Du Pêcheur de Poissons au Pêcheur d’Hommes: Témoignage exceptionnel de Pierre Gatefossé
Deux races d’hommes, et un appel éternel
« Il n’y a que deux sortes d’hommes : les uns justes, qui se croient pécheurs ; les autres pécheurs, qui se croient justes. »
— Blaise Pascal
En tout temps, ils sont nombreux à prétendre marcher en droiture de vie alors qu’ils errent loin des sentiers de la justice divine. Et, parmi ceux-ci, certains sont rattrapés par la Main Céleste, non pour leur mérite, mais pour la seule gloire du Nom Divin. Pierre Gatefossé fut de ceux-là.
Voici un témoignage singulier, véritable miroir de la grâce divine, où l’humour de l’homme se mêle à la gravité du salut, et où la lumière du ciel transperce l’épaisse obscurité de l’ignorance spirituelle. Cet homme, marchand de poissons, homme sans histoires, sans Bible, sans quête apparente de Dieu, fut pourtant saisi par le bras du Très-Haut.
Et quel bouleversement ! Celui qui ne connaissait point les oracles sacrés s’est vu visité par Celui qui ne sommeille ni ne dort. Le Messie (Christ) vivant, Yéshoua (Jésus) de Nazareth, lui est apparu non dans une église faite de main d’homme, mais dans le sanctuaire du cœur. Et depuis ce jour-là, Pierre et son épouse, devenus pasteurs et messagers de la Bonne Nouvelle, s’en vont annoncer aux nations que Dieu est vivant et puissant pour sauver.
« Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » – Luc 19:10
Le récit de Pierre est non seulement édifiant mais aussi savoureusement coloré, arrosé d’un humour sain qui désarme les sceptiques et réchauffe les âmes. C’est un témoignage qu’il faut écouter jusqu’au bout, tant les perles spirituelles s’y succèdent comme les poissons dans le filet d’un bon pêcheur.
L’appel du Messie au bord de la mer
« Au bord de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon appelé Pierre, et André, son frère, qui jetaient un filet dans la mer ; en effet, ils étaient pêcheurs. Il leur dit : Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d’hommes. » – Matthieu 4:18-19
Ah ! Ce divin appel, cette voix puissante qui, jadis, fit frémir les eaux de la Galilée, continue de résonner au travers des siècles. Les frères pêcheurs, de simples artisans du quotidien, furent appelés à une œuvre qui dépassait leur filet, leur barque et leur horizon.
C’est ce qui arriva à Pierre Gatefossé, lui aussi pécheur de poissons devenu pécheur d’âmes. Et l’on comprend mieux ce que signifie être « pécheur d’hommes » lorsqu’on voit de ses yeux l’effet que produit la prédication de l’Évangile sur les cœurs les plus endurcis. Ce n’est pas là simple poésie ni vague parabole, mais œuvre vivante de Dieu.
« L’Évangile est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit. » – Romains 1:16
Dans les eaux sombres de ce monde, dans les vagues du péché, les hommes se noient. Et Yéshoua/Jésus, dans sa tendre compassion, envoie ses disciples comme des pêcheurs d’âmes, pour les arracher aux flots mortels, et les faire entrer dans la barque du salut.
L’appel aux humbles : non aux intellectuels, mais aux vrais cœurs
L’appel du Messie/Christ ne résonna pas d’abord dans les académies talmudiques (yeshivot), les amphithéâtres ni dans les cercles des savants et des érudits, mais « dans les chemins et le long des haies » (Luc 14:23), parmi les pêcheurs, les artisans, les hommes aux mains calleuses mais au cœur prêt à battre au rythme de l’Éternel. Il les appela simplement, puissamment, irrésistiblement : « Suivez-moi ». Et ils laissèrent tout. Non pour un gain mondain, mais pour une gloire éternelle.
Ils ne demandèrent ni fiche de paie, ni assurance voyage, ni reconnaissance publique. Ils partirent, conquis par une voix, bouleversés par une présence, enivrés d’un amour si profond qu’il faisait pâlir la mer elle-même.
« Aussitôt, laissant là leurs filets, ils le suivirent. » – Matthieu 4:20
Et aujourd’hui encore, rares sont ceux qui répondent avec un tel abandon. La jeunesse est distraite, ballottée, et trop souvent, la première créature croisée en chemin fait oublier l’appel du Créateur. Pourtant, le Seigneur appelle toujours. Peut-être ne t’enverra-t-il pas un ange vêtu de lumière, mais un e-mail, un ami, un livre… ou le témoignage d’un simple marchand de poissons devenu messager du Très-Haut.
« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs. » – Hébreux 3:15
Se jeter à l’eau : l’obéissance qui rafraîchit l’âme
Il est des choses qui, de prime abord, paraissent dures à l’homme. L’appel de Dieu ne flatte pas la chair, il la crucifie. Il renverse nos idoles, fait tomber nos raisonnements, et brise le sceptre de notre volonté. Mais quand l’âme accepte de se plier, elle découvre la liberté véritable, cette liberté douce comme un vent d’été, paisible comme les eaux tranquilles vers lesquelles nous conduit le Bon Berger.
Obéir à Dieu, c’est comme entrer dans une eau dont on craint la froideur au début, mais qui devient bientôt une caresse pour le corps entier. Au départ, on tâte du pied, on hésite, on frissonne… mais sitôt qu’on s’y jette tout entier, quelle fraîcheur ! Quelle paix ! Quel repos ! Ainsi en est-il de la Vérité divine.
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » – Jean 8:32
Ah ! Que d’âmes frileuses, tremblantes sur le bord de l’obéissance, refusent d’entrer dans ce bain salvateur ! Mais pour ceux qui y plongent, le bain devient purification, régénération, vivification. Car servir le Dieu vivant, être appelé son enfant, c’est le plus prestigieux des statuts, et la plus douce des libertés.
Le jugement ou la grâce ? À chacun son choix
Sans foi dans le sacrifice expiatoire du Messie, le sort de l’homme est scellé : c’est l’obscurité des ténèbres extérieures, le silence assourdissant d’une séparation éternelle. Cela est dur à entendre, certes, mais plus dur serait de ne jamais l’avoir su. Mieux vaut être averti du précipice avant de tomber.
Mais si l’homme se détourne du mal, s’il regarde vers la croix où fut suspendu le Fils de Dieu, alors la mort perd son aiguillon, la tombe son venin, et l’âme trouve le repos.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » – Jean 3:16
Ce message, ami lecteur, n’est pas une fable, mais la divine proclamation d’un Roi Sauveur, un Roi qui ne cherche pas à condamner, mais à guérir. Car condamner, selon le sens profond du terme, c’est considérer comme inguérissable.
Mais Dieu, béni soit son Nom, ne nous laisse pas périr dans notre gangrène. Il envoie le Médecin des âmes, Celui dont le sang purifie, et dont l’amour restaure.
Voir son cœur mis à nu : une vision redoutable mais salutaire
Pierre Gatefossé, dans son témoignage, décrit un moment terrifiant et révélateur. Il a vu, par une vision céleste, le jugement divin porté sur la vie de tout homme.
Chaque pensée, chaque acte, chaque intention y étaient exposés comme sur un parchemin lumineux. Non pas seulement les péchés grossiers, visibles des hommes, mais les plus secrètes motivations, les replis sombres de l’âme.
Face à une telle clarté, qui pourrait tenir debout ? L’homme, découvrant son véritable état, plongerait dans une affliction si intense, une démence si profonde, que nul ne pourrait l’en arracher, si ce n’était la main percée du Sauveur.
Oui, le cœur humain est atteint d’une maladie incurable, appelée péché, et si Dieu nous condamnait, il nous laisserait simplement dans cet état, sans secours, sans espoir. Mais non ! Il a envoyé le Médecin céleste, l’Agneau immolé, le Juste pour les injustes.
Le Père aimant, non le tyran céleste
Trop souvent, l’image de Dieu est tordue dans les esprits : un père colérique, armé d’un bâton, prêt à frapper la moindre faute. Mais ce n’est pas le Dieu de la Bible, ce n’est pas le Père de notre Seigneur Yéshoua. Certes, Dieu est saint, et sa justice est sans faille ; mais son cœur déborde d’amour, et sa main, percée pour nous, toujours prêtes à nous secourir si seulement nous daignons la saisir !
« Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous. » – Romains 8:32
Voilà le Dieu que Pierre Gatefossé a rencontré. Voilà le Dieu qui appelle encore aujourd’hui les hommes à sortir de leur égarement. Voilà le Dieu qui fait d’un pêcheur de poissons un pêcheur d’hommes, d’un incrédule un adorateur, d’un marchand de rue un héraut de l’Évangile.
Un appel vibrant : de la barque au Royaume
Quand Jésus appelle, il ne cherche pas des théoriciens du divin, mais des âmes prêtes à se lever, à quitter leurs barques et à suivre. Son appel n’est pas toujours audible à l’oreille, mais il frappe à la porte du cœur, avec une insistance tendre et ferme à la fois.
Et Dieu a mille moyens pour se faire entendre : par une voix intérieure, une parole lue, un témoignage, un rêve, une vision, ou même une vidéo partagée sur un site Internet. Aucun obstacle ne peut empêcher le Roi des rois de parler à ceux qu’il a élus.
Alors, cher lecteur, si Dieu te parle, ne sois pas comme ces vaches qui regardent passer le train, l’âme vide et l’esprit distrait. Ne reste pas sur le rivage, hésitant à entrer dans les eaux du Royaume. Réponds plutôt : « Me voici, Seigneur ! »
« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » – Matthieu 11:28
Des signes visibles : transformation et miracles
Le témoignage de Pierre Gatefossé n’est pas une fable pieuse, ni un conte à dormir debout. Il est le récit vivant de l’action d’un Dieu réel. Car Dieu agit encore, et les miracles ne sont pas relégués au passé.
Dans les villages d’Afrique où Pierre annonce l’Évangile, les malades sont guéris, les possédés sont délivrés, les vies sont changées. Non par la force d’un homme, mais par la puissance du Nom au-dessus de tout nom : Yeshoua, le Messie d’Israël, le Sauveur du monde.
Ce que Dieu a fait pour lui, il peut le faire pour vous.
La Bonne Nouvelle, toujours actuelle
Oui, le message de l’Évangile est d’une actualité brûlante. Il ne s’agit pas d’un système religieux ancien, mais d’une proclamation divine : Dieu veut réconcilier l’homme avec Lui. Ce lien brisé par le péché peut être restauré, non par les œuvres ou les mérites, mais par la foi dans le sang de l’Agneau.
« Dieu prouve son amour envers nous en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Le Messie est mort pour nous. » – Romains 5:8
Dieu ne change point. Ce qu’il a promis, il l’accomplit. Ce qu’il a commencé en Pierre Gatefossé, il veut le faire aussi en chacun. Il appelle chaque homme, chaque femme, chaque jeune à venir à Lui, non pour les accabler, mais pour les restaurer, les revêtir d’une vie nouvelle.
Un choix à faire
Lecteur, te contenteras-tu d’admirer ces récits de loin ? Ou répondras-tu, comme les disciples jadis, en laissant tes filets et tes hésitations pour suivre Celui qui donne la vie ?
Il n’est pas trop tard. La grâce est encore offerte. Yéshoua (Jésus) est toujours ce Sauveur qui tend la main, relève l’homme, et fait d’un cœur brisé une demeure pour sa gloire.
Écoute-le. Suis-le. Laisse-toi transformer. Et tu verras, à ton tour, ce que Dieu peut faire d’un cœur qui se donne.
« Voici, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui. » – Apocalypse 3:20
▼ Réagissez à cet article en laissant un commentaire ! ▼
- Note importante relative aux articles et vidéos faisant intervenir à la fois des juifs, des rabbins, des chrétiens et des pasteurs : Si vous avez une interrogation ou une incompréhension à ce sujet, nous vous renvoyons au volet concerné qui explique en détail notre position. Cliquez ici : F.A.Q - Rencontrer Dieu
- Note sur les commentaires sur ce site et ailleurs (YouTube, etc.) : les commentaires ne sont publiés que s'ils sont conformes à La Politique De Modération du site : Lire la politique de modération
Veuillez citer la source lors de toute copie partielle ou complète des contenus de ce site web, ainsi que le rappellent justement les maximes des pères (Pirqé Avot) : « Quiconque cite l’auteur d’une parole amène la délivrance dans le monde ». Pour le reste, c’est entre vous et Dieu qui sonde les cœurs et qui rendra à chacun selon ses œuvres.
Juste pour dire merci au SEIGNEUR JÉSUS DE MA VIE QUI EST ENTRER DANS LE COEUR DE MA MÈRE ! QUE JÉSUS DEMEURE LE SEIGNEUR DE MA VIE, QU’IL ME CONDUISE TOUS LES JOURS A LE CONNAITRE ! QUE SAINT NOM SOIS BÉNI !