Le secret des deux trompettes d’argent et le redoutable pouvoir de la langue – Paracha Béhaalotékha

par | Juin 9, 2017 | 9 commentaires

I] Introduction

Le secret des Trompettes d'argent pour découvrir les dangers de la médisance, la mauvaise langue, des calomnies et diffamations dans la paracha de la Torah behaalotekha de nombres 8 à nombres 12Une fois encore, cette Paracha (Portion d’Écriture de La Torah) déborde d’enseignements d’une grande sagesse, infiniment utiles pour quiconque veut cheminer dans la droiture et la sainteté aux côtés du Saint béni soit-Il.

Nous allons faire le focus sur une merveilleuse pépite discrètement déposée dans le chapitre 10 du livre des Nombres.

Nous découvrirons comment la sagesse divine qui imprègne le texte saint, nous alerte et nous nous met en garde contre le piège mortel qui se refermera tôt ou tard sur quiconque utilise mal sa bouche et ne veille pas à la porte de ses lèvres.

L’image ci-dessus est très parlante et c’est précisément ce que nous révélera notre étude : celui qui ne veille pas sur la porte de ses lèvres et la laisse grande ouverte tombe dans un abîme sans fin.

Les sages d’Israël nous donnent une clé glorieuse très utile pour accéder à quelques trésors de sagesse de la Torah :

« Sof maassé béMa’hchava te’hila » que l’on pourrait traduire par : « L’acte final est en gestation dans la pensée originelle »

ou encore :

la fin d´une chose est déjà dans son commencement ».

Cela signifie donc que dans la Torah, si l’on regarde attentivement le commencement et la fin d’une chose, nous pouvons en percer le ou les messages.

Prenons un simple exemple : les 10 commandements.

Le premier commandement commence par l’unicité absolue de Dieu et l’amour qui lui est dû : « Je suis l’Eternel ton Dieu […] Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face ».

Et regardez le dernier commandement : « Tu ne convoiteras aucune chose qui appartienne à ton prochain. »

Le premier commandement nous parle exclusivement de Dieu, tandis que le dernier nous parle exclusivement du prochain.

Selon le principe que nous venons de voir, à savoir que « la fin d´une chose est déjà dans son commencement », nous comprenons que l’amour véritable de notre prochain (finalité) n’est possible que si nous aimons Dieu de tout notre coeur dans l’obéissance à ses commandements (commencement de l’amour qui mène à cet amour authentique du prochain).

C’est pourquoi Yéshoua (Jésus) résumera Lui-même toute la Torah de cette façon :

« Yéshoua lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement.

Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la Torah et les prophètes. » (Matthieu 22:37-40)

Ayant ce principe en tête, essayons de percer un des secrets du chapitre 10 du livre des Nombres en inspectant ensemble les premiers versets PUIS les derniers versets.

II] Analyse du début du chapitre

« L’Eternel parla à Moïse, et dit : « Fais-toi deux trompettes d’argent, que tu façonneras d’une seule pièce; Elles te serviront pour la convocation de l’assemblée et pour le départ des camps. » (Nombres 10:1-2).

Un sage d’Israël, rabbi Yaacov Abe’hssera commente :

« Les deux trompettes de notre verset font allusion aux lèvres, car la valeur numérique de « ba’hatsotsrot » est égale à celle de « sifté », les lèvres.

Celles-ci doivent être comme de l’argent pur ainsi qu’il est dit  : « Les paroles de l’Eternel sont des paroles pures, Un argent éprouvé sur terre au creuset, Et sept fois épuré. » (Psaumes 12 : 7).

Il ne faut pas les utiliser pour des futilités, mais uniquement dans la crainte du ciel tout au long de la journée. »

Un grand talmid (disciple) du Messie Yéshoua, Shaul (Paul), dira de même :

« Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent. » (Éphésiens 4:29)

Et aussi : « Si quelqu’un parle, que ce soit comme annonçant les oracles de Dieu; » (1 Pierre 4:11)

C’est pourquoi la Sagesse d’En-Haut, par la bouche du Roi Salomon dira : « Et mes lèvres s’ouvrent pour enseigner ce qui est droit. » (Proverbes 8:6)

Rabbi Yaacov Abe’hssera continue son commentaire portant sur ces mystérieuses trompettes d’argent qui font allusion aux lèvres :

« « que tu façonneras d’une seule pièce » : fais comme si elles étaient serrées [tes lèvres] l’une contre l’autre [formant ainsi une seule pièce] pour ne pas tenir des propos futiles.

Quand dois-tu ouvrir tes lèvres ? Pour adresser des leçons de morale ou pour prier. »

Là encore, lorsque le Rabbi Abe’hssera dit : « Pour adresser des leçons de morale », il ne fait qu’aller dans le même sens de ce que Shaul (Paul) dira :

« prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, réfute, exhorte, avec toute douceur et en instruisant. » (2 Timothée 4:2) et aussi : « Dis ces choses, exhorte, et reprends, avec une pleine autorité. Que personne ne te méprise. » (Tite 2:15).

Répétons les sages paroles du disciple Pierre mentionnées plus haut, tant elles brillent par leur limpidité :

« Si quelqu’un parle, que ce soit comme annonçant les oracles de Dieu; » (1 Pierre 4:11)

À l’aide de l’enseignement de tous ces maîtres d’Israël, nous comprenons avec plus d’acuité l’importance cardinale de fournir tous les efforts possibles pour abandonner le sombre sentier des paroles futiles pour cheminer au contraire dans les voies lumineuses des prières de coeur devant l’Éternel, si belles lorsqu’elles sont jointes aux paroles de Torah.

Combien il est bon et précieux pour notre âme d’entretenir le jardin de notre coeur en discutant de Torah avec notre prochain et en ouvrant ses lèvres pour donner quelques bonnes paroles édifiantes et éclairantes.

Toutefois, lorsque cela est nécessaire, il convient de ne pas s’abstenir de reprendre notre prochain avec tact, amour et douceur lorsque nous le voyons dans la faute (voir l’article sur la réprimande et les remontrances pour mettre en pratique ce difficile commandement d’une manière conforme à la Torah).

Ainsi, comme nous le montre le début de ce chapitre 10, nous devons ouvrir nos lèvres et utiliser notre bouche de la même façon dont les trompettes d’argent étaient utilisées :

  • Pour unir le peuple de Dieu par de bonnes paroles : « Quand on en sonnera, toute l’assemblée se réunira »,
  • Pour encourager notre prochain à marcher avec obéissance dans les voies bénies de la Torah de Dieu : « on sonnera avec éclat pour leur départ. »  Et aussi : « Dans vos jours de joie, dans vos fêtes, et à vos nouvelles lunes, vous sonnerez des trompettes »;
  • Et enfin, pour l’avertir du danger et être victorieux dans la guerre contre le Satan et notre mauvais penchant qui dans leur diabolique collaboration veulent nous faire tomber dans la faute : « Lorsque, dans votre pays, vous irez à la guerre contre l’ennemi qui vous combattra, vous sonnerez des trompettes ».

En utilisant ainsi notre bouche et nos lèvres, Dieu nous fait une formidable promesse :

« Vous serez présents au souvenir de l’Éternel, votre Dieu, et vous serez délivrés de vos ennemis. » (Nombres 10:9)

Nous voyons ici l’importance que la Torah confère à l’utilisation de notre bouche conformément à l’enseignement des sages et de l’alliance renouvelée.

Trop souvent, nous ne sommes pas conscients de l’impact spirituel inouï et inimaginable qu’engendre une mauvaise parole lorsqu’elle sort du cadre défini par l’enseignement du Dieu d’Israël et du Messie Yéshoua !

C’est pourquoi il convient donc d’insister encore et encore sur ce sujet « en toute occasion, favorable ou non », car « Celui qui ouvre de grandes lèvres court à sa perte. » (Proverbes 13:3)

Ce début de chapitre 10 du livre des Nombres, nous donne un solennel avertissement : quiconque utilise ses lèvres en dehors du cadre de l’enseignement transmis par la « trompette d’argent »  s’expose à la ruine.

III] Analyse de la fin du Chapitre

C’est précisément à la fin de notre chapitre 10 du livre des Nombres que nous retrouverons cet avertissement majeur :

« Quand l’arche partait, Moïse disait : Lève-toi, Eternel ! et que tes ennemis soient dispersés ! que ceux qui te haïssent fuient devant ta face! Et quand on la posait, il disait : Reviens, Eternel, aux myriades des milliers d’Israël ! » (Nombres 10:35-36)

En se basant sur Le livre brûlé de Marc-Alain Ouaknin, le site Yehoudi rapporte un précieux commentaire :

« Tous les textes qui se réfèrent au « voyage de l’Arche » ne s’attachent pas au sens de ce passage, mais font tous allusion au nombre de lettres qui le composent, à savoir 85 lettres.

En « Guématria » (valeur numérique) les deux lettres « Pe » et « He » qui forment le mot « bouche » en hébreu, valent 85 ! »

D’une manière stupéfiante, les deux derniers versets clôturant le chapitre 10 comporte donc précisément 85 lettres dans le texte source, ce qui est la valeur numérique du mot « Peh » (bouche)

Mais ce n’est pas tout.

Les 85 lettres du verset qui décrivent le déplacement de l’arche (le « aron » en hébreu), précisent et confirment l’enseignement lié à l’importance de prier Dieu, avec David, afin qu’Il place « une garde à notre bouche et veille sur la porte de nos lèvres » (Psaume 141:3) :

Le Ari zal (Likoutim) enseigne en effet que le terme « Aron – l’arche » peut se lire, en sens inverse : « Nora – redoutable ».

De là nous pouvons en déduire l’enseignement suivant :

quiconque utilise mal ses lèvres, en « sens inverse » de ce que demande la Torah, alors, le Aron (l’arche), qui représente aussi le coeur de Dieu, deviendra pour lui « nora », une arche « redoutable » ainsi qu’il est dit :

« Sache donc que c’est l’Éternel, ton Dieu, qui est Dieu.

Ce Dieu fidèle garde son alliance et sa miséricorde jusqu’à la millième génération envers ceux qui l’aiment et qui observent ses commandements.

Mais il use directement de représailles envers ceux qui le haïssent, et il les fait périr; il ne diffère point envers celui qui le hait, il use directement de représailles.

11 Ainsi, observe les commandements, les lois et les ordonnances que je te prescris aujourd’hui, et mets-les en pratique. » (Deutéronome 7:9-11)

C’est pourquoi l’auteur de l’épître aux Hébreux dira : « C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. » (Hébreux 10:31)

Voilà aussi ce qui explique pourquoi le pays d’Asdod expérimenta cet aspect « redoutable » de Dieu lorsque l’arche fut en séjour au milieu de ses habitants.

Très probablement, les habitants d’Asdod faisaient aussi un très mauvais usage de leur bouche :

« Les Philistins prirent l’arche de Dieu, et ils la transportèrent d’Eben-Ezer à Asdod […] La main de l’Éternel s’appesantit sur les Asdodiens, Et il mit la désolation parmi eux; il les frappa d’hémorroïdes à Asdod et dans son territoire.

Voyant qu’il en était ainsi, les gens d’Asdod dirent : L’arche du Dieu d’Israël ne restera pas chez nous, car il appesantit sa main sur nous » (1 Samuel 5)

De ce passage du livre de Samuel, nous pouvons en déduire que celui qui serait frappé de maux et de douleurs physiques ou morales devrait peut-être aussi réfléchir à l’utilisation qu’il fait de sa bouche et réformer ses voies dans ce domaine.

Néanmoins, usons de sagesse et de discernement : nous pouvons évidemment subir divers maux sans que cela soit nécessairement lié à une mauvaise utilisation de notre bouche.

Chacun jugera pour lui-même : heureux celui dont le coeur ne s’endurcira pas et ne cherchera pas à se justifier s’il est concerné par ce péché, car ce n’est pas sans raison que notre Paracha parle de ces choses-là et que le lecteur lit ces lignes.

Quoiqu’il en soit, comme l’enseigne le Rabbi Yaacov Abe’hssera, nous avons l’obligation de « garder nos lèvres, dont dépendent la prière, un des piliers du monde, et la Torah ».

Il faut impérativement les préserver de toute souillure.

Rappelons quelques exemples d’une mauvaise utilisation de la bouche afin que chacun puisse discerner pour lui-même

  • S’enorgueillir avec sa bouche, s’élever et s’attribuer des mérites
  • Parler de choses de ce monde et des choses vaines et futiles déconnectées de la Torah
  • Prononcer des grossièretés
  • Amoindrir, diminuer et dénigrer son prochain par les médisances et les calomnies (voir cet article majeur à ce sujet en cliquant ici).
  • Prononcer le nom de Dieu en vain
  • Juger son prochain selon les apparences
  • Blesser son prochain par des paroles dures et méchantes
  • Humilier son prochain publiquement ou en privé
  • Pratiquer le sarcasme, les moqueries et les railleries
  • Parler avec un coeur double
  • Tenir des propos dans un but intéressé, calculateur et manipulateur
  • Utiliser sa parole pour faire fauter son prochain et l’empêcher d’accomplir un commandement
  • Menacer son prochain, faire du chantage affectif ou matériel à son prochain

La liste est longue, ce ne sont ici que quelques exemples.

IV] Comment se repentir et réparer nos errements dans le domaine du langage ?

Les sages ont enseigné :

« C’est par le membre qui a fauté, que l’on se fera pardonner ».

Si tu as commis une multitude de pêchés, accomplis, en contrepartie, une multitude de bonnes actions […]

La bouche qui a dit du mal, qu’elle dise la vérité et qu’elle s’ouvre avec sagesse,

les yeux arrogants, qu’ils restent baissés, le cœur qui recense des pensées mauvaises, qu’il abrite des paroles de Torah. […] L’homme se souviendra de ses fautes et les avouera.

Or la confession est un principe essentiel du pardon. S’il prend conscience du nombre de ses fautes, il se soumettra davantage.

[…]

Tous ses actes, toutes ses paroles, toutes ses pensées sont consignés dans un livre et Dieu appellera en jugement tout acte, toute chose cachée, bonne ou mauvaise. […] Tout homme craignant Dieu doit donc ménager son temps pour l’employer au repentir.

[…]

Les méchants qui n’ont pas de part au monde futur et qui sont condamnés éternellement à la géhenne sont uniquement ceux qui sont morts sans regretter leurs fautes passées ». (Or’hot Tsadikim).

Ainsi, celui qui faute par sa bouche devra tout faire pour réparer ses impairs par sa bouche.

S’il a causé du tort à son prochain par sa bouche, qu’il utilise alors sa bouche pour réparer le mal, et lui demander pardon en privé si c’est en privé, en public si la faute a été faite publiquement.

Que l’homme utilise désormais sa bouche pour propager le bien par quelques bonnes paroles.

S’il a utilisé sa bouche pour amener un conflit et toutes sortes d’actions mauvaises, qu’il utilise sa bouche pour amener la paix et susciter toute sorte d’oeuvres de paix.

S’il a utilisé sa bouche pour faire fauter son prochain et l’amener à transgresser la Torah, qu’il utilise désormais sa bouche pour l’aider à accomplir la Torah et les mitsvot (commandements), etc., etc.

S’il a utilisé sa bouche pour amener son prochain à méditer et à se nourrir des vanités de ce monde qui ne sauvent pas, qu’il utilise désormais sa bouche pour le conduire à l’Évangile et à l’enseignement pur de la Torah de l’Éternel.

En définitive, le début du chapitre 10 du livre des Nombres nous instruit sur l’importance phénoménale de garder sa bouche, et la fin de ce même chapitre nous rappelle encore l’importance de garder sa bouche.

Selon l’enseignement des maîtres stipulant que la fin d’une chose se trouve dans son commencement, nous comprenons l’immense péril de celui qui tombe dans les fautes du langage et ne veille pas attentivement à l’utilisation qu’il fait de sa bouche :

La Torah présente dans le « Aron » (Arche) finira par se retourner contre le médisant et deviendra pour lui « Nora » (redoutable) comme le dit explicitement le prophète Osée lorsqu’il parle des sentiers de la Torah :

« Les justes y marcheront, Mais les rebelles y tomberont. » (Osée 14:9)

Un tel individu se verra plonger dans l’exil spirituel, car sans repentance, il passera du statut d’amis de Dieu au statut d’ennemis d’HaShem comme il est dit :

« Que tes ennemis soient dispersés ! que ceux qui te haïssent fuient devant ta face ! »

Mais si une profonde et sincère repentance a lieu avec des actions et des paroles concrètes et imprégnées de sincères regrets, alors l’Éternel usera certainement de bonté et de miséricorde comme notre verset béni le mentionne :

« Reviens, Éternel, aux myriades des milliers d’Israël ! »

Que Le Dieu de toute bonté nous aide à être sages et intelligents comme il est dit :

« Que celui qui est sage prenne garde à ces choses! Que celui qui est intelligent les comprenne ! » (Osée 14:9)

Que le Dieu de paix et de toute justice nous accorde Sa grâce, et augmente Sa bonté en faveur de tous Ses enfants, qu’Il donne à Son peuple Israël la force de Lui rester fidèle, ferme dans la émouna (foi), en dépit de toutes les tribulations et de toutes les fournaises de cette vie.

À tous ceux et celles qui sont loin de Sa face, le coeur endurci par le péché, la souffrance, la haine et la rébellion, qu’HaShem, s’il est possible, leur accorde de revenir à Lui par une profonde et sincère repentance dans le shalom et pour le shalom, au nom du précieux Messie Yéshoua, sauveur et rédempteur du monde entier !

Amen vé amen !

Une étude et un partage réalisés par la seule grâce infinie d’HaShem (Dieu) et avec la précieuse aide des rabbanim d’aujourd’hui et des sages d’Israël d’autrefois.

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9 Commentaires

  1. Pierson

    Merci pour ce message. Il m’est très utile.

    Réponse
  2. Yannick

    Soyons donc des « Aronim » plutot que des « Noranim » si je puis dire !!

    Réponse
  3. Annie

    Merci Thomas pour ce bel enseignement … j’apprends beaucoup de choses par tes messages hebdomadaires … que HaShem, dans Sa grande miséricorde, nous aide chaque jour à faire toute Sa volonté et nous garde de toute parole mauvaise !
    Sois béni, Thomas, par Yéshoua, notre merveilleux Sauveur !

    Réponse
  4. Olivier

    Shabbat Shalom à vous tous !

    A nouveau merci Thomas pour cette belle instruction.

    Olivier

    Réponse
  5. Pascaline

    Amen vé amen ! et merci frère Thomas pour cette édification. Je prie HaShem et au nom de notre bien aimé Yéshoua que par la puissance glorieuse de son Roua (Saint Esprit) qui demeure en chacun d’entre nous de renouveler nos pensées qui produiront et délivreront des paroles de Louange, d’Adoration et de bénédictions célestes pour les uns et les autres. Soyez tous sanctifiés !

    Réponse
  6. issia

    amen,gloire a Elohim,et a son fils Yeshoua ha mashiah notre sauveur.
    merci beaucoup pour cette enseignement agréable.soyez bénie.

    Réponse
  7. Francoise

    Shalom, que Hashem préserve notre bouche de ces paroles qui ne nous font que nuire spirituellement, et nous accorde sa sagesse.

    Réponse
  8. Bernardini Marie-Rose

    Merci pour ce rappel qui me fait du bien.Que l’Amour et la pratique de la vérité grandissent en nous.Sois béni Thomas.

    Réponse
  9. Richard

    Merci pour ce riche message. Shalom à vous et prions les un pour les autres. Au nom du Messie Yéshoua. Amen vé amen

    Réponse

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