Du néant spirituel à l’appel céleste

« Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. »
Jean 1.5

Lecteurs bien-aimés, prêtez l’oreille à ce récit qui n’est point un conte, mais un témoignage réel de la puissance rédemptrice du Dieu d’Israël.

Voici l’histoire de Rémy Bayle, un homme comme tant d’autres, né dans un foyer ordinaire, formé dans un monde désordonné… mais saisi un jour par l’amour surnaturel du Messie Yéshoua. On peut dire de Rémy qu’il est passé de l’abîme à la lumière. Voici son témoignage, celui d’un cœur transformé par le Messie.

Né dans une famille où les disputes étaient le pain quotidien, et grandissant sans espérance transcendante, Rémy fut, comme tant de jeunes de notre époque, aspiré par la spirale des plaisirs éphémères. L’alcool, les drogues – cannabis, héroïne – et les nuits sans lendemain, devinrent les faux refuges d’un cœur blessé.

Mais l’Éternel, qui voit dans le secret, n’était pas indifférent.

« Je t’ai aimé d’un amour éternel ; c’est pourquoi je t’attire avec bonté. »
Jérémie 31.3

Un rêve, une voix, un choix

Dans le silence de la nuit, Dieu visita Rémy dans un songe. Un avertissement clair. Un appel solennel. Deux chemins lui furent présentés : continuer sur la voie du péché et de la destruction, ou choisir la vie, la lumière, la paix.

Ce songe fut comme un feu dans ses os, un écho céleste impossible à ignorer. Et lorsque les événements de ce rêve se produisirent exactement comme annoncés, Rémy comprit que le Dieu vivant l’appelait, personnellement.

Il s’humilia. Il plia le genou. Il ouvrit son cœur. Et là, le Messie entra.

« Voici, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui. »
Apocalypse 3.20

Un homme nouveau : un ministère de feu, une vie de foi

L’appel confirmé par la puissance d’En-Haut

Dès qu’il remit sa vie au Seigneur Yéshoua, Rémy Bayle ne fut plus jamais le même homme. L’ombre de l’addiction fut dissipée par la lumière de la vérité, et le feu du Saint-Esprit vint habiter un cœur régénéré. Ce n’était pas une réforme extérieure, mais une transformation intérieure : une nouvelle naissance, comme l’enseigna notre Seigneur.

C’est ici la promesse faite par les anciens prophètes hébreux :

« Je vous donnerai un coeur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau; j’ôterai de votre corps le coeur de pierre, et je vous donnerai un coeur de chair. » (Ezéchiel 36:26)

Aujourd’hui, Rémy est un évangéliste infatigable, traversant les villes, les nations, il parle aux coeurs, proclamant la Bonne Nouvelle avec ferveur.

« En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. »
Jean 3.3

L’évangile confirmé par des signes puissants

L’Évangile qu’il prêche n’est pas une parole vide. Il est souvent accompagné de miracles tangibles, de guérisons surnaturelles, de délivrances, comme au temps des apôtres. Non pas pour glorifier un homme, mais pour attester la Parole prêchée par la puissance de Dieu.

« Dieu appuyait leur témoignage par des signes, des prodiges, et divers miracles. »
Hébreux 2.4

Les aveugles voient, les sourds entendent, les malades sont guéris, non par la vertu de Rémy, mais parce que le royaume de Dieu s’est approché. Là où le Nom de Yéshoua est exalté, la puissance du ciel descend.

« Pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus. »
Actes 4.30

Le royaume de Dieu : une réalité expérimentable

Dans le Royaume céleste, la maladie n’existe pas. Et lorsque ce Royaume est proclamé, il s’établit dans les cœurs, dans les corps, dans les situations humaines. Chaque miracle est un témoignage vivant que le Messie est ressuscité, qu’Il est vivant et qu’Il règne.

Le même Jésus : vivant, agissant, glorieux

Une foi confirmée par des œuvres visibles

Chers lecteurs, ce que vous lisez ici n’est pas un embellissement religieux. Ce n’est ni mythe, ni exagération mystique. C’est la pure vérité, la continuation du livre des Actes, dans notre génération. Ce Jésus de Nazareth, crucifié, mort et ressuscité, continue de sauver, guérir, et délivrer tous ceux qui mettent en Lui leur confiance.

« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. »
Hébreux 13.8

N’en déplaise aux opposants de toutes sortes : ce qu’Il faisait en Galilée, Il le fait encore aujourd’hui, à travers ceux qui annoncent son Nom avec foi et sainteté. Comme au temps des apôtres, Il travaille avec eux, confirmant leur parole par des signes.

« Si vous ne croyez pas en moi, croyez du moins à cause des œuvres que je fais. »
Jean 14.11

L’Évangile : la preuve vivante que Dieu aime

Et si vous doutez encore, tournez-vous vers la croix. Là, au sommet du Golgotha, l’amour de Dieu a été prouvé, scellé, accompli. Là, le Saint a pris la place du coupable. Là, le Fils de Dieu s’est offert volontairement, librement, glorieusement, accomplissant les paroles d’Ésaïe 53, si limpides…

« Christ est mort pour des impies. »
Romains 5.6

Dieu n’a pas attendu que tu sois meilleur pour t’aimer. Il t’a aimé quand tu étais encore perdu. Et ce message, que prêchent Rémy et tant d’autres, est le plus glorieux message de tous les temps.

« Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. »
Romains 5.8

Un message pour aujourd’hui : l’urgence de la repentance et de la foi

Le temps est court : les signes sont là

O peuple d’aujourd’hui, ne te laisse pas endormir ! Les jours passent, les prophéties s’accomplissent, et le jugement approche à grands pas. Les douleurs du monde, les troubles des nations, les signes célestes et les cris de la terre, tout annonce que le Retour du Roi est proche.

« Vous savez discerner l’aspect du ciel ; et ne pouvez-vous discerner les signes des temps ? »
Matthieu 16.3

La Bible l’a annoncé. Dieu le crie à travers Ses serviteurs. Le Messie est venu une première fois pour sauver, Il reviendra bientôt pour juger. Sa patience est grande, mais il y a un terme. Ce terme est proche.

« Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra. »
Apocalypse 1.7

Une offre de paix éternelle, ici et maintenant

Mais avant ce jour redoutable, le ciel tend encore la main. Et quiconque met sa foi en Jésus, le Fils du Dieu vivant, est justifié, pardonné, sauvé.

« Celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. »
Jean 5.24

Cette foi n’est pas une idée abstraite. Elle change le cœur. Elle délivre du péché. Elle remplit de joie. Elle opère le miracle le plus glorieux qui soit : une vie nouvelle.

« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. »
2 Corinthiens 5.17

Le péché : la vraie maladie du cœur humain

Un diagnostic céleste sur l’état du monde

L’homme moderne veut changer le monde. Il crie à l’injustice, il dénonce les abus, il exige la réforme… mais il oublie l’origine de tous ses maux : le péché.

Le péché n’est pas un simple écart moral. Il est une maladie de l’âme, une corruption de la nature, un venin transmis depuis la chute de nos premiers parents. Et il touche tous les hommes sans distinction.

« Il n’y a point de juste, pas même un seul. »
Romains 3.10

Le journal télévisé, les réseaux sociaux, les couloirs de l’histoire crient tous à l’unisson : le mal est bien réel, et l’homme en est l’agent. Guerres mondiales, Shoah, violence domestique, mensonges institutionnels… tout cela n’est que le fruit amer d’un cœur séparé de Dieu.

La justice divine exige réparation

Parce que Dieu est parfaitement saint, Sa justice ne peut tolérer le péché. Il ne peut cohabiter avec l’impur, ni fermer les yeux sur l’injustice. Un seul péché, commis contre un Dieu infini, mérite une sanction infinie.

Mais voici la bonne nouvelle : Dieu a prévu une solution parfaite, un remède éternel, un substitut glorieux : Yéshoua le Messie.

« L’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. »
Ésaïe 53.6

L’expiation parfaite : Yéshoua, le remède de Dieu pour l’humanité

Un Sauveur venu pour être notre substitut

En Yéshoua le Messie, Dieu n’a pas simplement envoyé un prophète. Il a envoyé Son Fils, revêtu d’humanité, porteur de sainteté, offert en rançon pour les pécheurs. Il est l’Agneau de Dieu, celui dont le sang efface la dette, celui qui, volontairement, a pris sur lui la colère que méritait notre rébellion, notre péché.

« Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. »
Jean 1.29

Il ne s’est pas dérobé. Il ne s’est pas opposé. Il s’est livré, plein de compassion, pour porter sur la croix ce que nul autre n’aurait pu supporter.

« Il s’est livré lui-même pour nous. »
Éphésiens 5.2

Une œuvre expiatoire accomplie une fois pour toutes

Ce n’est ni une tradition, ni un rite, ni une émotion : c’est un fait historique et spirituel. La croix n’est pas un symbole païen et creux, c’est le lieu d’un échange éternel. Le Juste meurt pour les injustes. Le Fils est frappé pour que des multitudes de fils soient accueillis. Et ce sacrifice, agréé par le Père, a été confirmé par la résurrection d’entre les morts.

« Il est mort pour nos péchés, selon les Écritures… Il est ressuscité le troisième jour. »
1 Corinthiens 15.3-4

Une explosion de vie !

Cette œuvre de rédemption, lorsqu’elle est saisie par la foi, provoque un renouveau radical, une véritable explosion de vie intérieure. Tout comme la nature au printemps, l’âme touchée par la grâce fleurit, chante, et se régénère.

« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. »
2 Corinthiens 5.17

Une vie nouvelle par et dans le Messie : le miracle de la régénération

Une naissance spirituelle : la vraie transformation

La nouvelle naissance n’est pas un concept théologique abstrait. Elle est un fait vécu, une transformation intérieure, un changement radical d’identité. C’est le miracle silencieux mais puissant de l’Esprit de Dieu qui vient habiter dans le cœur de l’homme.

« Il faut que vous naissiez de nouveau. »
Jean 3.7

Par cette œuvre divine, les vieilles pensées s’en vont, les vieux désirs se consument, et une vie nouvelle commence, façonnée par l’amour du Père, régénérée par la Parole, illuminée par l’Esprit.

« Il nous a sauvés […] par le bain de la régénération et le renouveau du Saint-Esprit. »
Tite 3.5

Une communion restaurée avec Dieu

Cette vie nouvelle réconcilie l’homme avec son Créateur. Loin d’être une religion morte ou une pratique rituelle, la vie chrétienne devient relation vivante avec le Père, communion avec le Fils, guidée par l’Esprit.

« Vous avez reçu l’Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! »
Romains 8.15

Là où régnaient l’orgueil, l’égoïsme, la colère ou l’impureté, désormais triomphent l’humilité, la patience, la paix et l’amour. Non pas par l’effort humain, mais par la vie de Jésus manifestée en nous.

« Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. »
Galates 2.20

Un Dieu de réconciliation : restaurer les cœurs et les relations brisées

La paix avec Dieu, fondement de toute restauration

Lecteur bien-aimé, as-tu des relations brisées, des blessures profondes, des cicatrices familiales ou personnelles ? Tu n’es pas seul. Rémy Bayle a connu cela, et des millions d’autres aussi. Mais voici une vérité puissante : Dieu est un restaurateur.

« Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même. »
2 Corinthiens 5.19

Avant toute guérison horizontale (avec les autres), il faut une réconciliation verticale : avec Dieu. Car c’est notre hostilité envers Lui, notre indifférence, notre péché, qui est à la racine de nos souffrances. Et ce que nous ne pouvons réparer seuls, Dieu l’a réparé en envoyant son Fils.

« Soyez réconciliés avec Dieu ! »
2 Corinthiens 5.20

Un message de paix, pour les proches comme pour les lointains

L’Évangile n’est pas réservé aux religieux, ni aux sages selon ce monde. Il est annoncé à tous : à ceux qui sont loin, comme à ceux qui croient être proches. Jésus est venu proclamer la paix, pas une paix artificielle, mais celle qui s’enracine dans le pardon reçu et donné.

« Il est venu annoncer la bonne nouvelle de la paix à vous qui étiez loin, et à ceux qui étaient près. »
Éphésiens 2.17

Il est le seul médiateur, le seul pont entre le ciel et la terre. En Lui, l’homme retrouve sa dignité, son identité, son espérance. Tous les autres sont restés dans le tombeau. Lui seul a vaincu la mort et cette promesse est pour toi : « La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. » (Jean 6:40)

Viens à Yéshoua (Jésus) : ton nom peut être inscrit dans le livre de vie

Une naissance spirituelle, une filiation céleste

Lorsqu’un enfant arrive dans ce monde, on l’inscrit à l’état civil. De la même manière, pour entrer dans la famille de Dieu, il faut naître de nouveau. Ce n’est ni par le mérite, ni par la religion, ni par la tradition, mais par la foi en Jésus, le Fils de Dieu.

« À tous ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu. »
Jean 1.12

Alors ton nom sera écrit dans le Livre de vie, l’état civil du ciel, le registre de ceux que Dieu reconnaît comme siens.

Une foi vivante, non une religion morte

Tu n’es pas enfant de Dieu parce que tu portes une étiquette religieuse. Tu ne le deviens pas par une série de dogmes, mais par une relation vivante avec Jésus, ton Sauveur et ton Seigneur. C’est un lien d’amour et de confiance, éternel, inaltérable.

« Ce qui compte, c’est d’être une nouvelle créature. »
Galates 6.15

Dieu veut transformer ton cœur, non par la loi seule, mais par Son Esprit. Et cette transformation se manifestera dans ton caractère, dans ta marche, dans ta paix. Tu deviendras un témoin vivant, un flambeau dans l’obscurité.

Un appel pressant : jette-toi dans les bras de ton Sauveur !

Ne te laisse pas distraire par les discours de ce siècle. Les fausses preuves s’accumulent pour t’éloigner de la vérité. Mais l’expérience avec Dieu ne laisse aucune place au doute. Jésus est vivant, et Il t’attend, les bras grands ouverts.

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. »
Matthieu 11.28

Jette-toi sur Lui. Donne-Lui ton cœur. Reçois la vie éternelle. Rémy Bayle l’a fait, d’autres l’ont fait, et toi, le feras-tu ?