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, Et il ne leur arrive aucun malheur. » (Psaumes 119 :165).
Et effectivement, quel paix lorsque cet enseignement, si simple, est monté dans mon cœur. Et quel bouclier !
Comme il est dit dans la loi du langage 88 :
« Chimon, fils de Rabban Gamliel dit : « Toute ma vie j’ai grandi parmi les sages et je n’ai rien trouvé de meilleur pour l’homme que le silence ».
Le simple fait d’observer la loi de Dieu, pour la simple raison qu’il s’agit de Sa loi, procure une grande joie et beaucoup de paix !
On a beau se dire croyant, parfois dans des situations imprévues, chargées de tension, on ne sait pas toujours comment agir convenablement, on brûle d’envie de parler, d’intervenir, et cette hésitation vient troubler notre paix.
Mais lorsque la Loi de Dieu vient à propos nous dire quoi faire avec précision : quelle paix !
Je suppose que tu l’expérimentes toi aussi régulièrement :
lorsque nous sommes régulièrement affairés à étudier la Torah, sans jamais louper son rendez-vous quotidien, alors, la loi magnifique de Dieu, se grave dans notre cœur, et nous est communiquée au moment propice, par le souffle Saint.
Grâce aux lois divines, et ici grâce aux lois du langage, les situations les plus tourmentées deviennent des havres de paix car nous savons précisément comment il convient d’agir, avec confiance, selon la Torah du Maître de tous les mondes.
Cela procure vraiment une grande assurance et une grande sérénité.
Je me suis alors mis à prier en secret afin que la colère et l’animosité quittent ces personnes sans me mêler d’une « querelle où je n’ai que faire » !
Grâce à Dieu, la dispute s’est calmée quelques minutes plus tard, et le calme est revenu.
J’ai décidé d’attendre mon tour.
Au bout de quelques minutes, voici qu’une vieille femme très âgée passe innocemment devant moi et devant d’autres personnes.
Il me semblait très clair qu’elle ne voulait pas mal faire, elle n’a pas fait attention. Et qui pourrait lui en vouloir de ne pas faire la queue vu son grand âge ?
La loi de l’Eternel nous demande d’honorer et de témoigner beaucoup de respect pour les « cheveux blanc » et c’est donc avec plaisir que j’ai laissé cette vieille femme passer sans dire mot, elle est largement prioritaire.
Mais voici qu’une autre femme, moins âgée mais d’un certain âge quand même, va pour la rattraper, affichant son mécontentement, parlant à haute voix pour qu’on l’entende, médisant sur cette très vieille femme:
« Ce n’est pas parce qu’elle est vieille que… ! »
Et là, j’interviens, sans agressivité, pour lui faire comprendre qu’au contraire, son grand âge lui donne nettement la priorité.
La femme se calme et me fait gentiment comprendre qu’elle aussi a les jambes fatiguées et tremblantes.
J’ai alors fait ce qui me semblait le plus juste :
sans chercher à polémiquer, je lui ai demandé de bien vouloir passer elle aussi devant moi en lui faisant comprendre que c’est naturel : elle aussi est effectivement prioritaire…
C’est là qu’une chose assez belle se passe.
En à peine quelques minutes, comme par un “coup de baguette magique”, la troupe se dissipe rapidement, ceux que j’ai laissé passer rentrent, et je me retrouve subitement le prochain sur la liste à pouvoir rentrer et… plus personne devant moi !
A ce moment-là, assez étonné du changement de situation, je décide de me retourner pour regarder en arrière ce qui se passait, et stupéfaction : c’est une longue file d’attente ordonnée que je vois s’étendre sur une bonne vingtaine de mètres !
Je n’ai rien compris !
Pourtant, le message était clair, mais il semble que les yeux de mon cœur « étaient empêchés de le reconnaître. » (Luc 24 :16)
Ce n’est qu’un peu plus tard, en rentrant à la maison, et en discutant de cette sortie avec mon épouse, que Dieu m’a ouvert les yeux avec cette parole très connue du Messie Yéshoua:
« Et voici, plusieurs des derniers seront les premiers. »
J’ai alors médité sur la puissance de Dieu et à quel point effectivement « Notre Dieu est au ciel, Il fait tout ce qu’il veut.» (Psaumes 115 :3) et « ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité. » (Psaumes 84:12)
Tandis qu’il y avait une foule et de la tension, l’observance de Sa Torah a amené de la paix, beaucoup de joie et les « vieillards ont été honorés ».
Puis, dans le même mouvement, tandis que j’étais derrière la foule désireuse de rentrer, je fus soudainement placé premier d’une longue file d’attente, par la providence en action.
Il est clair que l’intention du cœur est très importante :
Lors de cette simple sortie, sur le chemin, avant d’arriver au bureau de poste, je faisais « des réflexions au dedans de mon coeur, et mon esprit méditait sur les voies de Dieu » (Psaumes 77 :7).
Mon désir, sincèrement, était de plaire à Dieu. Disons que j’étais particulièrement bien disposé ce jour là.
Alors, d’un seul coup, pour le simple fait d’avoir accepté d’être dernier dans la file d’attente pour avoir « honoré la personne du vieillard » (Lévitique 19 :32), voici que l’Eternel, par un concours de circonstance improbable et réellement miraculeux, a dissipé la foule et m’a placé, en l’espace de quelques instants, en tête de liste afin que la parole du Messie Yéshoua puisse s’accomplir réellement, littéralement !
Oui, plusieurs de ceux qui acceptent d’être les derniers pour honorer la Parole de Dieu, se retrouveront être les premiers !
Techniquement, je n’y ai rien compris mais cela s’est passé. Par contre, j’ai bien compris la portée de cette parole :
« Les paroles de l’Eternel sont des paroles pures, Un argent éprouvé sur terre au creuset, Et sept fois épuré. » (Psaumes 12 :7)
Je n’ai pas vécu cela uniquement pour être béni dans mon coin mais aussi pour partager ces choses avec toi au travers de cet email.
Car les Sages, sur ce psaume 12:7, sont très clairs :
« Un jour, tout le monde reconnaîtra la perfection des exigences de la Torah et cette reconnaissance mènera à l’extinction du mal.
Les promesses et les paroles d’Hachem [Dieu] ressemble à de l’argent raffiné dont la qualité est visible à tous »
Je sais aussi que ce n’est pas sans raison qu’en si peu de temps, de telles médisances sont parvenues à mes oreilles…
J’ai réfléchi à ce qui s’est passé.
Tellement de lachon hara (mauvaise bouche, médisance, calomnie) dans un si court laps de temps, lors d’une si banale sortie !
Mais le monde n’a-t-il donc pas pris la moindre leçon de ce confinement ? N’est-il pas rentré un peu en lui-même afin de corriger un minimum ses voies ?
Ce confinement et cette pandémie n’ont-ils pas réussi à changer quelque peu les cœurs en leur apportant un peu d’humilité ?
Le monde n’a-t-il pas compris le message de ce masque placé devant la bouche ?
Dans ma naïveté, je pensais que cette épreuve allait peut-être rendre les gens un peu plus humbles et que beaucoup réfléchiraient et comprendraient l’importance de prendre ses responsabilités et de modifier son attitude, notamment sa façon de parler et de considérer son prochain…
Je pensais ou plutôt, j’espérais un réel changement dans les comportements.
Mais à peine déconfiné on s’insulte et on recommence comme avant ? Méchanceté, haine, médisance, mépris !
Visiblement, rares sont ceux qui semblent faire le lien entre leur comportement et les maux qui frappent notre planète.
C‘est tellement facile de voir la faute ailleurs que chez soi.
Puis ce verset étudié récemment dans la vidéo 5 du coronavirus, est remonté dans mon ceur :
Après avoir vidé et rendu désert les rues d’une antique ville inique (cela ressemble fort à un confinement), l’Eternel déclare dans le verset suivant :
« Je disais : Si du moins tu voulais me craindre, Avoir égard à la correction, Ta demeure ne serait pas détruite, Tous les châtiments dont je t’ai menacée n’arriveraient pas; Mais ils se sont hâtés de pervertir toutes leurs actions. » (Sophonie 3 :7)
Et la suite, au verset 8 est terrible :
« C’est pourquoi attendez-moi, dit l’Éternel, au jour où je me lèverai pour le butin. Car j’ai résolu de rassembler les nations et de réunir les royaumes, pour répandre sur eux mon indignation »
Mon objectif n’est pas de passer pour un “prophète de malheur” mais si on ne prend pas à cœur les messages envoyés par le Ciel, l’avenir risque d’être terrible. Le verset ne laisse pas l’ombre d’un doute.
C’est pourquoi, même si nous en avons déjà suffisamment parlé, il faut insister comme jamais : notre bouche est le cœur du problème.
C’est absolument certain : une des causes spirituelles, profondes et principales des maux qui frappent notre monde provient de notre bouche.
Bien évidemment, ce qui sort de notre bouche dépend de notre cœur, mais si seulement nous étions capables de tenir notre « langue en bride » (Jacques 1:26) un peu plus souvent au lieu de répandre le mal si facilement, cela nous serait déjà très profitable…
Les Sages enseignent que la mauvaise bouche envers notre prochain, la médisance et une langue dure, constituent de véritables armes de destruction massive.
Le si petit membre de la langue est responsable de si grands fléaux…
Il faut que le chose se grave en nous :
Spirituellement, chaque médisance, aussi petite soit-elle, chaque mauvaise parole, met en mouvement des forces de destruction qui finissent par s’abattre sur le monde, et se matérialisent sous diverses formes telles que des pandémies par exemple.
Le ‘Hafets ‘Haïm, grand spécialiste des lois du langage, dit que « la faute du Lachon Hara (mauvaise bouche, médisance) est pire que la faute physique » car elle souille l’homme créé à l’image de Dieu et souille l’outil spirituel précieux que Dieu nous a donné : la parole.
Il dira aussi :
« La médisance est un acte de rébellion, du rejet du joug de la royauté céleste et une profanation du nom de Dieu. Et la faute est encore bien plus grave si elle est commise devant une grande assistance, puisqu’elle entraîne une profanation publique du Nom de Dieu ».
Comme le dirait un texte ancien :
« Beaucoup ont péri par le tranchant de l’épée ; mais pas autant que ceux qui ont péri par la langue. »
Si nous ne réparons pas au plus vite ce funeste travers, ce sont des forces de destruction massives et bien réelles que nous attirons sur nos têtes comme nous le voyons.
Si avec notre bouche, nous disons du mal de notre prochain, si nous le mettons dans l’embarras et le diminuons par nos mauvaises paroles, si nous lui faisons un mauvais renom, c’est comme si nous le détruisons.
Et alors mesure pour mesure : la destruction arrivera tôt ou tard sur notre vie, d’une façon ou d’une autre : confinement, épidémie, pauvreté, maladie, souffrances en tout genre…
Dans la perle du Savoir 225 évoquée par une sœur dans la foi il y a peu, on peut lire :
« Vois et comprends le pouvoir destructeur de la médisance et la sévérité avec laquelle l’Eternel Dieu traire ce problème :
Myriam pour quelques paroles négatives émises sur le serviteur de Dieu Moïse, quand bien même elle s’imaginait légitime, fut frappée physiquement par la lèpre sur l’ensemble de son corps.
Elle fut ensuite isolée/confinée durant 7 jours et sévèrement réprimandée par le Tout-Haut.
C’est seulement grâce aux cris et à la prière implorante d’Aaron et de Moïse qu’elle fut délivrée comme il est dit :
« Alors Moïse cria à l’Éternel, en disant: O Dieu, je te prie, guéris-la, je te prie ! Et l’Éternel répondit à Moïse: Si son père lui avait craché au visage, ne serait-elle pas couverte de honte pendant sept jours? Qu’elle demeure enfermée sept jours, hors du camp, et après cela elle y sera reçue. Ainsi Marie fut enfermée sept jours hors du camp; » (Nombres 12:14-15)
Vois et comprends le pouvoir destructeur de la médisance :
Les explorateurs, pour avoir émis quelques paroles négatives sur la terre sainte du Fort d’Israël, entrainèrent le peuple tout entier dans l’errance et la mort et repoussèrent de beaucoup leur entrée en Israël :
une errance de 40 années dans le désert, beaucoup de peine, de pleurs et de souffrance.
La mort fut décrétée à cause de la seule médisance comme il est dit :
« Et vos enfants connaîtront le pays que vous avez méprisé [par vos médisances]. Mais vos cadavres, à vous, tomberont dans ce désert (…) vous porterez la peine de vos iniquités pendant quarante ans » (Nombres 14:32,34)
Oui Yaacov (Jacques) dit juste : ce petit membre qu’est la langue, telle l’étincelle, « peut embraser une grande forêt » et attirer de si grands et graves maux !
Son pouvoir de destruction est immense et notre tragique ignorance de lois du langage telles qu’elles sont rapportées dans les Textes Saints, est un vrai problème.
Nombreux sont ceux qui sont pris dans les filets pernicieux de cette faute,
(…)
Comme dirait le Rav Ouaknin : « Si D.ieu crée le monde matériel, ex-nihilo, juste à partir de Sa Parole, l’homme possède un pouvoir similaire, mais dont les conséquences sont destructrices. »
Puisse l’Eternel nous aider à fuir cette terrible transgression car assurément, aujourd’hui encore, bien des souffrances, des fléaux et des épreuves touchent le peuple de Dieu et le monde entier à cause de l’ignorance des lois du langage ! »
Ma simple sortie quotidienne à ce bureau de poste, m’a rappelé à l’ordre sur le fléau de la langue.
En quelques minutes, tant haine dans les cœurs, tant de médisances !
Voilà cher lecteur, je tenais à partager avec toi ces quelques réflexions, importantes selon moi, afin de ne surtout pas relâcher notre vigilance.
Notre ignorance des lois du langage cause beaucoup de souffrance. On ne reviendra donc jamais assez sur ce sujet, tant que ce mal persistera.
Voyant cela, je ne te cache pas que je suis malgré tout bien heureux d’avoir pu mettre en place le grand « module audio des lois du langage » et comme dirait Paul :
« non pas moi pourtant, mais la grâce de Dieu qui est avec moi. » (1 Corinthiens 15 :10).
178 lois étudiées à un rythme progressif, pas à pas, chaque jour, sur 3 mois environ, cela vaut la peine et ce n’est pas si dur.
Personnellement, j’en ai goûté les bons fruits et c’est pourquoi j’ai mis en place ce module.
De plus, un mail est envoyé quotidiennement le matin pour rappeler l’étude des 2 lois du jour.
A peine 30 minutes par jour en moyenne consacrées à un travail spirituel de la plus haute importance.
Au fur et à mesure des lois, les choses s’affinent dans notre esprit, deviennent plus évidentes et on devient, par l’assiduité dans cette étude, beaucoup plus prudent avec notre bouche.
Et en bout de course, les lois du langage nous permette d’accéder à ce véritable amour du prochain :
regarder autrui avec un bon œil, en le jugeant favorablement et en fuyant comme la peste toute médisance, tout ce qui pourrait lui causer du tort et le diminuer aux yeux des autres.
Si ce n’est pas encore fait, tu as la possibilité de suivre ce module, je t’y encourage.
Pour en savoir plus, tu as toutes les informations sur cette page : Module sur les Lois Du Langage
Que l’Eternel nous bénisse en Yéshoua, nous préserve, et nous donne de persévérer ensemble dans ce bon combat de la foi.
Si Dieu le permet, à bientôt dans le module.
Thomas.
Combattons le fléau de la médisance en étudiant ensemble les Lois du Langage :
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Je suis une fidèle lectrice des lois du langage, je peux témoigner qu’il s’agit d’une oeuvre de salut publique, J’ai juste ajouté en plus une prière ardente, afin que l’Eternel me donne la force de contrôler mes pensées, car elles sont la source du langage, bon ou mauvais, et c’est merveilleux , je suis devenue “prudente” grâce à la fidélité de notre Père qui nous enseigne avec douceur mais avec sévérité aussi ! ginette