Témoignage inédit : un rabbin particulier

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« Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous. » (Matthieu 5.11-12)

Il n’avait pas encore vingt ans quand il devint rabbin, et après avoir desservi pendant plusieurs années différentes communautés dans le nord de la Hongrie, Isaac Lichtenstein s’installa finalement à Tapio Szele. Il y resta pendant presque quarante ans, travaillant sans cesse durement et généreusement pour le bien de son peuple.

Un jour, un mélamed, un instituteur d’une des écoles  juives de son quartier, lui montra une bible en allemand. En tournant les pages, les yeux du rabbin Lichtenstein tombèrent  sur le nom « Jésus Christ ». Il devint furieux, et réprimanda sèchement le mélamed d’avoir un tel livre en sa possession et  lui ordonna d’aller se laver les mains. Dans sa rage, il lança la bible à travers la pièce où elle tomba derrière d’autres livres sur une étagère ; elle y resta, poussiéreuse et oubliée pendant trente et quelques années.

Au cours d’une vague furieuse d’antisémitisme dans la pittoresque petite ville hongroise de Tisza Elsar, située sur la Theiss, douze juifs et une juive furent jetés en prison, accusés d’avoir tué une petite fille chrétienne afin d’utiliser son sang dans des buts rituels. Comme dans tous les autres cas où une accusation si diabolique était portée contre des juifs, l’accusation de sang à Tisza Eslar fut en fin de compte prouvée comme fausse et sans fondement.

Il vint à l’esprit du rabbin Lichtenstein qu’il devait y avoir quelque chose dans les enseignements du Nouveau testament qui  excitait l’inimitié envers les juifs, et en fouillant dans ses livres, il tomba sur la bible allemande que trente ans plus tôt il avait jetée avec colère. Il la ramassa et avec hésitation l’ouvrit et l’examina attentivement ; Son état d’esprit, à cette époque, se révèle le mieux au travers de sa publication, JUDENSPIEGEL, «  Miroir juif », dans laquelle il écrit :

« ‘Ils m’ont beaucoup affligé depuis ma jeunesse, qu’Israël le dise maintenant’ (Psaume 129 :1). Il n’y a pas besoin d’une longue explication pour montrer que dans ces quelques mots le psalmiste résume les expériences et les chagrins amers que nous, au moins la génération aînée, avons souffert depuis notre jeunesse, livrés aux mains des populations de gentils qui nous entouraient.

   Comme les impressions des premiers moments de la vie s’ancrent profondément en nous et comme ces dernières années je n’ai pas encore eu de raisons de les modifier, il n’est pas étonnant que j’en sois venu à penser que le Christ lui-même était le fléau et la malédiction des juifs, la cause de nos chagrins et de nos persécutions.

      Je suis arrivé à l’état adulte dans cette conviction, et j’ai vieilli en l’entretenant. Je ne connaissais aucune différence entre le véritable  christianisme et celui qui ne l’est que de nom ; de la source même du Christianisme, je ne savais rien.

   D’une manière assez étrange,  ce fut l’horrible  accusation du sang de Tisza Eslar qui m’amena pour la  première fois à lire ce que les gentils appellent le « Nouveau Testament ». Ce jugement sortit tous nos ennemis de leurs endroits cachés, et une fois de plus, comme dans les temps anciens, le cri se fit à nouveau entendre : « Mort aux juifs ! » La fureur était excessive et parmi les meneurs de la révolte, il y en avait beaucoup qui se servait du nom du Christ comme d’un  manteau pour couvrir leurs actions abominables.

   Ces pratiques méchantes d’hommes qui portaient le nom du Christ seulement pour poursuivre leurs desseins mauvais soulevèrent l’indignation de quelques chrétiens authentiques, notamment  celle du Professeur Franz Delitzsch de l’Université de Leipzig ; avec une plume de feu et une voix de sévérité remontrance, ils dénoncèrent la colère menteuse des antisémites.

   Dans des articles écrits par ce dernier pour la défense des juifs, j’ai souvent rencontré des passages où l’on parle du christ comme de quelqu’un qui apporte la joie à l’homme, le Prince de la Paix, et le Sauveur ; et son message était prôné comme un message d’amour et de vie pour tous les hommes.

   J’étais surpris et en croyais à peine mes yeux, quand je trouvai dans un coin caché le livre que quelques trente années auparavant j’avais dans ma colère arraché des mains d’un instituteur juif. J’ouvris le livre, en tournai les pages et lus.

Comment puis-je exprimer l’impression que je ressentis ?

   On ne m’avait pas dit la moitié de la grandeur, de la puissance et de la gloire de ce livre, jusqu’alors un livre scellé pour moi. Tout paraissait si nouveau, et pourtant il me fit du bien, comme la vue d’un vieil ami qui a déposé ses vêtements poussiéreux et usés par le voyage et apparaît en habit de fête, comme un marié en vêtement de noces ou une mariée ornée de ses bijoux. »

Pendant deux ou trois ans le rabbin Lichtenstein garda ces convictions enfermées dans son cœur. Cependant, il se mit à prêcher dans sa synagogue d’étranges et de nouvelles idées qui à la fois intéressaient et étonnaient ses auditeurs. Finalement, il ne put plus se contenir. Dans sa drashah (prédication) lors d’un shabbath, il mentionna  la « parabole des sépulcres blanchis », il admit ouvertement que son sujet était tiré de livre intitulé la Brith ha-rhadashah que les gentils appellent le Nouveau Testament et il parla de (Jésus) Yéshou’a comme le Messie qui doit venir, le sauveur d’Israël, mais qui est jusqu’à présent le Serviteur souffrant du Saint Béni soit-il.

Il inclut ses idées dans trois publications qui parurent l’une après l’autre rapidement et qui firent sensation parmi les Juifs, non seulement en Hongrie mais dans tout le continent européen. Et ce n’était pas étonnant ! Car voilà qu’un rabbin âgé et respectable, encore en activité, sommait ses ouailles de se ranger sous la bannière de Yéshoua ha-notzri et de le saluer comme le Serviteur souffrant et leur vrai Messie à venir.

Comme cela était inévitable, aussitôt que les officiels juifs se rendirent compte de la signification de la position du rabbin Lichtenstein, une tempête de persécution s’abattit sur lui. Et celui qui, quelques semaines seulement auparavant était classé parmi leurs plus nobles chefs et professeurs, était maintenant décrit comme un déshonneur et un reproche.

On l’accusa de s’être vendu aux missionnaires. Certains même affirmèrent qu’il n’avait jamais écrit les pamphlets lui-même, mais avait seulement été soudoyé pour y apposer sa signature. Il fut convoqué pour comparaître devant le Rabbinat assemblé à Budapest. Il obéit. En entrant dans la salle, il fut accueilli par le cri : « Rétractez-vous ! Rétractez-vous ! »

« Messieurs », répondit-il, « je me rétracterai très volontiers si vous pouvez me convaincre que j’ai tort. »

Le Grand-Rabbin Kohn proposa un compromis : le rabbin Lichtenstein pouvait croire ce qu’il voulait s’il acceptait de s’abstenir de prêcher le Mashiarh. Et quant à ces épouvantables pamphlets qu’il avait déjà écrits, le mal pouvait être réparé d’une manière très simple : la conférence des rabbins rédigerait un document disant que le rabbin Lichtenstein avait agi dans un accès de folie passagère !

Le rabbin Lichtenstein répondit calmement, mais avec indignation que la proposition qu’on lui faisait était plutôt bizarre, puisque pour la première fois il avait toute sa raison. Alors ils lui demandèrent de renoncer à sa position de rabbin et de se faire dûment baptiser. Il répondit qu’il n’avait pas l’intention de se joindre à une église ; qu’il avait trouvé dans la Brith ha-rhadashah le véritable Judaïsme ; et qu’il voulait rester comme avant avec son kahal (ses paroissiens). C’est ce qu’il fit et ceci en dépit de nombreuses persécutions et reproches accumulés contre lui. De par sa position officielle de rabbin, il continua d’enseigner et de prêcher dans son district en citant la Brith-harhadasha. C’était un touchant témoignage du solide attachement de sa propre communauté qui seule avait le pouvoir de réclamer sa démission. A vrai dire, il eut beaucoup de pressions à supporter ; certains membres de la kehilah (paroisse) et de la famille de sa femme furent complètement ruinés par la perte de leur commerce, mais ils lui restèrent toujours attachés.

Vers cette époque le rabbin Lichtenstein et ses écrits étaient devenus bien connus, et différentes organisations missionnaires et ecclésiales cherchaient ses services. La papauté aussi apprit l’existence et l’importance de cet homme et un émissaire spécial envoyé par le Pape visita Tapio Szele avec des offres tentantes pour le cas où le rabbin accepterait d’entrer au service du Vatican.

Le rabbin Lichtenstein avait une seule réponse pour tous : « Je resterai parmi les miens. J’aime Yéshou’a mon goël et Mashiarh,  je crois dans la Brith-harhadashah ; mais je ne me sens pas poussé à devenir membre d’une église chrétienne. De même que le prophète Jérémie, après la destruction de Jérusalem préféra rester et se lamenter au milieu des ruines de la Ville Sainte avec ce qui restait de ses frères, ainsi je resterai moi aussi parmi mes frères, comme un gardien à l’intérieur des murs, pour les avertir et les supplier de voir en Yéshou’a la véritable gloire d’Israël. »

Finalement, sa santé étant très affectée par les nombreuses épreuves et chagrins qui s’abattaient sur lui, il démissionna de ses fonctions de rabbin de district, il s’installa à Budapest où il trouva une grande liberté d’action pour ses talents ; mais l’opposition était implacable.

Il fut filé et même physiquement attaqué dans la rue. Son barbier fut soudoyé pour enlaidir sa très belle barbe. Son propriétaire surveillait de près tous ceux qui lui rendaient visite et faisait des rapports aux autorités rabbiniques. Mais, de même qu’un torrent arrêté dans sa course se creuse de nouveaux lits, de même il était sans cesse interviewé et amené à discuter avec des Juifs de toutes positions sociales.

« La sagesse crie et fait entendre sa voix dans la rue », écrivait-il à son ami de Londres, David Baron. « Docteurs, professeurs d’université et officiels viennent chez moi. Beaucoup de familles haut placées viennent aussi nous visiter et condamnent la dure conduite du rabbinat d’ici à mon égard. J’ai souvent de graves et importantes discussions avec des experts du Talmud et des rabbins qui désirent m’amener à un compromis, et cela vaut la peine de remarquer que beaucoup d’entre eux qui auparavant n’avaient aucune connaissance de la Brith-harhadashah m’en ont ensuite demandé une copie. »

   Pendant plus de vingt ans, le rabbin Lichtenstein, en de nombreux endroits du Continent, rendit témoignage à la vérité comme il la voyait dans le Mashiarh. A la fin, les tempêtes de la controverse, de la mésentente et de l’antagonisme, commencèrent à porter sur sa santé. Toutefois son esprit restait intrépide. 

Vers cette époque il écrivit : « Chers frères juifs : j’ai été jeune et maintenant je suis vieux. J’ai atteint l’âge de quatre-vingts ans, âge dont le psalmiste parle comme étant la dernière période de la vie humaine sur terre. Alors que les gens de mon âge récoltent avec joie les fruits de leurs labeurs, moi je suis seul, presque abandonné, parce que j’ai élevé la voix en avertissement :’Reviens, ô Israël, reviens vers le Seigneur ton Dieu ; car tu as trébuché à cause de ton iniquité. Munis-toi de paroles (de repentir), et reviens vers le Seigneur.’ (Oshiyah/Osée 14 :2-3).

« Moi, rabbin honoré pendant presque quarante ans, je suis maintenant dans ma vieillesse traité par mes amis comme si j’étais possédé d’un esprit mauvais et par mes ennemis comme un proscrit. Je deviens le souffre-douleur des moqueurs qui me montrent du doigt. Mais tant que je vis je veux me tenir sur ma tour de guet, bien que je puisse y être tout seul. Je veux écouter les paroles de Dieu et scruter le temps où Il reviendra vers Sion dans sa miséricorde, où Israël remplira le monde de son joyeux cri : ‘Oshi’anna au Fils de David ! Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur ! ‘Oshi’anna au plus  haut des cieux ! »

Sans qu’on s’y attende, il tomba malade et ne fut alité que peu de temps. Comme il se rendait compte que sa fin approchait, il dit, en présence de sa femme et de l’infirmière :

« Présentez mes  remerciements et mes salutations les plus chaleureux  à mes frères et amis ; mes enfants ; bonsoir, mes ennemis, vous ne pouvez plus me faire de mal. Nous avons un seul Dieu et un seul père, nous qui sommes appelés ses enfants dans le ciel et sur la terre, et un seul messie Yéshou’a qui a donné sa vie pour le salut des humains. Dans tes mains je remets mon esprit. »

   Le jour était lugubre ; il était huit heures du matin du vendredi 16 octobre 1909 quand le vieux rabbin entra dans la présence de son Seigneur.

Quelle différence il y avait entre son merveilleux esprit d’amour et de pardon et l’esprit amer de ses ennemis ! Le lendemain de son enterrement parut un éditorial dans le « Allgemeine Jüdische Zeitung », l’organe du parti juif orthodoxe de Budapest ; le voici reproduit ici pour montrer la haine et la persécution implacables qu’un juif disciple de Yéshou’a, bien que sa vie fut irréprochable, dut supporter parce qu’il eut le courage de ses convictions et parce qu’il exprima la vérité comme il la vit.

Bien sûr, l’éditorial contient beaucoup de mensonges et de calomnies et ce fut une nouvelle tentative pour discréditer le témoignage du rabbin Lichtenstein aux yeux des juifs. Cependant, à sa manière, il porta témoignage au caractère unique en son genre de l’homme qui dans l’exercice de ses fonctions proclamait les doctrines fondamentales du Tanach (Torah-Neviim, Ketoubim) et de la Brith-harhadashah.

Une traduction littérale de l’éditorial yiddish se lit comme suit :

« Hier, l‘ancien rabbin de Tapio Szele, I. Lichtenstein -puisse son nom être effacé !- fut enterré ici. Quand il était encore rabbin, il était au service de la mission qui prend les âmes au piège. De la bimah  juive il proclamait les doctrines fondamentales du Christianisme et écrivit un pamphlet dans lequel il invitait les juifs à reconnaître le fondateur de la religion chrétienne. Le scandale avait duré un bon moment quand le rabbinat de Budapest réussit enfin à persuader les représentants de la communauté de Tapio Szele, composée pour la plus grande part de parents et d’amis de Lichtenstein, d’exiger sa démission et son retrait du rabbinat.

Depuis cette époque, le vieil apostat a vécu à Budapest de l’argent que lui fournissaient des sociétés missionnaires anglaises parce qu’il prêtait son nom dans des buts missionnaires. Cependant, il ne fut pas dûment baptisé et ainsi ce ‘fourbe et cet imposteur’ fut enterré dans le cimetière de la Synagogue réformée de Budapest. ‘Le nom des méchants disparaîtra’. »

L’éditeur du « Allgemeine Jüdische Zeitung » peut être assuré Rabbin Isaac Lichtensteinque « le nom des méchants » et de tous les menteurs et calomniateurs sera vraiment « effacé » et « disparaîtra », mais qu’on se rappellera le nom du rabbin Isaac Lichtenstein parmi ceux des héros de l’Esprit.

« J’ai pensé que la Brith harhadashah, « le Nouveau Testament » est impur, une source d’orgueil, de haine, et la pire espèce de violence, mais quand je l’ai ouvert, je me suis senti particulièrement et merveilleusement captivé par son message.

Une gloire soudaine, une lumière a jailli dans mon âme. Je cherchais des épines, et j’ai recueilli des roses ; j’ai découvert des perles au lieu de cailloux ; au lieu de haine, je découvrais l’amour; au lieu de la vengeance, le pardon; à la place de l’esclavage, la liberté; au lieu de l’orgueil, l’humilité; à la place de l’inimitié, la conciliation, au lieu de la mort, la vie, le salut, la résurrection, un trésor céleste. » Isaac Lichtenstein.

_____

כִּי-יֶלֶד יֻלַּד-לָנוּ, בֵּן נִתַּן-לָנוּ, וַתְּהִי הַמִּשְׂרָה, עַל-שִׁכְמוֹ; וַיִּקְרָא שְׁמוֹ פֶּלֶא יוֹעֵץ, אֵל גִּבּוֹר, אֲבִי-עַד, שַׂר-שָׁלוֹם

ישעיה. ט,ה

C’est qu’un enfant nous est né, un fils nous est accordé: la souveraineté repose sur son épaule, et on l’a appelé Conseiller merveilleux, Héros divin, Père éternel, Prince de la Paix.

Esaïe 9 :5

Auteur : Jonathan Kamer  d’après ANAF HA-ZAIT 

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8 Commentaires

  1. jean claude

    témoignage très édifiant qui fortifie ma foi en Christ. Merci pour tout.

    Réponse
  2. ella

    Ce fut un témoignage émouvant , qui m’a beaucoup touché comme toute histoire de foi se rapportant à Jésus-Christ . Je prie chaque jour que le Dieu d’Israël puisse se révélé à son peuple afin que chacun découvre la vérité du Messie . Merci Thomas

    Réponse
  3. Luc HENRIST

    Ce que je trouve très intéressant de noter, c’est que personne ne lui a parlé de Yéshoua… Il l’a découvert en LISANT les Ecritures… Cela me rappelle ce que Yéshoua disait aussi (Jean 5:39)  » 39 Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi » Et bien entendu, ici Yéshoua parle du Tanakh (l’Ancien Testament)! Il est clair que Yéshoua se trouve en « filigrane » dans TOUTE la Bible et que c’est Lui-même qui se révèle à Son peuple, comme Il l’a fait avec les disciples d’Emmaüs (Luc 24) « 30 Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain et, après avoir prononcé la prière de bénédiction, il le rompit et le leur donna. 31 Alors leurs yeux s’ouvrirent et ils le reconnurent » Et leurs yeux s’ouvriront lorsqu’Il reviendra (Zacharie 12): « 10 Alors je déverserai sur la famille de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont transpercé » Bien entendu, si Dieu nous donne l’occasion de partager ce que nous croyons, nous ne devons pas avoir honte de l’Evangile. Mais nous devons garder en tête que ce n’est QUE le Saint-Esprit qui peut convaincre de « péché, de justice et de jugement ».

    Réponse
  4. Aurélie

    Merci Thomas pour ton site qui respire l’Amour de notre Adonaï YHWH et notre sauveur Yeshoua Ha Mashiah et merci pour ce beau témoignage d’Isaac Lichtenstein.
    Je prie notre Adonaï Elohim de toucher le cœur de tous nos frères et sœurs juifs et des athés pour qu’ils acceptent le sacrifice parfait de Yeshoua Ha Mashiah.
    Que YHWH te bénisse abondement ainsi que tous les frères et sœurs qui croient en Yeshoua Ha Mashiah.
    Que tous nos ennemis soient bénis également afin qu’ils voient la gloire de YHWH, qu’ils se repentent et qu’ils soient eux aussi sauvés par Yeshoua Ha Mashiah.

    Réponse
  5. Jean-Luc LLinares

    Merci pour ce partage
    Que Dieu touche le cœur de tout le peuple d’Israel au nom de Jésus Christ fils de notre père Adonaï

    Je suis fortifié pour témoigner Christ et porter témoignage au peuple de Dieu qui est le mien par grâce au fils de David Yeshua amen

    Réponse
    • Pia

      Je ne connaissais pas, merci pour cette decouverte

      Réponse

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