C’est officiel : port du masque, Charlie Hebdo, liberté de blasphémer : le pays s’enfonce dans la malédiction et La Providence Divine le confirme !
En ce mois de septembre 2020, l’information n’est pas restée inaperçue : Charlie Hebdo, nous dit le site lemonde.fr, « a choisi de republier, à l’occasion de l’ouverture du procès des attentats djihadistes de janvier 2015, plusieurs caricatures du prophète Mahomet qui avaient fait de l’hebdomadaire satirique une cible des djihadistes depuis 2006. »
A l’occasion de cette republication de Charlie Hebdo attisant la colère de nombreux musulmans, le gouvernement a jugé bon de cautionner puis de rappeler publiquement le droit français au blasphème :
« Il y a en France une liberté de blasphémer »
Si le mot « blasphème » a évolué pour désigner aujourd’hui « une parole ou un discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré » (Larousse), rappelons qu’à l’origine, blasphémer signifie aussi « parler mal de quelqu’un, attenter à la réputation, injurier, calomnier »
Comme Paul, chaque croyant devrait tout faire pour ne jamais falsifier la parole de Dieu (2 Corinthiens 4 :2) et annoncer « tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher. » (Actes 20 :27).
La semaine de cette publication, le peuple Juif et beaucoup de ceux qui sont greffés sur Israël et convertis au Dieu vivant et vrai par la foi en Yéshoua (Romains 11) étudiaient la paracha Ki Tavo (portion d’Écriture de la Torah, voir le glossaire pour la définition de certains termes hébreux utilisés sur ce site).
C’est une paracha terrible puisqu’on y trouve pas moins de 98 malédictions qui ne sont que le triste résultat de l’abandon de Dieu et de Ses préceptes parfaits qui ont pour vocation de protéger, de bénir, d’apporter la paix et la joie.
Providentiellement, la semaine même où les journaux parlent de la liberté de blasphémer et où le gouvernement cautionne la récidive de Charlie Hebdo, notre étude de la paracha nous parle d’une malédiction qui vient sur quiconque fait mauvais usage de sa bouche pour mal parler de son prochain, et pire encore si les mauvaises paroles visent la divinité et le sacré (blasphème)…
Je me suis aperçu dans certaines discussions que tout le monde ne savait pas ce que signifiait cette malédiction particulière que nous lisons en Deutéronome 27:24 : « Maudit soit celui qui frappe son prochain en secret ! -Et tout le peuple dira : Amen ! »
Ici, la Torah et les commentaires des maîtres d’Israël sont très clairs :
Ce verset évoque le fait d’attaquer quelqu’un par la médisance ou la calomnie, c’est pourquoi il est dit en Proverbes 26 :12 : « Il en est dont les paroles blessent comme des coups d’épée ». Le grand Sage Salomon rappelle ici que le lachon hara (terme hébreu pour nous parler de la médisance) peut faire plus de mal qu’un acte de violence physique (« des coups d’épée »).
Certaines personnes parlent avec tant de brusquerie, de dureté et/ou tiennent tant de mauvais propos sur leur prochain, que la violence physique semble plus douce en comparaison. Ces personnes blessent comme des glaives.
Mais également, selon les maîtres d’Israël, tous les mots de mensonge, de flatterie, de querelle, de colère, d’arrogance, les mots blessants, embarrassants, moqueurs, font partis des propos proscrits par la Torah.
C’est pourquoi le Messie et les disciples du Messie rappellent souvent l’importance de mettre une garde à notre bouche, d’user de douceur lorsque nous nous exprimons, et de parler avec respect et bienveillance lorsqu’il s’agit de notre prochain, même si nous ne sommes pas d’accord avec ses idées, ses choix et ses positions. Un exercice parfois très difficile mais loin d’être insurmontable.
« Que votre douceur soit connue de tous les hommes. » (Philippiens 4:5) nous dit l’apôtre.
Ainsi, frapper « avec sa langue » son prochain fait donc bien référence aux mauvais propos tenus publiquement ou « en secret », c’est-à-dire en l’absence de la victime ; la chose n’étant pas connue d’elle, les paroles péjoratives tenues à son encontre sont effectivement secrètes pour elle, et lorsqu’en plus ces mauvaises paroles parviennent à son oreille, c’est comme si elle recevait un coup d’épée.
C’est pourquoi le verset de notre paracha est très clair : « Maudit soit celui qui frappe son prochain en secret ! -Et tout le peuple dira : Amen ! »
Ainsi, une nouvelle fois, comme chaque semaine, la providence divine se manifeste sous nos yeux : dans la seule paracha de l’année où nous voyons tout particulièrement le médisant se faire maudire, Charlie Hebdo remet le couvert avec ses caricatures qui attisent la colère de plusieurs et les informations officielles en France parlent de la liberté de blasphémer, de mal parler et d’outrager toute une communauté.
Le gouvernement et le pays tout entier s’attire donc officiellement une malédiction sur sa tête, « selon les Écritures ».
Ce n’est pas l’objet de ce partage, mais d’innombrables preuves bibliques existent pour confirmer ce qu’enseignent les maîtres d’Israël, à savoir que dire du mal de son prochain (que cela soit d’un individu ou d’un groupe identifié) et attenter à son honneur, lorsque les auditeurs savent de qui il s’agit, est une faute plus grave que l’idolâtrie, l’adultère et le meurtre.
Clairement, l’atteinte à l’honneur d’autrui est donc comparée aux fautes les plus graves et c’est pourquoi un autre sage, Ben Sira, écrira cette maxime: « Beaucoup ont péri par le tranchant de l’épée ; mais pas autant que ceux qui ont péri par la langue. » Et David de dire dans le psaume 59 :8 : « Voici, de leur bouche ils font jaillir le mal, Des glaives sont sur leurs lèvres; »
Il est donc facile de comprendre pourquoi les maîtres d’Israël disent aussi que l’homme coupable de cette faute (mauvaise bouche, blasphème, etc), celui qui porte atteinte à la réputation de quelqu’un, pire encore, à la divinité, n’a pas de part au monde futur, même s’il connaît très bien la Torah et possède de bonnes actions. Son méfait est pire que les plus graves fautes.
Mais qu’est-ce que nous n’avons pas compris en lisant ce verset : « Leur langue a causé leur chute ; » (Psaumes 64 :9 ? Ce verset signifie que celui qui frappe son prochain avec sa bouche sera maudit, et la providence de l’Éternel, dans sa science infinie, fera en sorte que tôt ou tard le transgresseur sera atteint et finira par chuter et sombrer dans la ruine s’il ne change pas radicalement de comportement.
C’est pourquoi « Mieux vaut une chute sur le pavé qu’une chute de langue; » nous dira encore Ben Sira, ce sage antique. C’est aussi pourquoi la sagesse de David s’exprimera en ces termes, nous invitant à faire de même : « Je veillerai sur mes voies, De peur de pécher par ma langue; Je mettrai un frein à ma bouche » (Psaumes 39 :2)
Il est donc tragique et affligeant de voir que la France ne tire aucune leçon et ne semble vouloir tirer aucune leçon non seulement des ses erreurs passées, mais aussi de ce qui lui arrive actuellement; et comment le pourrait-elle puisqu’en France, nous rejetons de plus en plus ouvertement le conseil de Dieu ?
Comment la France pourrait-elle discerner le message de Dieu envoyé avec le port du masque devant la bouche selon le principe connu “regarde ton problème, tu comprendras où est ta faute.” Puisse l’Eternel nous ouvrir les yeux du coeur.
On l’a suffisamment évoqué sur la chaîne Youtube et le site RencontrerDieu : cette pandémie et plus particulièrement, le port des masques devenu obligatoire partout, constituent des signaux très forts envoyés par l’Eternel afin de nous amener à réformer nos voies avant qu’il ne soit trop tard.
Pour le croyant, le vrai combat prioritaire doit être spirituel : si Dieu permet que lui-même soit touché par le port obligatoire du masque, c’est probablement aussi pour réveiller plusieurs de leur léthargie et de leur légèreté au sujet des lois du langage.
Au vu des atrocités qui se passent sous le soleil, en pensées, paroles et en toutes sortes d’actions abominables, si ce n’était la patience d’HaShem (Dieu), il est clair que le monde mériterait immédiatement un second déluge pour le purifier de son immense souillure. Nous sommes fautifs à bien des égards, mais une des plus graves fautes qui pèse sur l’humanité toute entière est définitivement celle de la « mauvaise langue », lachon hara en hébreu.
La ruse et le tour de force du mauvais penchant et du diable consistent à minimiser l’immense gravité de cette faute aux yeux de la multitude; mais l’enseignement du Dieu vivant et de Ses Sages authentiques demeure : la mauvaise bouche est une faute plus grave encore que l’idolâtrie, l’adultère et le meurtre, insistons !
Lorsque les Saintes Écritures nous enseignent que le médisant sera maudit, frappé d’une maladie physique, qu’il devra se couvrir le bas du visage et qu’il sera confiné et deviendra pauvre, sommes-nous à ce point frappés d’aveuglement pour ne pas voir un des immenses et principaux messages envoyés par le Ciel durant cette année 2020 pour nous secouer avant que la ruine n’arrive ?
Lors d’un récent échange que j’ai eu avec mon frère, il a très justement souligné un point important durant son étude à ce sujet : lorsqu’il est dit au sujet du médisant frappé de maladie qu’il se « couvrira la partie inférieure du visage », « le mot hébreu utilisé est “Safam”, qui vient du mot “safa” que l’on retrouve pour la première fois dans la Torah (Bible), au premier verset de Genèse chapitre 11 : « 1 Toute la terre avait une seule langue = safa = et les mêmes mots (ou « tenaient un même langage »). »
Ceci montre encore une fois pourquoi le médisant frappé de lèpre devait aussi se couvrir l’endroit où réside la langue car, comme évoqué plus haut selon l’enseignement de nos maîtres : “regarde ton problème, tu comprendras où est ta faute.”
Ainsi donc, puisque si peu semblent prendre le message au sérieux, l’Eternel permet toutes sortes de mesures pénibles pour beaucoup telles que le port du masque obligatoire, des mesures directement liées au grave problème du lachon hara (médisance, colportage)… Et sans un profond retour à Dieu, le pire est à venir pour beaucoup.
Oublions-nous si facilement que « les voies de l’Eternel sont droites; Les justes y marcheront, Mais les rebelles y tomberont. » ? (Osée 14:9)
Lorsque David fut insulté, outragé et maudit en public par Schiméï (pire que le port du masque), Dieu nous communique un message très fort :
il y a « Abischaï, fils de Tseruja, dit au roi » qui voulait lutter charnellement contre cette injustice et déclara : « Pourquoi ce chien mort maudit-il le roi mon seigneur ? Laisse-moi, je te prie, aller lui couper la tête. »
Adapté à notre époque moderne, Abischaï représente ici celui qui veut lutter charnellement contre des mesures qu’ils considèrent comme injustes (comme le port obligatoire du masque). Le problème n’est pas de savoir qui a tort ou raison, le problème d’Abischaï est qu’il n’a pas agit prioritairement selon le coeur de Dieu.
Paul dirait de tous les Abischaï de ce siècle : « ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence » (Romains 10:2). Mais David, homme selon le coeur de Dieu, dans l’intelligence du coeur que lui donne la Torah, répond selon l’Esprit :
« S’il maudit, c’est que l’Eternel lui a dit : Maudis David ! Qui donc lui dira : Pourquoi agis-tu ainsi ? (…) Laissez-le, et qu’il maudisse, car l’Eternel le lui a dit. 12 Peut-être l’Eternel regardera-t-il mon affliction, et me fera-t-il du bien en retour des malédictions d’aujourd’hui. » (2 Samuel 16:9-12)
Dit autrement : si le gouvernement nous impose le port du masque, c’est que l’Eternel lui a dit ! (…) Laisse faire, que les autorités nous l’imposent ! Peut-être l’Eternel regardera-t-il notre affliction (si nous nous repentons comme David), et nous fera-t-il du bien en retour des malédictions d’aujourd’hui. »
On comprend donc facilement que la polémique sur le masque, sans traiter le problème à sa racine, est inutile et vaine, surtout pour le non spécialiste du sujet, et ne fait que nourrir le satan en plus de manifester un certain degré de rébellion, un certain manque de téchouva et une certaine fragilité de notre part : avec un peu de recul, ce bout de tissu sur la bouche est de la rigolade comparé aux vrais persécutions d’antan où les menaces de mort et de tortures lancées par les autorités planaient sur quiconque se réclamait du judaïsme ou du christianisme…
Si chaque croyant mettait quotidiennement prioritairement “le paquet” sur le problème racine (lachon hara) alors il est probable que soudainement, nous verrions les autres mesures avoir du succès : abandon du port obligatoire du masque par les autorités, diminution de l’épidémie et des mesures restrictives, etc.
Comme je le disais en substance dans un échange privé récent :
« Le problème, aujourd’hui, semble être le suivant : beaucoup de personnes sont dans une bulle dans laquelle ils minimisent l’impact de certains graves péchés bibliques comme la médisance, le colportage et toutes les fautes liées au langage. D’autres se voient comme étant parfaits, irréprochables.
Ainsi, lorsqu’on se croit sans péché ou que l’on minimise l’immense portée et l’effroyable gravité du péché de médisance, comment se repentir efficacement et comment comprendre que nos fautes participent premièrement aux plaies qui frappent ce monde…?
Tandis que la vraie solution consiste effectivement à prioritairement se repentir, on observe que dans la plupart des cas, beaucoup de croyants, avec très peu de remise en question personnelle et de prise de conscience quant à leur propre manque de sanctification dans le domaine du langage, continuent de prier pour que le virus disparaisse, tandis que d’autres vont mobiliser la justice et se battre contre le gouvernement pour faire face aux mesures liberticides, alors qu’il faudrait prioritairement se repentir pour que “le virus” de nos coeurs soit premièrement éradiqué et alors, les autres mesures auraient effectivement du sens, et il est certain que le mal disparaîtrait et que toutes les prières et autres actions en justice seraient alors bien plus efficaces pour retrouver un peu de paix !
C’est là ce que les hommes selon le coeur de Dieu ont fait en tout temps, lors de calamité : à l’instar de David, ils priaient avant tout et prioritairement sur leurs propres fautes : “Nous avons péché comme nos pères, Nous avons commis l’iniquité, nous avons fait le mal.” (Psaumes 106:6). Daniel aussi priait en ce sens et bien d’autres encore. Sans cela, nous menons le mauvais combat : celui selon la chair comme il est dit : « si l’Eternel ne garde la ville, celui qui la garde, veille en vain. Si l’Eternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent, y travaillent en vain; » (Psaumes 127:1)
Paul nous rappelle bien que nos armes ne sont pas charnelles : la source du problème est spirituelle, les seules armes efficaces dont nous disposons sont elles aussi spirituelles et demeurent les mêmes : puissantes par les vertus de Dieu et inchangeables car indestructibles et divinement efficaces, ce sont l’étude de la Torah de Dieu, la pratique des commandements avec sérieux, joie et bon coeur, la diffusion des voies de Dieu, de Sa Torah, de Son Evangile, et la prière continuelle, avec un coeur enflammé pour l’Eternel.
Le converti à Dieu ne devrait jamais oublier que c’est ici la priorité des priorités : non seulement ses autres actions seront alors ensuite bien plus efficaces mais il se préservera par la même occasion des stratagèmes du diable qui cherchera toujours à l’écarter de cette noble tâche prioritaire en le dispersant et en lui faisant mener prioritairement le mauvais combat. »
Et de plus, il ne faut pas perdre de vue que les réseaux sociaux devraient être employés avec beaucoup de circonspection car ils sont devenus des vecteurs majeurs dans la diffusion et la banalisation des fautes liées au langage : Il y a une explosion des propos interdits par la Torah par l’effet d’une propagation virale de toutes ces publications chargées en colportage, en médisance, etc.
Quiconque diffuse à la légère des publications dans lesquelles il y a des mauvaises paroles, des médisances, des calomnies, etc, est tout simplement en train de transgresser de nombreuses lois du langage, par exemple : consciemment ou inconsciemment, il participe et se fait complice des médisances, calomnies et diffamations présent dans la publication qu’il diffuse et, en rapportant les mauvais propos des uns sur les autres, il transgresse l’interdit de faire du colportage, il en écoute, il relaie tous ces mauvais propos et enfin, en banalisant de la sorte tous ces péchés, ils placent un obstacle devant l’aveugle puisqu’il fait écouter à autrui de nombreux propos interdits, laissant ainsi l’impression aux moins affermis que c’est une chose permise et agréée d’en Haut, qu’à Dieu ne plaise !
Alors, est-ce que cela signifie que l’on ne peut plus rien dire ou plus rien relayer ? Absolument pas, il existe heureusement encore des publications assez propres sur tout type de sujet, il faut chercher. Mais si la publication que l’on désire relayer est entachée de mauvais propos, les Saintes Ecritures sont très claires à ce sujet. Et si vraiment les infos sont importantes, il ne reste plus qu’à faire soit-même la synthèse et le résumé de ce que nous avons retenus, sans y ajouter aucun mauvais propos et en citant juste éventuellement les sources : cela demande certes un effort, mais lorsque l’on connait les dégâts des fautes liées au langage et que l’on désire plaire à Dieu et non aux hommes, cela vaut infiniment la peine…
Que dire de plus ? Énormément de choses ont déjà été dites à ce sujet, et finalement, comme dirait le prophète Daniel, à la fin des temps, « aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l’intelligence [du coeur] comprendront. » (Daniel 12 :10).
Outre l’urgence absolue d’une repentance radicale et d’un vrai et réel désir de surveiller et de mettre une garde à sa bouche, de s’investir devant Dieu dans ce travail, il me semble que, plus que jamais, l’heure est aussi et surtout à la prière afin d’invoquer l’aide de Dieu et Sa clémence.
Dans cette optique, j’ai eu très à cœur d’ajouter une nouvelle modeste contribution précieuse je crois : Le ‘Hafets Haïm, grand érudit, grand sage et spécialiste reconnu des lois du langage, nous a légué une prière très courte, efficace et puissante, qu’il nous recommande chaudement de faire chaque jour, au début de la journée.
J’ai donc décidé de mettre cette prière en forme sur un document PDF que chacun pourra imprimer, distribuer, et partager autour de lui s’il le désire. Pour ceux qui sont inscrits dans le module sur les lois du langage, la prière vient d’être récemment déposée dans leur espace privé.
Il est certain que si le grand nombre faisait cette simple et courte prière chaque jour de tout cœur et essayait de s’y conformer, je suis persuadé que cela excitera la compassion et la miséricorde divine et qu’il y aura ainsi un adoucissement des durs décrets qui pèsent sur ce monde, du moins dans la vie de tous ceux qui auront à cœur de travailler pour devenir meilleur et non pour devenir pire…
Voici le lien pour télécharger la prière en direct : Prière pour être protéger et aider dans le domaine du langage
Au cas où le lien ne fonctionnerait pas, voici également l’image qui renvoie au PDF (le PDF est conseillé car de meilleure qualité).
Pour réparer cette terrible faute de la médisance et démontrer à Dieu la réalité de notre repentance, les Sages enseignent que l’ignorant devra s’abaisser et s’efforcer d’acquérir l’humilité et que, chacun selon ses possibilités, nous devrions étudier la Torah comme il est écrit : « une langue bienfaisante est un arbre de vie (allusion à la Torah) » (Proverbes 15:4)
C’est pourquoi, en guise de conclusion finale à ce court message, je ne puis m’empêcher de partager une nouvelle fois tout un travail réalisé cette année grâce à l’Eternel pour aider ceux et celles qui ont la volonté de connaître les lois du langage.
En effet, très souvent, c’est notre immense ignorance de ce que dit la Torah de Dieu dans ce domaine qui nous pousse à fauter avec notre bouche.
A contrario, une protection et une immense bénédiction reposeront sur quiconque travaille à étudier et à mettre en pratique les lois du langage.
Moi-même qui ait suivi ce module sur les lois du langage, je témoigne avoir vu la main de Dieu et Sa providence agir avec force dans ma vie mais… on oublie si vite !
C’est pourquoi, si Dieu permet, il est bon de recommencer et de répéter régulièrement les études car c’est en répétant les enseignements qu’ils se gravent dans nos cœurs, et c’est pourquoi j’encourage ceux qui ont déjà étudié les lois du langage du ‘Hafets ‘Haïm à réviser leur étude !
Voici le lien pour le lecteur intéressé par ce travail et décidé à connaître le conseil de Dieu sur ce sensible sujet :
Combattons le fléau de la médisance en étudiant ensemble les Lois du Langage :
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C’est vrai que la répétition est salutaire, la mémoire sélectionne trop rapidement ce qui flatte l’égo, “mais nous n’avons pas que des droits, mais aussi des devoirs”et j’ajouterai, surtout des devoirs . ginette
Je renouvelle mon appréciation de ce merveilleux travail (sans aucune flatterie) ce serait si beau, un monde où toutes personnes , parlerait “vrais” Ô Eternel, accorde nous un futur aussi beau et bon ! ginette
Je suis si reconnaissante pour tout le travail minutieux et véridique que l’Eternel t’accorde Thomas en ces temps si sombre et difficile. Merci Thomas pour ton humilité et la crainte de l’Eternel que tu nous communiques avec fidélité à toute la Sainte Parole de l’Eternel( le Tanakh et l’Alliance renouvelée). C’est un baume si puissant, que toute la gloire revienne à l’Eternel Dieu des armées.
Si je peux, aussi petite que je suis, vous encourager vivement à réaliser le module si précieux sur les lois du langage.
Je me suis attelée à cette tâche, l’Eternel bénis-soit-il, m’a conduit à la repentance. Je reprends l’étude de ses lois du langage, car je me rends compte que je suis appellée à approfondir encore, de nombreuses bénédictions en sont déjà écoulées.
“Seulement sois fort et très courageux, en prenant garde à observer toute la Torah que Moshé, mon serviteur, t’a ordonné d’observer; ne t’en détourne ni à droite, ni à gauche; alors tu réussiras partout où tu iras.” Josué 1v7
C’est un mot d’ordre que je garde serré dans mon coeur
Merci Thomas,
Faisons nôtre la prière du prophète Habakuk: «Eternel, j’ai entendu ce que tu as annoncé, je suis saisi de crainte. Accomplis ton oeuvre dans le cours des années, Eternel, dans le cours des années fais-la connaître, mais dans ta colère souviens-toi de ta compassion!» (Habakuk 3:2)