Dernière révision éditoriale : 20 mars 2025 • par RencontrerDieu.com
Témoignage de Saïd : de L’Islam à une rencontre avec le Messie Yéshoua (Jésus)
« Les hommes ont plus que jamais soif de Yéshoua (Jésus). Il est la véritable réponse, lui seul peut sauver notre âme ».
Une Source d’Eau Vive pour l’Éternité
« Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. Jean 4.14 »
Ô lecteur, as-tu jamais connu cette soif profonde qui consume l’âme, cette quête insatiable de vérité et de certitude ? Il en fut ainsi pour notre frère Saïd Oujibou, un homme qui, dès sa tendre enfance, fut instruit dans les préceptes de l’Islam.
Il y trouva une noble morale, une éthique élevée, et pourtant, quelque chose lui manquait. Une inquiétude grandissait en lui, comme une mer agitée par la tempête. Il voulait savoir ! Oui, il désirait ardemment la certitude de son sort après la mort. Qui pourrait apaiser son cœur troublé ?
L’homme peut chercher à étancher sa soif aux citernes crevassées de ce monde, mais elles ne font qu’augmenter son tourment. Ce n’est pas dans la ferveur religieuse seule que l’on trouve la paix, ni dans les œuvres de justice que l’on forge une assurance éternelle. L’âme de Saïd aspirait à plus qu’une simple obéissance aux commandements ; elle réclamait une communion vivante avec son Créateur !
Et alors, ô miracle de la grâce ! Il rencontra Yéshoua, le Messie, le seul qui puisse dire : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11.28). Ce fut pour lui comme une aube éclatante après une longue nuit d’angoisse. Désormais, il savait, il était certain ! Son salut ne reposait plus sur ses propres mérites, mais sur le Messie vivant, sur l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.
« L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. » — Romains 8.16
Quelqu’un peut-il comprendre ce que c’est que d’être adopté par le Roi des rois ? Saïd en fit l’expérience glorieuse ! Il trouva non seulement la paix que le monde ne peut ni donner ni enlever, mais aussi la certitude inébranlable d’être réconcilié avec Dieu. C’était là une eau qui ne tarirait jamais, une source jaillissante qui le conduirait jusque dans l’éternité.
La Nouvelle Naissance : Un Miracle de Grâce
« Celui qui me cherche de tout son cœur me trouvera. » — Jérémie 29.13
L’homme peut errer longtemps dans le désert aride de ses propres pensées, cherchant un oasis où se désaltérer. Mais il n’y a pas de répit pour l’âme qui n’a pas encore trouvé son Créateur ! Bien des hommes sont enclins à croire que la foi est un édifice de raison, une construction de l’intellect, une simple disposition morale. Mais la Bible nous dit autre chose : il faut naître de nouveau !
Ce n’est pas un changement d’opinion, ce n’est pas une amélioration morale, ce n’est pas une réforme des habitudes – c’est une œuvre surnaturelle de l’Esprit de Dieu !
« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Corinthiens 5.17).
Saïd fit l’expérience de cette nouvelle naissance. Ce n’était pas le fruit d’une spéculation philosophique, ni le résultat d’une introspection prolongée, mais bien la réponse divine à son cri sincère. Il chercha, et il trouva. Il frappa, et l’on lui ouvrit !
Dans ce glorieux miracle du salut, Dieu n’offre pas une simple consolation passagère, mais un renouvellement total de l’âme. L’Esprit Saint descend dans l’homme tel un feu sacré, purifiant son cœur, illuminant son esprit, lui accordant une communion vivante avec son Créateur. Ce n’est pas une illusion psychologique, ce n’est pas un enthousiasme passager – c’est la puissance de Dieu à l’œuvre !
« L’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. » — Jean 4.23
Ah, cher lecteur, as-tu connu ce miracle ? Ton esprit a-t-il été réveillé de la mort spirituelle ? Il ne suffit pas de parler de Dieu, il faut le rencontrer. Il ne suffit pas de connaître des versets bibliques, il faut en vivre la réalité. Ne te contente pas d’un pâle reflet de la vérité – viens à la source, bois et vis !
Le Péché et la Juste Colère de Dieu
« Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » — Romains 6.23
Lorsque le premier homme choisit de désobéir à Dieu, ce fut comme si une lampe s’éteignait dans son âme. La lumière de la communion divine se retira, et les ténèbres du péché envahirent son être. Depuis ce jour, chaque fils d’Adam, chaque fille d’Ève, naît dans un état de séparation d’avec son Créateur.
L’homme se plaît à se croire maître de son destin, libre de façonner sa propre justice. Il pense que ses bonnes œuvres, sa moralité et ses intentions suffiront à l’acquitter devant Dieu. Mais la vérité est plus terrible encore : nous sommes morts spirituellement ! Nos propres justices sont comme un vêtement souillé devant le Seigneur.
La Bible est claire : « Il n’y a point de juste, pas même un seul. » (Romains 3.10). Pas un seul homme ne peut prétendre être assez bon pour mériter le ciel ! Si Dieu jugeait l’humanité sur la seule base de la justice parfaite, qui pourrait tenir devant Lui ? Qui pourrait échapper à son regard saint et pur ?
Le jugement divin n’est pas un conte de fées, ni une menace vide de sens. Il est le jour où chaque âme comparaîtra devant le trône de Celui qui est trois fois saint. Le péché appelle le jugement, et ce jugement sera total, définitif et sans appel !
Mais que les âmes troublées écoutent, car voici la bonne nouvelle :
« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » — Jean 3.16
L’amour de Dieu ne fait jamais abstraction de sa justice, mais il pourvoit lui-même au salut de l’homme ! Là où il y avait condamnation, Christ apporte la rédemption. Là où il y avait désespoir, il offre une espérance inébranlable.
Le Messie Yéshoua (Jésus-Christ) : L’Unique Espérance du Monde
« Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » — Actes 4.12
Oh, quelle gloire ineffable, quelle joie insondable que celle de savoir que Dieu n’a pas laissé l’humanité à son triste sort ! Ce monde est un champ de ruines, une vallée de larmes, un théâtre de violence et de désespoir. L’homme, dans son arrogance, détruit sa propre demeure, souille la terre sous ses pieds, et pourtant il se croit maître de son destin. Mais où trouve-t-il la paix ? Où découvre-t-il la véritable justice ?
Il y a plus de sagesse en une seule parole du Christ qu’en tous les traités philosophiques de l’histoire ! Jésus n’est pas venu nous donner une nouvelle religion, mais une nouvelle vie ! Il n’est pas venu nous imposer un fardeau, mais nous libérer de nos chaînes.
Regarde à la croix ! Vois le Fils de Dieu suspendu entre ciel et terre, chargé de l’iniquité du monde. Ce que nous méritions, il l’a pris sur lui. La condamnation qui devait tomber sur nous, il l’a endurée dans son corps et dans son âme. Le jugement de Dieu s’est abattu sur lui afin que nous puissions être épargnés !
« Lui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » — 2 Corinthiens 5.21
Quelle merveilleuse transaction ! L’innocent est devenu coupable, afin que le coupable soit déclaré innocent. La croix est la preuve de l’amour insondable de Dieu et la démonstration de sa justice parfaite. Si Christ est mort pour nous, qui pourrait nous accuser encore ? Si son sang a coulé, qui osera encore nous condamner ?
Mais la croix n’est pas la fin ! Le troisième jour, la pierre du tombeau fut roulée, et le Christ en sortit victorieux ! Il n’est pas un simple martyr, il est le Ressuscité, le Seigneur des seigneurs, celui qui détient les clés de la mort et du séjour des morts. Son triomphe est total, et par lui nous pouvons être rendus libres.
« Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » — Jean 8.36
Où cherches-tu ton salut, cher lecteur ? Dans tes efforts ? Dans ta sagesse ? Dans tes œuvres ? Regarde à Christ ! Lui seul est la porte du salut, l’unique espoir pour l’âme perdue.
Le Choix Inévitable : Le Messie (Christ) ou le Jugement
« C’est un jour grand et redoutable que celui où vous comparaitrez devant celui qui est tout-puissant, saint et parfait. »
Le monde aime à se bercer d’illusions, à croire que la vie n’est qu’un long fleuve tranquille où chacun navigue selon son propre courant. Mais il y a une vérité que l’homme ne peut fuir éternellement : il comparaîtra devant son Créateur.
L’homme peut détourner les yeux du ciel, il peut refuser d’écouter la voix de Dieu, il peut rire des avertissements divins – mais le jour viendra où chacun devra rendre compte.
« Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. » — Hébreux 9.27
La mort n’est pas une fin en soi, mais un seuil. Au-delà de ce seuil, il n’y a que deux destinées possibles : la gloire éternelle pour ceux qui ont cru, et la condamnation irrévocable pour ceux qui ont rejeté la vérité.
L’homme, dans sa présomption, ose dire : « Je suis une bonne personne ! » Mais qu’est-ce que la bonté aux yeux d’un Dieu infiniment saint ? Nos standards sont bien faibles devant la perfection divine. Si Dieu nous jugeait selon nos propres œuvres, qui pourrait être sauvé ?
Il ne s’agit pas d’être plus ou moins bon, plus ou moins religieux. La seule question qui demeure est celle-ci : as-tu été lavé dans le sang du Christ ?
« Celui qui croit en lui n’est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé. » — Jean 3.18
Il n’y a pas de neutralité face au Christ. Soit tu le reçois comme Sauveur, soit tu le rencontreras comme Juge.
Quel effroi d’entendre un jour ces terribles paroles : « Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi ! » (Matthieu 7.23). Ô lecteur, je t’en supplie, ne laisse pas cette sentence être prononcée contre toi !
Mais voici l’espérance glorieuse :
Si aujourd’hui tu entends sa voix, si ton cœur ressent cet appel irrésistible, sache qu’il t’appelle à la vie, non à la mort. Il frappe à la porte de ton âme, non pour la condamner, mais pour la remplir de sa lumière !
Ouvrir la Porte au Messie : L’Appel du Salut
« Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. » — Apocalypse 3.20
Le Seigneur de gloire est là, il frappe à la porte de ton cœur. Ce n’est pas le murmure lointain d’une vague rumeur, ce n’est pas un appel vague et incertain, mais une invitation pressante, urgente et personnelle.
Dieu t’appelle. Non pas demain, ni dans un avenir indéfini, mais aujourd’hui. Ne laisse pas le tumulte du monde étouffer cette voix douce et puissante qui résonne en toi !
« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur. » — Hébreux 3.15
Oh, que d’âmes ont entendu l’appel et ont hésité ! Certains ont voulu attendre un moment plus opportun, d’autres ont pensé qu’ils pourraient remettre leur décision à plus tard. Mais qui peut garantir que demain leur sera encore accordé ?
Regarde autour de toi ! La vie passe comme une vapeur, et l’éternité est si proche. Que vaudraient tous les plaisirs éphémères du monde s’ils te font perdre ton âme ?
« Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? » — Marc 8.36
Oh, bien-aimé lecteur, ne sois pas de ceux qui refusent d’ouvrir la porte !
Le Christ n’exige pas de toi que tu sois parfait avant de venir à lui. Il ne te demande pas d’essayer de te sauver par tes propres efforts. Il te demande seulement une chose : crois !
Crois qu’il est mort pour toi. Crois qu’il a payé le prix de ton péché. Crois qu’il est ressuscité pour te donner la vie éternelle.
Et si tu crois, tu seras sauvé !
« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. » — Romains 10.9
Le salut est là, à portée de main. Tends la main vers le Christ, et il te saisira.
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Tout comme il n’est jamais trop tard pour faire le bien, il n’est jamais trop tard pour être sauvé non plus! N’est-ce pas incroyable ça!? Cet homme agissait à l’encontre de la parole de Dieu comme « son ennemi », et pourtant Dieu a trouvé bon de le sauver d’une mort éternelle loin de sa présence. Notre Dieu est plein de compassion, allelouia!!!
Mais surtout, Je remarque une chose importante dans le témoignage de cet homme : il était sincère dans sa recherche de la vérité et cette vérité l’a conduit à Jésus. Cela me fait penser à une phrase biblique qui affirme que l’amour de la vérité peut sauver un homme car il conduit à Jésus, qui est le chemin, la vérité la vie, seul capable de nous amener à Dieu.