Prodiges dans la cacherout ! L’inspiration divine de la Torah écrite et orale des Sages d’Israël démontrée dans les lois alimentaires (Paracha Chémini)
« Tu es proche, ô Éternel ! Et TOUS tes commandements sont la vérité. Dès longtemps je sais par tes préceptes Que tu les as établis pour toujours. » (Psaumes 119.151-152)
Introduction
La Paracha Chémini (Lévitique 9:1 à 11:47) est connue pour son grand chapitre consacré aux lois divines alimentaires données au peuple de Dieu – et à tous ceux qui les rejoindraient à l’avenir, qu’ils soient arabes, africains, asiatiques ou européens, russes, américains ou chinois – afin que tous apprennent à manger sainement selon la volonté de Dieu comme il est dit en conclusion de ce chapitre :
« Car je suis l’Eternel, qui vous ai fait monter du pays d’Égypte, pour être votre Dieu, et pour que vous soyez saints; car je suis saint. » (Lévitique 11:45)
Malheureusement encore méconnues chez quantité de croyants parmi les nations, les lois alimentaires regorgent d’immenses trésors spirituels, d’innombrables secrets et des aspects sublimes reflétant la sagesse infiniment variée du Créateur.
De l’aveu de multitude de croyants ayant pris au mot le Créateur dans le domaine de la cacherout : ce sont assurément de grandes bénédictions spirituelles qui sont offertes à tous ceux qui croient et font confiance au Nutritionniste en Chef du vaste Univers.
Et comment en serait-il autrement ? Le Créateur a jugé utile de consacrer, dans Son “Livre de la vérité”, près de deux chapitres entiers pour ce seul commandement (Lévitique 11 et Deutéronome 14, entre autres) : la chose est unique.
Les lois alimentaires ont été données par le seul vrai Dieu pour le bonheur de tous ceux qui se confient en Lui et c’est un vrai tour de force de la part du malin que d’avoir enseigné contre ces lois par le biais d’une doctrine absolument pernicieuse déclarant la fin des lois de cacherout depuis la venue du Messie sur cette terre dans les années 30 de notre ère…
Le fait est étonnant puisque Yéshoua lui-même a déclaré avec toute son autorité : “Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi [ce qui inclue bien évidemment la cacherout en lévitique 11]” (Matthieu 5:17).
Et pourtant, au travers de l’histoire, ce sont quelques milliards de croyants qui persistent et restent persuadés du contraire : pour eux, la venue du Messie met un terme aux lois de cacherout.
Plusieurs autres lois divines ont subit le même sort à cause de cette doctrine extraordinairement grave puisqu’elle touche et retranche directement à la Parole du Créateur, comparée aussi à l’arbre de vie.
“Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout”, et bien heureusement, le mensonge n’est pas voué à durer : Les lois alimentaires demeurent consignées dans Le seul Livre Saint qui est révéré par des milliards de personnes sur cette terre, et ce sont de plus en plus de croyants qui, repoussant avec force et courage l’erreur, se désolidarisent de cette fausse doctrine et décident d’observer et de considérer toutes les prescriptions du Créateur, lois alimentaires incluses.
Après tout, ce n’est qu’une simple question de bon sens : si nous faisons confiance et louons les compétences d’un docteur de chair mortel, ne ferions-nous pas à plus forte raison confiance au Docteur en chef de l’univers, le Dieu d’Israël glorieux et immortel ? Et s’Il nous dit quelle nourriture manger et laquelle ne pas manger, ne l’écouterions-nous pas ?
Si nous plaçons notre confiance dans des ordonnances et des prescriptions humaines données par un docteur humain, ne placerions-nous pas à plus forte raison notre confiance dans l’ultime médecin des médecins, le docteur des docteurs, l’Auteur des esprits de toute chair, le Dieu d’Israël ?
Ce sont d’innombrables bénédictions qui sont dissimulées au sein des lois alimentaires. Cette étude s’attachera à approfondir quelques aspects particuliers et bénis que nous offre l’analyse de ces lois.
Car contre toute attente, il s’y cache des données scientifiques dignes d’admiration qui, en dévoilant L’Omniscience et l’inspiration divine absolue de La Torah, ne peuvent que conduire le lecteur à glorifier l’Éternel Son Créateur et à renforcer sa foi.
Nous exposerons notamment 3 données scientifiques qui témoignent de la sagesse supérieure et proprement divine qui imprègne toute la Torah d’Israël.
Nous apprécierons, par la même occasion et une fois encore, la sagesse que Dieu a accordée aux sages d’Israël, ceux à qui « les oracles de Dieu ont été confiés » (Romains 3.2).
1) Omniscience du Créateur mise en lumière par les Sages dans les lois sur les animaux purs et impurs
Lévitique 11 : 1-3 définit certains interdits alimentaires de la façon suivante :
« L’Éternel parla à Moché et à Aharon, en leur disant : Parlez ainsi aux enfants d’Israël. Voici les animaux que vous pouvez manger parmi tous les quadrupèdes qui vivent sur terre, tous les animaux qui ruminent et ont le pied corné divisé en deux ongles ».
Le sabot fendu et la rumination.
Dans la suite des versets, la Tora nous révèle un secret surprenant :
Les Sages d’Israël nous font remarquer que parmi les millions d’espèces présentes dans le monde, seuls quatre animaux ne possèdent pas simultanément ces deux propriétés (rumination et sabot fendu).
Chez ces 4 bêtes, soit ils ruminent, mais n’ont pas le sabot fendu, soit leur sabot est fendu, mais ils ne ruminent pas.
Chez tous les autres animaux, ces deux propriétés vont obligatoirement de pair. Les deux signes sont présents simultanément ou sont tous deux absents.
Ainsi, seuls quatre animaux possèdent seulement un des deux signes.
La Tora (Lévitique 11, 4-7) précise également les noms de ces animaux et le signe de pureté présent chez chacun d’entre eux.
« Quant aux (animaux) suivants qui ruminent ou qui ont le pied corné, vous n’en mangerez point »
– Le chameau, parce qu’il rumine, mais n’a point le pied corné, sera impur pour vous
– La gerboise, parce qu’elle rumine, mais n’a point le pied corné, elle sera impure pour vous
– Le lièvre, parce qu’il rumine, mais n’a pas le pied corné, sera impur pour vous
– Le porc, qui a bien le pied corné, mais ne rumine point, sera impur pour vous.
Résumons et soyons attentifs à ce qui vient d’être dit.
La Torah il y a plus de 3500 ans, déclare :
Seuls le chameau, le lièvre et la gerboise ruminent, mais n’ont pas le sabot fendu.
Seul le porc a le sabot fendu, mais ne rumine pas.
Chez tous les autres animaux du monde, ces deux propriétés vont de pair.
Courte digression sur les enseignements des Sages d’Israël
Puisque nous allons présenter ici quelques paroles des Sages d’Israël, il semble opportun et important d’apporter quelques précisions.
Plusieurs ne comprennent pas l’importance de la loi orale et des paroles des sages d’Israël.
À cause de quelques versets de l’Évangile mal compris, ils s’en méfient et s’en éloignent par prudence. Sans enseignements à ce sujet, il est tout à fait normal d’avoir ce type de comportement.
Toutefois, il existe une autre catégorie de croyants beaucoup moins circonspects, qui, dans l’arrogance et l’orgueil de leur coeur, vont jusqu’à parler avec mépris, voire « d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent » (Jude 1:10 – 2 Pierre 2:12)
Comme un frère dans la foi l’a très justement expliqué, rappelons que « Yéchoua (Jésus), tout comme ses disciples et les Apôtres, a toujours observé les prescriptions “rabbiniques” [Loi orale des Sages] de son temps.
Paul a même déclaré n’avoir jamais RIEN fait contre les traditions des SES pères. (Actes 28:17) et Yéchoua les respectait aussi : il allait à la synagogue (invention rabbinique), il priait avant de manger (une autre invention rabbinique), il a observé le sédèr de Pessa’h (rituel de pâque selon la manière du Pharisien Hillel), il était invité à la table des Pharisiens (impossible pour un simple homme qui refuserait d’observer les prescriptions des Pharisiens), il se lavait les mains avant de manger, il a participé aux fêtes de l’Éternel, à celle de ‘Hanoukah (non prescrite dans la Torah), a validé la pertinence et l’aspect prophétique et messianique de la cérémonie du puisage de l’eau à Souccot (Invention rabbinique), il lisait depuis les prophètes dans la synagogue (selon sa coutume, lire les prophètes est aussi une tradition de la part des Scribes);
Et sans compter que tout ce qu’il a enseigné… Tout cela est tellement traditionnel et ancré dans le Judaïsme de son époque que même aujourd’hui nous pouvons retrouver chacune de ses réflexions et conclusions dans le Judaïsme qui s’est développé depuis avant même sa naissance jusqu’au Judaïsme des Hassidiques de notre époque.
Actuellement, tout dit Messianique, juif Messianique, ou “vrai” disciple de Yéchoua, ou chrétien qui croit en Yéchoua et qui lit sa Torah en français, en anglais ou toute autre langue que l’hébreu, se réfère à une interprétation faite par les autorités juives lorsqu’ils décidèrent de “fixer” le sens des mots et des phrases retrouvés dans la Torah. Car l’hébreu sans voyelle peut s’interpréter comme on le veut.
Donc vouloir “lire la Bible sans l’interprétation des sages d’Israël” est tout simplement utopique et impossible. Il y a toujours une interprétation faite pour nous. » .
Un autre exemple parmi tant d’autres : vous ne trouverez nul par dans les Saintes Écritures des indications sur le mode opératoire de la circoncision.
En effet, nulle part il n’est précisé que la circoncision consiste à découper le prépuce d’une certaine façon.
Le texte hébreu parle d’une excroissance sans rien préciser d’autre. Impossible de savoir qu’il s’agit précisément du prépuce à découper, ni de quelle façon procéder, si ce n’est en regardant les prescriptions données à ce sujet dans la loi orale :
Là encore, nous voyons l’importance de la loi orale que Yéshoua approuvait.
Ce que Yéshoua rejetait, ce sont certains rajouts d’hommes ou comportements qui venaient anéantir la Torah et l’Esprit de la Torah.
Comme partout – et le christianisme n’en est absolument pas épargné – certaines dérives ont existé annulant « ainsi la parole de Dieu au profit de la tradition » (Matthieu 15:6), et le judaïsme ne s’en est jamais caché.
Cependant, ces errements inhérents à la nature humaine n’invalident en rien l’immense sagesse et richesse des enseignements des Maîtres d’Israël et de la tradition.
« À présent, si nous nous taisons après avoir entendu des jugements méprisants portés contre les sages antiques, nous pécherons et nous serons en faute. Et nous leur aurons ainsi rendu le mal pour le bien, car eux voulaient nous donner des choses dignes d’estime et magnifier la Torah de Dieu. Ainsi, celui qui exprime son mépris à l’égard des sages se range dans la catégorie de ceux qui disent que la Torah n’a pas été révélée par Dieu » (Maharal de Prague) ! À méditer.
Si le sujet de la Torah orale intéresse le lecteur, nous lui recommandons cette étude complète : Réponses aux mensonges et diffamations contre le Talmud et les rabbins – Paracha Kora’h
Fin de digression et retour à l’étude
Ces précisions faites sur les Sages authentiques, apprécions maintenant leurs enseignements et reprenons là où nous en étions.
Il y a plus de 3500 ans, la loi de Dieu (Torah écrite) nous informe que seuls le chameau, le lièvre et la gerboise ruminent, mais n’ont pas le sabot fendu.
Et seul le porc a le sabot fendu, mais ne rumine pas.
Chez tous les autres animaux du monde, ces deux propriétés vont de pair.
La Torah orale vient expliquer la Torah écrite en nous faisant part des implications considérables de cet axiome en matière religieuse.
La Guémara dans le traité de ‘Houline 59a rapporte ainsi :
« En se promenant, il (quelqu’un) trouve une bête dont la bouche est coupée [arrachée] ; c’est-à-dire qu’il ne sait pas si elle rumine, car d’après l’emplacement des dents, il aurait été possible de déterminer le degré de rumination (mais si sa bouche est coupée, on ne peut le distinguer).
Il vérifie (alors) les sabots. Si ses sabots sont fendus [et qu’il ne s’agit pas d’un porc, facilement reconnaissable)] on sait qu’elle (la bête) est pure. Sinon, elle est impure » (ceci à condition de connaître le porc, le seul à avoir le sabot fendu et qui ne rumine pas).
Rabbi Ichma’èl nous enseigne :
« Le Maître du Monde sait qu’il n’existe qu’un animal qui ait le sabot fendu et qui soit impur, c’est le porc. »
Nos Sages ont ajouté dans la Béraïta (Sifré, Parachate Réé, 102) :
« Ce sont là les seules espèces que vous ne consommerez pas ».
« Moché (Moïse) était-il chasseur ? » (Comment pouvait-il donc connaître toutes les espèces d’animaux qui existent sur l’ensemble de la planète, et définir les interdits alimentaires par des signes, sans les énumérer ?)
Et les sages poursuivent :
« De là, on peut répondre à ceux qui prétendent que la Tora ne vient pas du Ciel ! »
Le Rav Baroukh Epstein de Finsk, dans son ouvrage Tora Témima (Vaïkra 11, signe 17), renforce l’idée de Rabbi ‘Akiva:
« Voilà la preuve que la Tora a été donnée par une Force Divine Supérieure. Car l’homme n’est qu’un homme et ne peut décider que seuls ces signes distinguent les animaux : pas d’autres signes. »
En effet, l’enseignement des Sages est très risqué :
Peut-être existe-t-il, dans un pays lointain, d’autres animaux répondant aux mêmes propriétés que le chameau, le lièvre, la gerboise et le porc !?
Peut-être au cours des années, un autre homme cherchera et trouvera d’autres animaux interdits !?
Mais Hakadoch Baroukh Hou (Le Saint Béni soit-il), Lui Seul, sait qu’il n’y a pas d’autre espèce d’animaux ayant seulement un des signes de pureté, et ce sont ses enfants (le peuple juif) qui ont reçu ce secret par tradition et c’est ce que nous découvrons aujourd’hui puisque :
Depuis le don de la Tora, aucun chercheur ni aucun explorateur n’a découvert jusqu’ici d’espèce nouvelle de ce type ! Telles sont les merveilles du Créateur et de sa Loi .
Une centaine d’années s’est écoulée depuis la rédaction de ces phrases par le Rav Epstein Zatsal, plus d’un siècle durant lequel la science moderne n’a eu de cesse de progresser pour découvrir de nouvelles créatures à travers le monde.
On pourrait même établir formellement que depuis le Don de la Tora, c’est-à-dire depuis plus de 3000 ans, on a pu recenser tous ou presque tous les animaux et les bêtes sauvages existant sur terre.
Et parmi ces milliers d’êtres vivants, pas un seul ne ruminait ou n’avait uniquement le sabot fendu, hormis ceux qu’a précisés la Torah.
Chez toutes les autres espèces, on trouve soit les deux propriétés, soit aucune d’entre elles ! (1)
Oui, les sages d’Israël nous offrent une preuve simple, mais grandiose de l’inspiration divine de la Torah qui aujourd’hui encore s’avère véridique et irréfutable !
Un homme a dit un jour que la zoologie avait trouvé un autre animal que le porc qui a les sabots fendus sans ruminer : le pécari, un mammifère d’Amérique du Sud.
Le Rav Marc Meyer du site Téchouvot répond à cela :
« Dommage, car le pécari n’est qu’une sorte de ‘Hazir”, [porc en hébreu]. Le phacochère, le babiroussia etc., sont tous des sortes de porcs.
La classification zoologique peut être retrouvée sur ce site : pigtrop.cirad.fr
On a d’ailleurs cru, il y a de cela quelques 20 ans ou plus, et la presse mondiale s’en est fait l’écho, que le phacochère ruminait ! Après vérifications le soufflé est tombé. »
Mais ce n’est pas tout, la Torah, commentée par les sages d’Israël dans la Loi orale, fait ressortir une autre prouesse liée aux lois alimentaires au sujet des créatures marines…
2) Omniscience divine révélée par les créatures marines : les écailles, les nageoires et l’analyse étonnante des sages d’Israël
Rappelons-nous du verset en question : « Voici les animaux dont vous mangerez parmi tous ceux qui sont dans les eaux.
Vous mangerez de tous ceux qui ont des nageoires et des écailles (…) Vous aurez en abomination tous ceux qui, dans les eaux, n’ont pas des nageoires et des écailles. » (Lévitique 11.9-12).
Nous apprenons dans la Guemara ( ‘Houlin 66b) :
« Tout ce qui possède des écailles possède des nageoires, et certains poissons possèdent des nageoires et pas d’écailles. »
La Torah nous enseigne donc qu’un poisson est pur et apte à être consommé à deux conditions : Il faut qu’il ait des nageoires et des écailles.
Si le poisson a des nageoires, il faut vérifier aussi qu’il a aussi des écailles. C’est alors qu’il est cachère.
Tandis que, nous disent les sages, s’il a des écailles, il est inutile de vérifier la présence de nageoires, Il est cachère et a forcément des nageoires.
Là encore, si elle n’était pas d’inspiration divine, une telle affirmation de la part des sages serait très risquée !
Comment peut-on être sûr qu’un poisson qui a des écailles a forcément des nageoires ? Est-ce que nos Sages ont fouillé toutes les mers du monde [et si abondantes en espèces inconnues du temps de ces affirmations] ? Et pourtant, ils ont raison…
Aujourd’hui encore la science n’a pas démenti cette affirmation malgré toute l’étendue de nos connaissances d’un monde marin qui recense des centaines de milliers d’espèces !
Il est merveilleux de constater que, malgré les progrès dans la recherche océanographique, et malgré les progrès dans la connaissance de beaucoup d’espèces de poissons inconnues à l’époque du don de la Torah, un tel animal n’a jamais été découvert.
De la même manière que Moïse savait qu’un poisson qui a des écailles possède forcément des nageoires, Moïse savait aussi que le porc est le seul quadrupède de l’univers non ruminant à avoir le sabot fendu.
Rabbi Avahou a enseigné (Isaïe 42, 21) :
« Que soit agrandie et glorifiée la Torah ! » [Tossafoth : pour avoir multiplié les explications sur ce que sont exactement les « écailles »].
En d’autres termes, la profusion de détails sur la présence d’écailles en parlant également de « nageoires », nous fournit ainsi une raison de plus de « grandir et de glorifier la Torah » [et celle enseignée par les Sages, la Torah orale].
Une personne a un jour dit :
« Mais le crocodile : n’est-ce pas un animal marin avec des écailles ? Et pourtant, il n’a pas de nageoires ! »
Voici une réponse du Rav Ron Chaya :
« Comprends que la définition du mot écaille utilisé en occident ou en France n’est pas la même que celle employée par les sages d’Israël, preuve en est que tout le monde sait que par exemple le requin n’est pas cachère parce qu’il n’a pas d’écailles.
Or, si on prend la définition occidentale du mot écaille, le requin a des écailles.
Dans le cadre de la Torah, qu’appelle-t-on écaille ?
Ce que nous appelons communément des écailles, c’est-à-dire les petites plaquettes transparentes que nous voyons sur les poissons qu’on a l’habitude d’écailler au moyen d’un couteau ou d’un appareil utile à cet effet qu’on trouve chez les poissonniers.
Dans cette mesure, il est clair que, par exemple, le crocodile n’a pas d’écailles d’après la définition juive de ce terme [ainsi que le requin]. »
3) Omniscience divine dans le miracle de l’abattage rituel selon la loi juive : Quand l’animal n’a plus mal !
Voici un sujet brûlant et d’actualité que nous abordons ici alors que les scandales liés aux abattoirs et aux conditions cruelles de mises à mort des animaux éclatent un peu partout.
Il existe un autre domaine méconnu, mais oh combien miraculeux : l’égorgement rituel des animaux purs.
Comment concilier cette pratique avec ce que la Torah écrite et orale enseigne : le respect du à toutes les créatures.
Le Rav Eliaou Hassan nous explique des choses merveilleuses et vraies qui seront utiles pour l’honnête sceptique, car elles démontrent l’inspiration résolument divine de la Torah écrite ainsi que la fiabilité et la sagesse supérieure qui émanent de l’enseignement des sages d’Israël.
Voici ses propos.
Les textes de nos sages regorgent d’histoires, de sentences, d’injonctions concernant le respect que nous devons au corps et à l’âme du prochain, mais aussi à l’animal.
Comment donc est-il possible que nous ne soyons autorisés à manger que de la viande d’un animal ayant été abattu rituellement, quand cet abattage nous paraît extérieurement “barbare” (à Dieu ne plaise).
N’y aurait-il pas ici un manquement aux règles interdisant de faire souffrir un animal ? N’y aurait-il pas d’autres procédés ?
L’étonnement grandi lorsque l’on voit que l’interdit de maltraiter un animal apparaît avec insistance dans la Torah ainsi que dans le Talmud.
Nous sommes par exemple tenus de décharger sans attendre un âne qui ploie sous son fardeau, même s’il appartient à notre ennemi, et ce, sans demander de salaire en échange, parce que l’animal est en train de souffrir.
Comment donc éviter de faire souffrir cet animal que la Torah nous permet de consommer ? Les lois de l’abattage rituel, la ch’hita en hébreu, répondent en totalité à nos questions.
La lame du couteau doit être aiguisée parfaitement, sans aucune aspérité.
Le défaut le plus infinitésimal rend le couteau impropre à la ch’hita et toute bête qui aurait été abattue avec ce type de couteaux serait interdite à la consommation.
Le geste de la ch’hita est extrêmement précis. Le couteau doit être passé une fois sur la gorge de l’animal en un mouvement rapide et précis (toutes ces choses sont décrites dans la loi orale).
Ces exigences garantissent que l’animal ne ressentira aucune douleur.
Les blessures occasionnées par des lames de couteau ne provoquent de douleurs qu’à partir du moment où la victime se rend compte qu’elle a été blessée.
Les chirurgiens qui se coupent pendant une opération peuvent en témoigner et avec eux tous ceux qui auraient reçu un coup de couteau.
Par contre, et nos sages les dénoncent, les autres procédés d’abattage occasionnent des souffrances et des peines inutiles aux animaux.
Toutes ces lois ont trouvé une éclatante confirmation lors d’une série d’enquêtes dont les résultats sont à la disposition du public aujourd’hui. Elles portent principalement sur la constitution du réseau sanguin des mammifères et apportent une preuve irréfutable que notre ch’hita (abattage rituel juif) est indolore.
De nombreux non-juifs se révoltaient contre notre procédé et ils en sont revenus !
Ces enquêtes révèlent en effet, bien malgré leur concepteur, le caractère divin de tout ce que nous enseigne la Torah.
À la base du cerveau de tous les mammifères se trouve un complexe de vaisseaux sanguins qui fait office de terminus pour toutes les veines et les artères qui remontent vers le cerveau.
Il porte le nom de “complexe de Willis” et tout médecin, même débutant, sait qu’une baisse subite de la tension artérielle à cet endroit précis entraîne immédiatement une perte de connaissance…
Au moment de la ch’hita, la carotide est sectionnée. Cette artère conduit le sang vers le cerveau en passant par le cou.
La baisse de tension artérielle consécutive à l’ouverture du coup pratiquée par la ch’hita entraîne une perte de connaissance de l’animal dans un délai maximum de 2 secondes !!!!
L’animal ne sent plus rien et ne pourra plus jamais rien ressentir ! La lame aiguisée à l’extrême du couteau à rempli son rôle, la rapidité du geste a fait le reste.
Le schéma ci-dessous représente la circulation normale du sang chez l’animal pur autorisé à la consommation. Le sang circule des carotides externe et interne directement vers le cerveau :
Aussitôt après la ch’hita, le sang provenant des deux artères carotides s’écoule à l’extérieur :
La science, et notamment l’anatomie, vient ici confirmer de manière éclatante l’authenticité des lois de la Torah et la perfection des dispositions prises par nos sages.
Notons bien que chez les mammifères impurs interdits par la Torah, la carotide interne (localisée dans la nuque de la Bête) rejoint directement le “complexe de Willis” et participe donc à l’alimentation du cerveau sans faire repasser le sang par la carotide externe (localisée dans la partie avant du cou).
On ne pourrait donc pas les tuer sans les faire souffrir, selon le procédé de la ch’hita qui interromprait la circulation du sang dans la carotide interne.
Quant à la méthode “coup de pistolet”, nous avons déjà démontré toute sa barbarie…
Comme par hasard vous voyez le miracle !!
Chez les mammifères permis par la Torah, la carotide interne rejoint la carotide externe avant le “complexe de Willis”.
Ainsi lors de là ch’hita, au moment où la carotide est sectionnée, l’alimentation du cerveau est totalement interrompue !!!
Le résultat est instantané : la Bête perd connaissance (le cerveau ne peut plus être alimenté par aucune artère), la baisse subite de la tension artérielle produit son effet.
La Torah nous l’avait dit, la science le confirme : la bête ne souffre pas !
Seul le Créateur de l’univers, le rédacteur de la Torah, pouvait introduire une “petite modification anatomique” de cet ordre.
C’est trop parfait pour ne pas être divin. Seuls les mammifères permis bénéficient lors de leur création, de ce petit “changement”, afin de ne pas souffrir au moment de la ch’hita… L’abattage rituel codifié par la Torah. »
Fin de citation du Rav Eliaou Hassan (2).
Tout ceci est absolument merveilleux et seule une conscience engourdie peut passer outre une telle révélation.
Les mesures effectuées par de très nombreux Professeurs de Physiologie animale de différents pays arrivent toutes à la conclusion qu’il y a absence de signes de souffrance lors de la Ch’hita, du fait d’une perte de conscience quasi immédiate.
D’après certains auteurs, la Ch’hita serait même le meilleur procédé, les techniques d’étourdissement généralement utilisées pouvant être très traumatisantes. Toute controverse quant à la violence de la saignée ou aux mouvements réflexes de l’animal pouvant survenir lors de la ch’hita n’a aucune base scientifique. »
En conclusion
La Torah, couplée aux commentaires des sages d’Israël, apporte une triple preuve admirable à la gloire du seul vrai Dieu : l’inspiration divine des Saintes Écritures et la sagesse des sages d’Israël qui ont été capables de déceler dans le texte divin plusieurs preuves grandioses de l’omniscience de Dieu (sans même parler des innombrables autres preuves) :
- Il y a plus de 3500 ans, il était impossible à l’homme d’affirmer avec certitude qu’une seule espèce au monde ne ruminait pas tout en ayant le sabot fendu (porc, cochon, etc.).
- Il était impossible de savoir que, parmi les dizaines de milliers d’espèces de poissons, aucun ne pouvait avoir des écailles sans nageoires.
- Il y a des milliers d’années, il était totalement impossible de déceler une modification anatomique chez les animaux “purs” selon la Torah, permettant ainsi à la bête de ne subir aucune souffrance lors de l’abattage selon le rituel prescrit dans la loi orale. Pourtant, aujourd’hui, la science confirme toutes ces stupéfiantes précisions de la Torah écrite et orale.
Cette parole de l’Écriture semble ici très à propos :
« L’Éternel, s’adressant à Job, dit : Celui qui dispute contre le Tout-Puissant est-il convaincu ? Celui qui conteste avec Dieu a-t-il une réplique à faire ?
Job répondit à l’Éternel et dit: Voici, je suis trop peu de chose; que te répliquerais-je ? Je mets la main sur ma bouche. J’ai parlé une fois, je ne répondrai plus; Deux fois, je n’ajouterai rien. » (Job 39)
Il nous faut adopter l’attitude de Job car ce modèle de foi a pris soin de ne pas être visé par cette conclusion évidente :
SEULS l’ignorance, la mauvaise foi ou l’orgueil peuvent permettre à une personne de continuer de mépriser de contester ou de “disputer” contre la Torah écrite et orale.
Mais il convient d’ajouter un dernier élément pour clôturer cette belle étude :
Ce n’est pas la Torah qui est validée par la science moderne : c’est la science moderne qui se voit validée par la Torah lorsque ses conclusions et ses analyses correspondent à l’enseignement divin.
Car la Torah n’a nul besoin de validation, elle est la Parole du Créateur et ses liens avec la science sont utiles à ceux qui en ont besoin pour les raisons qui sont les leurs.
Ceci étant dit, il est intéressant de noter qu’en accord avec la science moderne, les sages d’Israël ont déjà enseigné depuis des milliers d’années la raison première des lois de cacherout :
L’alimentation a un impact spirituel réel et direct sur notre âme, notre spiritualité : c’est ici une des raisons premières des lois de cacherout (elles ne sont pas données pour des raisons hygiéniques comme beaucoup le pensent), d’où l’intérêt de les étudier et de les mettre en pratique, chacun à notre échelle, à notre rythme, selon notre mesure de foi et sans condamnation.
Dieu ne nous blâme pas de ne pas mettre en pratique parfaitement une loi, ce que Dieu n’approuve pas, selon ce que dit l’Écriture, ce sont les personnes qui enseignent à abolir le plus petit des commandements divins, à cause de l’orgueil qui les anime ou de toute autre raison obscure :
« Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. » (1 Jean 2.4)
Rappelons aussi que le Messie Yéshoua, en parlant spécifiquement de TOUS les commandements de la loi de Moïse (lois alimentaires incluses), dira :
« Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux » (Matthieu 5.19)
Également, la sagesse avertit toutes les générations :
« Toute parole de Dieu est éprouvée. Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en lui un refuge. N’ajoute rien à ses paroles, de peur qu’il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur. » (Proverbes 30.5-6)
Puisse l’Éternel nous aider à sortir des erreurs humaines, à recevoir la Parole de Dieu comme des petits enfants sans chercher à supprimer le moindre de ses commandements comme il est dit :
« Si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Yéshoua, Matthieu 18.3)
Enfin, à propos de commandements tels que les lois de cacherout, il est intéressant de lire le Rav Ron Chaya :
« À propos des raisons qui motivent cet interdit, il faut que tu comprennes que dans la Torah, il y a toujours ce qu’on appelle le sens simple et le sens plus profond.
Le sens plus profond concerne l’âme. Dans la mesure où il y a de la lumière, c’est-à-dire la force divine, dans l’âme, il y aura aussi de la force et de la santé dans le corps. Or la force et la lumière divine ne viennent dans l’âme que dans la mesure où nous pratiquons les mitsvot (commandement).
Lorsqu’on fait une mitsva (commandement), on amène une lumière. Mais étant donné que ces lumières sont d’ordre spirituel, nous ne pouvons pas les voir ni les expliquer. »
Cela rejoint précisément ce que dit Paul en Romains 7.14 : « Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ».
Pour tous ceux qui, conscients de l’Apostasie et de certaines dérives doctrinales liées à l’observation de la loi de Dieu, souhaiteraient en savoir plus et découvrir les racines de cette apostasie, il est conseillé d’étudier et de méditer avec un coeur sincère le grand cursus sur l’Apostasie disséqué, dont les vidéos de présentations sont disponibles ici :
Que Dieu bénisse Son peuple, le peuple juif, et fasse du bien à tous ceux qui le craignent, qu’il pardonne nos fautes à cause de Sa Bonté et de l’oeuvre merveilleuse accomplie en Yéshoua le Messie.
Qu’il nous aide à grandir dans la sanctification ainsi qu’il est dit : « Je cours dans la voie de tes commandements, Car tu élargis mon coeur. » (Psaumes 119:32)
Que toute la gloire revienne à Dieu et à son Messie Yéshoua qui nous a réconciliés avec le Père et nous a accordé son Esprit et un si bel héritage pour marcher dans Ses voies ! Amen vé amen.
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Sources principales utilisées :
(1) : Connaît-on tous les animaux Kachèr ? http://www.universtorah.com/ns2_print.php?idd=21&page=1
(2) : Le Rav Eliaou Hassan, dans son excellent ouvrage “la Paracha” sur le livre de Vayikra (lévitique)
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Je suis vraiment en admiration devant la patience et la bienveillance des disciples passés et présents du service divin .
Après avoir compris la nécessité d’observer la Loi de l’Eternel, par amour envers Lui pour se rapprocher de Lui, j’avais du mal à répéter encore et encore , les mêmes évidences, à ceux qui débarquent dans la foi !
Nous avons vraiment tous un rôle différent , comme les différentes parties du corps.
Merci mes Amis de vous donner ainsi à fond, dans la prédication ,
La Toute Puissance de l’Eternel se découvre au travers de sa création, Il nous a donné, “un mode d’emploi” à nous de l’utiliser fidèlement pour entretenir nos corps sagement, merci pour le don magnifique de Sa Torah, Gloire au Créateur de toutes choses . ginette
je vous remercie pour votre étude; je l’avais déjà compris mais comment faire pour l’appliquer quant
on ne sais pas ou trouvé les aliments caccher . j’ai vraiment à cœur mais comment . je ne mange plus de porc. je découvre;…….. j’aime la TORAH et je crois vraiment qu’elle est de Dieu et tjs d’actualité. je prie Dieu que toute la Terre soit remplie de sa connaissance,;;;; la mort des fausses doctrines
et de la religiosité. mon cœur est triste à ce sujet. le monde entier est en grand danger. Ils est temps que les chose change
Il suffit d’acheter sa viande dans les boucheries ou épiceries cachères.
On peut en trouver (congelées) aussi dans les grandes surfaces.
Bonjour,
Je viens de découvrir l’article, un peu tard certes.
J’ai du mal avec le fait que vous placiez la loi orale sur le même niveau que les Écritures. Je n’ai pas votre connaissance ” juive ” des Écritures mais je ne vois pas Jesus ou un apôtre prescrire de sonder la loi orale. J’ai quelques passage qui me revienne en tête quand Jesus dit que la Loi de Moise ne passera pas, quand Il dit que tout est ecrit dans la Loi, les psaumes et les prophètes.
Bien sûr je ne vous prend pas de haut, j’imagine la véritable sincérité que vous avez de nous enseigner la culture juive à travers nos méditations mais j’ai du mal à vous suivre dans ce genre de discours prônant la loi orale.
Alors peut être que je ne connais mal cette loi, peut être que je refuse d’ouvrir les yeux aussi.
Je vous demande, humblement, éclairez moi sur ce sujet de la loi orale et Dieu fera résonner Sa direction dans mon cœur.
Merci pour votre travail
Fraternellement,
Benoit.
Shalom Benoit.
Ce sujet est vaste, profond et merveilleusement intéressant ! Les Ecritures, on le sait, chacun peut en tordre le sens et en faire ce qu’il veut. D’oû l’importance d’une loi orale qui lui est indissociable (Romains 3.2 fait une allusion à ce sujet).
Puisque nous sommes dans la période de Pourim, voici une simple question qui apportera peut-être un début de réponse à votre interrogation sur la loi orale : Yéshoua, reconnaissait-il comme inspiré, le livre d’Esther ?
Bonjour,
Merci pour votre réactivité.
Je n’ai pas de verset en tête qui me contredise que le livre d’Esther ne serait pas inspiré, donc j’ai envie de dire Jesus devait le reconnaître ainsi.
Mais j’ai du mal à vous suivre !
Shalom à toi Thomas, et merci pour tout ce que tu fait pour ramener le coeur des enfants à leur Père. A la conférence de Jérusalem il a été dit d’imposer ce qui était nécessaire aux païens qui se convertissaient au Seigneur. Je suis d’accord pour l’observation des lois de Moïse écrites, car c,est ce que j’ai en possession depuis des décennie même comme c’est souvent mal traduit.
A bientôt !
Qu’ASHEM vous bénisse vous et votre maison ! Qu’IL bénisse Israél !!! En vérité la bète et son faut prophète n’apparaissent facilement à l’entendement de la multitude. Mais, grace soit rendue D.IEU, IL s’est gardé un reste dont vous, pour porter sa lumière dans un monde de plus en plus perdu.
Bonjour Thomas, je suis un chrétien noir africain et j’ai beaucoup de l’admiration pour la Thora et de l’estime pour le peuple à qui elle a été donnée. Je crois à 100% en toute la Bible.
Que devons-nous prêcher aujourd’hui aux gentils (païens) qui ont leurs cultures et traditions contraires aux rudiments de la loi? Nous devons leur prêcher Jésus Christ et rien que Jésus Christ sans imposer d’autre charge que ce qui est nécessaire : s’abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l’impudicité choses qui sont contraires à la bienséance. (Act. 15 : 19-29).
Je béni le Seigneur pour la sagesse qu’il a renfermé dans la loi. Mais que m’importe de prêcher ce que tu mangeras ou tu ne mangeras pas à une personne qui est tenue captive par la sorcellerie, l’idolâtrie, les pesanteurs sociales et culturelles, l’ignorance etc.
Pour le grand privilège que le Seigneur nous ait accordé nous les païens de savoir que nos péchés sont pardonnés à cause du sacrifice ultime de Jésus, que nous sommes libérés de la malédiction et de la condamnation éternelle, nous rendons d’abondantes actions de grâce à Dieu. Aussi pour mes frères africains je n’ajouterai pas à la doctrine de la foi des préceptes sur le manger, le boire, les sabbats (Col.2 : 16-22, Gal.2 :14) ou sur la circoncision. Toutes ces Choses sont bonnes mais je n’en fait pas une priorité sachant qu’en Jésus Christ ni la circoncision ni l’incirconcision n’a de valeur, mais la foi qui est agissante par la charité (Gal.5 :6).
Bonjour frère,
Oui, évidemment, pour ceux qui se convertissent et qui ont un arrière plan païen (mais qui ne le sont plus par leur conversion), actes 15 est important et demeure le minimum requis au début de la conversion et si la personne refuse de se soumettre à ces quelques lois de Moïse décrit en Actes 15, il ne faudrait pas accepter sa conversion.
Cependant, le discours de toute cette rubrique “TORAH” se focalise principalement sur la suite du verset correspondant à la croissance spirituelle du disciple et de la voie à suivre pour la suite de sa vie : Cela concerne donc pleinement les Africains, peuple qui a soif de vérité et de grandir dans les voies de Dieu et de ne pas se cantonner à rester bloquer sur Actes 15 qui ne concernent que le début de la conversion (afin de ne pas surcharger les disciples). Je recopie colle ce que j’ai déjà dit en un autre endroit sur le site :
Au sujet d’Actes 15, n’oublions jamais qu’il s’agit des commandements de bases pour la début de la vie du disciple : la suite du verset nous indique qu’au sujet du reste des commandements, Dieu enseignera les disciples à l’observation de Sa Parole (Torah) grâce aux enseignements dispensés lors de la paracha lue et expliquée à Shabbat : Durant les mois et les années à venir, les disciples ne sont pas resté figé sur actes 15, ils ont grandi dans la compréhension des commandements et dans leur mise en pratique, ce que chacun est appelé à faire, c’est bien là toute l’importance de ce verset :
Actes 15:21 : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu’on le lit tous les jours de Shabbat dans les synagogues. »
Et d’ailleurs, tu remarqueras que même les quelques prescriptions d’actes 15 ne sont pas respectés par ceux qui prétendent s’y soumettre : il est question dans ce verset de s’abstenir du sang et par exemple, beaucoup mangent, déclarent et enseignent que le chrétien, « en Jésus », peut manger du sang de porc (boudin). C’est évidemment une grande erreur. actes 15 nous donne quelques lois alimentaires de bases dont l’abstention du sang, loi d’une grande importance (peine de karet = retranchement de l’âme, voir dans la Torah).
En définitif, oui actes 15 est valable pour le “bébé spirituel”, mais il arrive un moment où le disciple cesse de téter du lait pour passer à une nourriture plus solide et je suis certains qu’énormément d’Africains, soucieux d’être agréable à Dieu, se réjouiront de grandir, petit à petit, dans des lois qu’ils croyaient jusqu’alors abolies, mais qui en vérité, cachent de grande bénédiction précieuses pour être enraciner dans la Saine Doctrine et ce sont des choses qui réjouissent le coeur de Dieu.
“L’amour de Dieu consiste à garder ses commandements” nous rappelle Jean dans son épitre. Sans cela, l’amour et la charité ne sont que des mots vides de sens.
Meilleur Shalom à toi,
Thomas.
Bonjour, j’aimerai savoir s’il est possible selon la parole de consommer des viandes purs non kasher (industrielles) ? Merci
Bonjour, pour une personne qui a mangé impur toute sa vie, comme c’est le cas pour un grand nombre : oui , c’est un bon début. Après, en approfondissant, on désire aller vers le véritable cachère car l’animal pur, par la Shrita, est véritablement pur selon la Torah comme le montre l’article.
Quand Dieu a donné le Shabbat, Il a dit Je suis Le Dieu qui vous a “sorti” de l’Égypte. Ensuite quand Il a ordonné la Casherout, Il a dit Je suis Celui qui vous a fait “monter” d’Egypte. On voit bien la nuance . Renseignez vous sur les porcs et les fruits de mer … Vous allez être surpris. Dieu n’interdit pas pour le plaisir. Et n’est pas non plus schizophrène pour permettre qqch qu’Il a interdit …
Pas mal 🙂
Bonjour
Merci pour votre article sur la loi alimentaire stipulée dans lévitique ;
néanmoins je me suis posé souvent la question , est ce que le canard fait partie de ces animaux impurs ou pas ?
si vous pouvez m’y répondre je vous en remercie .
Ce qui serait intéressant pour les nouveaux convertis et de faire un tableau avec la liste des aliments purs et impurs en citant les diverses espèces, afin qu’il n’y est plus de confusion, ni de divergeances à ce sujet , pour ceux qui veulent pratiquer cette loi .
Soyez béni.
Bonjour, oui la canard est considéré comme un aliment pur et peut-être mangé.
Un article paraîtra à ce sujet si Dieu le permet mais en attendant, voici deux liens utiles :
– Liste poissons autorisés par la Torah
– Liste généraliste des animaux purs et impurs selon la Torah (Lévitique 11)
Merci Thomas pour ce commentaire dans Lévitique 11:3 on parle aussi comme 3ème caractéristique “la corne fendue ” donc la bête doit aussi avoir des cornes pour qu’on puisse la consommer.Tu n’en parles pas est-ce dû a une mauvaise traduction? ou cela fait bien parti de l’usage?
Oui, la traduction n’est pas la meilleur, cela parle en vérité du pied dans une traduction plus proche de l’hébreu : « tout ce qui a le pied corné et divisé en deux ongles, parmi les animaux ruminants, vous pouvez le manger. » (Voir ce lien : http://www.torah-box.com/torah-pdf/torah/levitique/11.html )
Je précise qu’il s’agit du polygone de Willis et non du complexe de Willis. Sinon je te remercie pour avoir diffusé ces études.
En effet, la méthode juive est certainement une des moins douloureuses pour l’animal ! Mis à part l’euthanasie, mais ça… De toute façon, y a-t-il vraiment une méthode douce pour tuer ?
J’ai lu avec intérêt votre article.
Bémol pour « lire la Bible sans l’interprétation des sages d’Israël »
Ces mêmes sages n’ont pas su discerner la première venue du Messie, Messiah ben Joseph.
De grâce tous un peu d’humilité…
Chavoua tov
Attention, une des caractéristiques de la véritable humilité consiste justement à ne pas parler comme vous le faites des sages d’Israël.
Si plusieurs n’ont pas su discerner, cela fait parti pleinement du plan de Dieu ainsi que l’a proclamé jadis Yossef à ses frères :
« Maintenant, ne vous affligez pas, et ne soyez pas fâchés de m’avoir vendu pour être conduit ici, car c’est pour vous sauver la vie que Dieu m’a envoyé devant vous (..) Ce n’est donc pas vous qui m’avez envoyé ici, mais c’est Dieu; » (Gen 45.5-8)
Enfin sachez que effectivement : sans les sages d’Israël des temps antiques, vous n’aurez jamais pu lire la Bible hébraïque car le texte original est en hébreu biblique, c’est à dire avec des consonnes sans voyelles, les voyelles étant mises sur le texte par les sages afin que l’on puisse le comprendre.
Si Dieu dicte Sa Parole dans un texte ne comportant que des consonnes, c’est pour mettre l’accent sur la necessité impérieuse de ne la lire qu’avec Son peuple IsraEl et de ne pas se glorifier aux dépend de “ceux à qui les oralces de Dieu ont été confiés” (Rom 3.2) au risque d’aboutir à toutes sortes de fausses doctrines et interprétation tirant leur racine dans l’orgueil.
AMEN !! GLOIRE À DIEU !!
Il faut absolument publier cet article ! Arrosez donc abondamment ! Un réveil planétaire en Yéshoua !
Voici mon petit texte de présentation que j’ai mis sur Facebook, n’hésitez pas à faire de même en diffusant cet article de cacheroute :
TRÉSORS DE LA CACHEROUTE BIBLIQUE
Cet article est surtout publié pour ceux qui sont CURIEUX DE COMPRENDRE TOUJOURS PLUS DIEU LE CRÉATEUR, car ce sujet ne sauve pas l’âme, mais il l’édifie dans la foi.
Le sujet abordé ici demande donc une ouverture à l’Esprit de Dieu toute particulière, et cela, sans s’estimer comme étant au-dessus des autres, sinon ce n’est pas l’Esprit de Dieu (Philippiens 2 : 3).
C’est surtout parce que le sujet n’est vraiment pas habituel, vous allez le comprendre par vous-même.
Lorsque nous commençons à réaliser ce type de rouage de la création divine, nous ne pouvons que nous émerveiller devant autant d’Ingéniosité, de Talent, de GLOIRE INFINIE.
Bonne lecture à ceux qui s’y aventurent, l’Éternel va vous bénir car Il se laisse découvrir au travers de Sa création qui manifeste Sa Force et Sa Puissance, Son Intelligence et Sa Subtilité.
“Notre Seigneur est Grand, Puissant par Sa Force, SON INTELLIGENCE N’A POINT DE LIMITE.” (Psaumes 147 : 5)
Je viens de découvrir votre site, je serais heureuse de recevoir votre newsletter. Merci
Je comprend monsieur (Rencontrer Dieu)que vous êtes bien intentionné en nous proposant régulièrement des études comme celle-ci. Mais moi j’ai un peu de misère a considérer les écrits de suppléments sages d’Israël. Tout simplement car ce sont ces mêmes sages qui ont crucifié Jésus et ce sont encore ces mêmes sages qui rejette le vrai Dieu(Jésus). Et c’est encore ces mêmes sages qui vont en recevoir un autre(antichrist)
Cher Louis Simard, lorsque l’on parle des Sages, savez-vous véritablement de qui l’on parle ? Pensez-vous réellement qu’il s’agit de ceux qui ont désiré la crucifiction de Yéshoua ?
Pensez-vous qu’un homme appelé “sage d’Israël” se laisserait envahir et dominer facilement par la jalousie, la haine, la ruse et les faux témoignages et pire encore, qu’il accueillerait à bras ouvert la bête et son faux prophète ?
Je vous remercie messieurs pour vos réponses.
Oui Louis c à cause de nos péchés a tous que Jésus fut crucifié sur la croix , Il devait mourir pour chacun d’entre nous
bonsoir Thomas Lévitique 11:3 parle de 3 restrictions concernant les mammifères: la corne fendue, le pied fourchu et qui rumine , tu ne parles pas que la bête doit aussi avoir des cornes sur la tête? Merci bonne soirée
Merci Cher Thomas ! Cette étude est une bénédiction ! Dorénavant, je n’irai que dans des boucheries casher, je ne veux plus être liée à la souffrance des animaux en achetant de la viande à des bouchers qui ne se soucient pas de la douleur des animaux.
L’Éternel nous demande de nous soucier de la souffrance des animaux, Il est Merveilleux !
« Nul n’est saint comme l’Éternel; Il n’y a point d’autre Dieu que toi; Il n’y a point de rocher comme notre Dieu. Ne parlez plus avec tant de hauteur; Que l’arrogance ne sorte plus de votre bouche; Car l’Éternel est un Dieu qui sait tout, Et par lui sont pesées toutes les actions. » (1Samuel 2:2-3)
“Pour les personnes qui pensent encore malgré elles que les lois de Dieu données à Moïse seraient abolies par Yéshoua…”
OUI, c’est une certitude que les lois mosaïques sont transformés et certaines totalement abolies par Yeshua en faite elles sont aujourd’hui impraticables puisque toutes les lois relatives aux sacrifices, aux actions de grâce impliquant l’égorgement d’animaux, aux sacrifices de rédemption pour les péchés comme cela est enseigné dans la Torah n’ont plus lieux d’être puisque Yeshua est notre ultime sacrifice.
Les chrétiens ou les messianiques qui prétendent qu’il faut garder la loi sont des personnes qui ne l’ont jamais étudiés.
Il n’est pas possible aujourd’hui de continuer à faire des sacrifices expiatoires comme cela est prescrit en lévitique.
Il n’y a plus de temple, donc la question des sacrifices et de toutes les lois liées aux lévites dans le service du temple ne se posent plus. Dieu ne nous demande pas de pratiquer l’impraticable. Et à ce sujet (temple et sacrifice), il y aurait beaucoup à dire, Yéshoua étant évidemment le sacrifice parfait et ultime. Je suggère que nous parlions plutôt des lois qui peuvent être observées, qui donc nous concerne, et qui sont clairement décrites dans la BIBLE.
Toutes les lois qui peuvent être appliquées (shabbat, fêtes de l’Eternel, cacheroute, etc, etc) devraient être observé comme le dit clairement la Parole. Mais il ne s’agit pas d’une observation légaliste et charnelle mais d’une observation pleine d’amour et de vérité, sans condamnation pour ceux qui craignent Dieu et conduit par le souffle de Dieu. Savez-vous ce que signifie observer la loi dans la pensée juive ? Rachi le dit : ETUDIER LA TORAH et METTRE EN PRATIQUE.
Cela me rappelle un certain Jacques qui, en parlant des livres Saints dispo à son époque (Tanakh) dit sans ambiguïté :
« Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. » (Jacuqes 1.22)
Mais surtout, cela me rappelle l’enseignement du Messie Yéshoua qui n’a rien abolit du tout : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui ECOUTENT LA PAROLE DE DIEU, ET QUI LA METTENT EN PRATIQUE. » (Luc 8.21) (A l’époque de Yéshoua, les épitres de Paul et le nouveau testament n’existe pas, il parle ici de la Torah et des prophètes)
Mais aussi, que faites-vous de ces versets émanant d’un des plus grands sages que cette terre ait porté :
« Celui qui OBSERVE LA LOI est un fils intelligent » (Proverbes 28:7)
« Ecoutons la fin du discours : Crains Dieu et OBSERVE SES COMMANDEMENTS. » (Ecc 12.13)
Et le Messie lui-même, en parlant des commandements de Dieu dans la loi : « celui QUI LES OBSERVERA, ET QUI ENSEIGNERA A LES OBSERVER, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux ». (Matthieu 5.19)
Comment ne pas voir l’Evidence ?? Mais peut-être que Yéshoua et Salomon ne connaissaient pas bien la Parole ? Ou alors, peut-être n’étaient-ils pas victime d’une terrible apostasie qui retranche à la Parole de Dieu et tordent le sens des lettres de Paul entrainant à la ruine tous ceux qui les suivent ? J’opterai pour la seconde réponse, les preuves sont manifestes, voici un petit échantillonnage loin d’être exhaustif :
https://www.rencontrerdieu.com/plus/dossier-special-la-fausse-doctrine-de-labolition-de-la-loi-torah-devoilee/
Un grand merci, Thomas, pour cette étude sur la Torah..Dieu nous aide à vivre selon sa volonté.
Beaucoup d’hérésies sont apparues tout le long de l’histoire de la culture Greco romane émanant d’un FAUX christianisme catholique religieux. Encore de nos jours, des mouvements religieux sous couvert du “nom” de Yeshua, se disent “nés de nouveau” alors, qu’ils sont “MORTS” spirituellement, transgressent la Torah en la violant et ne crois pas à l’Esprit – Saint. Ce paganisme satanique naissant, pris forme, au 4e siècles dans l’empire de ROME, sous Constantin 1er.
De nos jours, cette fausse croyance persiste dans les milieux religieux et infeste tout l’enseignement véritable des écritures et l’enseignement du rabbi Paul de Tarse. Cette culture paganisée Gréco romane a substituée ” l’héritage ” spirituel qui revient au seul peuple, les JUIFS. ” Dieu a t-il rejeté son peuple, déclara Rabbi Paul de Tarse ? Certes que NON, car moi aussi, je suis moi même israélite, de la postérité d’Avraham, de la tribu de Benyami’n ” (Romains 11:1). Par jalousie, les religieux catholiques détournèrent la racine spirituelle héritière revenant au peuple JUIF et non aux GRECS paganisée. Cette culture paganisée dont, vous, frère Thomas en êtes imprégné que vous le vouliez ou non, c’est votre héritage..Attention, de ne pas vous prendre pour un autre. Paul déclare pour les Goyanim (gens des nations convertis à Yeshua) : ” Or si les prémices (ISRAËL) sont saintes, la masse (NATIONS) l’est aussi; et si la racine (ISRAËL) est sainte, les branches (NATIONS) le sont aussi. Que si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi qui étais un olivier sauvage (GOY) as été enté au milieu d’elle ( “en leur place” est une fausse traduction) et fait participant de la racine et de la graisse de l’olivier (ISRAËL) ; Ne te glorifie pas contre les branches; car si tu te glorifies, ce n’est pas toi qui portes la racine, mais c’est la racine qui te porte ” Romains 11:17/18. Que les païens convertis en Yeshua médite bien leur vrais place devant la racine (ISRAËL).
Il ne me semble pas que Thomas “se prenne pour un autre”.
Bien au contraire.
Yeshua n’approuvait absolument pas la “loi” orale, il suffit de lire la manière dont il allait à contre sens d’elle en guérissant un homme le Shabbat.
Il est assez évident que Yeshua qui est lui même la Parole de Dieu a une interprétation et une pratique de la loi qui est parfaite contrairement à toutes les interprétations fausses qu’on trouve dans la “loi” orale
Ah bon, et que dire de la circoncision dont la méthode et l’endroit précis (prépuce) est seulement décrit dans la loi orale et respectée/observée par Yéshoua ? Et que dire du seder de Pessah qui est le rituel pour la fête de Paque comme décrit dans la loi orale et que Yéshoua observait ? Et que dire du système de paracha/haftarah établi par les sages d’Israël, faisant parti de la loi orale et que Yéshoua honorait et observait (Luc 4.16-21) ? Et j’en passe.
Concernant le fait de ne pas guérir le jour du Shabbat, avez-vous étudié le sujet sérieusement avant de parler sur ce point ? Savez-vous réellement ce que la loi orale enseigne précisément à ce sujet ?
Plus globalement, à part les ragots d’internet, que savez-vous vraiment de la loi orale ?
Si Yéshoua réfutait certaines ordonnances de la loi orale mal appliquée par certains pharisiens sans amour qui condamnaient des innocents, cela ne signifie en rien qu’il n’approuvait pas la loi orale.
AVez-vous bien lu l’étude ?
Je vous conseille vivement la lecture de cet autre article qui réfute avec preuve vos déclarations contre la loi orale :
https://www.rencontrerdieu.com/plus/mise-en-garde-special/
Merci encore Thomas pour cette étude tellement claire et englobant toute la Vérité de la Parole (Loi orale + Loi écrite), en plongeant les regards sur les paroles des Sages d’Israël. Aucune ambiguité dans les textes, beaucoup de lumière et ceci, sans l’ombre d’un doute!!! La Parole est tellement claire et nette; Haschem a tout prévu! WOW!
Un grand Amen ma soeur, que de trésors fidèles à l’Evangile conservé par « Ceux à qui les oracles de Dieu ont été confiés » 🙂
RencontrerDieu.com Tout à fait VRAI! Des trésors oh combien délicieux!!
Des trésors oh combien délicieux!! (je reprends les mots de Batia)
Des trésors qu’il faut acheter à prix d’or et redistribuer gratuitement (je reprends les mots de Salomon)
ce que vous faites à merveilles sur ce site !
Bravo et Merci Thomas !