👉 « Quiconque est de la vérité écoute ma voix » – Yéshoua/Jésus, Jean 18:37

👉 « Si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l’Éternel » – Jérémie 29:13

Dernière révision éditoriale : 14 juillet 2025 • par RencontrerDieu.com

Du suicide à une intense rencontre avec Dieu : Témoignage de Ravi Zacharias, aujourd’hui docteur en théologie

par | Août 10, 2012 | 8 commentaires

Témoignage bouleversant de Ravi Zacharias : du suicide dieu

Présentation

Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière ; sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort, une lumière a resplendi.Ésaïe 9:1

Chers lecteurs, prêtez une oreille attentive, car nous allons contempler le témoignage vivant, poignant et par-dessus tout authentique d’une âme ressuscitée.

L’histoire que vous allez lire est celle d’un homme nommé Ravi Zacharias.

Rachi Zacharias un indien sauvé du desespoir par le messie yeshoua/jésus

Imaginez une âme née en Inde, baignant dès son premier souffle dans ce vaste océan de religions, ce foisonnement de croyances qui caractérise sa terre natale. Un marché spirituel où chaque idole réclame son dû, où chaque philosophie offre une voie, mais où le cœur de Ravi Zacharias, lui, demeurait vide et assoiffé.

Quel chemin un homme peut-il tracer au milieu d’un tel labyrinthe ? Celui de la lassitude, mes amis, celui d’une vie sans ancre et d’une âme rongée par des peines silencieuses.

Ce fut son partage, jusqu’au jour où, accablé, il se retrouva sur un lit d’hôpital, ayant cherché dans le suicide une porte de sortie à sa prison intérieure. Il avait touché le fond de l’abîme, là où tout espoir humain s’éteint.

« Dans chaque être humain, il y a une étincelle sainte, un fragment du Divin. Mais elle peut demeurer dormante, perdue dans le tumulte du monde, jusqu’à ce que la lumière du Roi vienne resplendir sur elle et l’éveiller à la vie. »Sagesse d’Israël

Avec le Messie, le désespoir s’envole et disparaît comme un mauvais rêve

C’est là, au plus profond de la nuit, que la lumière du Messie d’Israël, Yéshoua, vint percer ses ténèbres ! Il sortit de cette fournaise du desespoir radicalement transformé, non plus en philosophe égaré, mais en disciple du Sauveur.

De cette rencontre naquit une mission : il devint un ambassadeur pour Christ, d’abord en Inde, puis dans le monde entier, pour partager le témoignage de sa délivrance et proclamer la Bonne Nouvelle du Messie et du Royaume de Dieu.

Voyez ce que la grâce peut faire d’un homme ! Cette âme autrefois tourmentée est aujourd’hui dotée d’un esprit paisible, et son intellect, affûté comme un rasoir, est devenu un instrument pour la vérité.

C’est un homme d’une grande perception spirituelle et d’une intégrité intellectuelle qui honore son Maître.

Son champ de mission s’est étendu à plus de cinquante pays. Il a porté le flambeau de l’Évangile dans les plus grandes universités du monde, débattant de la foi chrétienne, de la philosophie, des religions du monde et des cultes avec une clarté redoutable.

Témoignage epoustouflant de Ravi Zcharias qui a rencontré Dieu et Jésus

Ses écrits, tels des phares dans la nuit, ont guidé d’innombrables chercheurs de vérité. Ses livres, comme « L’homme peut-il vivre sans Dieu ? », inspiré de ses conférences à l’université d’Harvard, ou encore son célèbre ouvrage « Jésus parmi les autres divinités », ont été couronnés de succès, non pour sa propre gloire, mais pour celle de Celui qui l’a appelé.

Bien qu’il soit diplômé en droit et en théologie de prestigieuses universités américaines et britanniques, comme Cambridge, sa plus grande science est celle de la Croix, et son plus haut diplôme, celui d’enfant de Dieu.

Mais que s’est-il donc passé ? Comment le Messie Yéshoua s’est-il manifesté à une âme si éloignée de Lui, perdue dans un dédale de spiritualités humaines ?

C’est ce mystère de la grâce que nous allons maintenant explorer à travers son propre témoignage, issu d’extraits de ses écrits et d’entretiens qu’il a accordés. Préparez vos cœurs, mes amis, car vous allez voir la main de Dieu à l’œuvre.

Son Témoignage

Le culte de la performance

En Inde, vous êtes le produit de votre environnement. Mon père et ma mère étaient chrétiens, mais de nom seulement ; en fait, la seule raison pour laquelle ils étaient de cette religion, c’est parce qu’ils n’étaient ni bouddhistes, ni musulmans, ni hindous.

Je ne me rappelle pas avoir jamais entendu l’Évangile prêché dans notre église… Un système religieux de plus…

A l’époque, j’étais soumis à beaucoup de pression dans une culture qui regarde les performances académiques comme ce qu’il y a de plus important. Si vous n’êtes pas dans les premiers, vous n’arriverez pas dans la vie, et je ne pouvais pas envisager une telle issue. Et puis mon père était très sévère, et pour moi c’était un véritable problème. Il me punissait physiquement très fréquemment.

Une grande solitude intérieure m’habitait. Elle était centrée sur un fait d’importance vitale : un père couronné de succès et influent ne peut pas supporter un fils indiscipliné flirtant avec l’échec dans de nombreuses directions.

Ajoutez à cela la réalité sociale d’une compétition académique effrénée, la performance scolaire où chaque élève veut être le premier de sa classe, où le succès ou l’échec était source de fierté ou de honte publique, et vous pouvez commencer à sentir le malaise pouvant régner dans le cœur d’un enfant ne trouvant pas sa place dans le système de l’adoration de l’intellect et du culte de la performance.

La vie s’écoulait tandis que les tentacules de la pression culturelle m’enlaçaient progressivement, et je le savais, je ne réussirais pas. Sans doute les paroles les plus blessantes que j’ai jamais entendues de la bouche de mon père furent celles-ci : « tu ne feras jamais rien dans la vie ! »

Pour dire la vérité, il semblait avoir raison. Les consolations de ma mère étaient seules capables de me soutenir.

De mon côté, je réfléchissais intérieurement et vivais avec ma douleur secrète. D’une certaine manière, nous réussissons à vivre avec notre souffrance, mais elle nous conduit aux frontières du rejet de soi et nous rend plus vulnérables quand les rêves se brisent.

Je me posais tellement de questions existentielles sans malheureusement avoir de réponses. Peut-être existaient-elles, mais j’étais incapable de les discerner dans le déluge de voies d’un pays religieux.

Lorsque j’ai entendu l’Évangile pour la première fois lors d’une réunion dans un auditorium, j’avais 17 ans.

Je me suis dit :

« il y a quelque chose de vrai là-dedans, et je le veux. »

Je m’avançais quand on fit l’appel, et des conseillers prirent le temps de me parler. Mais je ne compris pas vraiment tout ce qui se passait. C’était trop à la fois. Tout cela n’avait guère de sens pour moi, j’étais étranger à ce vocabulaire.

J’avais conscience d’un seul fait : ma vie était un échec et il me fallait quelqu’un pour m’aider à la remettre en ordre.

Je le savais, Dieu devait intervenir, mais j’ignorais comment le trouver.

Le suicide

Quelques mois après cette réunion, je décidai d’en finir avec la vie. Ma décision était ferme et inébranlable. Partir calmement épargnerait à ma famille et à moi-même d’autres échecs.

Je n’étais pas vraiment déprimé, et mes amis auraient été choqués s’ils avaient su que je pensais au suicide. Mais ma vie n’avait aucun sens ni aucun but.

Je mis mon plan à exécution.

Un jour j’étais au lycée, je pris les clés de la salle de science et j’y trouvais des substances toxiques. J’en mis dans un verre d’eau, l’avalais, et m’écroulais sur les genoux.

Ndlr : C’était un adolescent perdu et sans espoir, à genoux, secoué de spasmes violents pendant qu’il luttait pour respirer et que le poison s’infiltrait inexorablement vers le cœur.

Le serviteur de mes parents m’emmena de toute urgence à l’hôpital ; s’il n’avait pas été à la maison ce jour-là, je serais mort. Les docteurs arrivèrent à enlever tout le poison que j’avais ingurgité.

Étendu sur mon lit, un de mes amis arriva avec un Nouveau Testament et me fit lire le chapitre 14 de Jean relatif au dessein de Dieu. Je ne pouvais pas même tenir le livre. Mon corps déshydraté n’avait plus aucune force, et ma mère dut me lire le passage.

Le sauvetage et la première manifestation du Messie à Ravi

Elle me lut l’endroit où Jésus parle à Thomas et lui dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au père que par moi. » Puis elle est arrivée au verset 19, où Jésus dit à ses disciples :

« Car je vis, et vous vivrez aussi. »

Ce verset m’a touché droit au cœur, et j’ai prié spontanément :

« Jésus, je ne sais pas très bien qui tu es, mais tu me dis que tu es celui qui dispense la vie véritable ».

Je ne réalisais pas ce que représentait le péché, et dans notre culture, je n’aurais pu le comprendre. Mais ce que je saisissais, c’est qu’il m’offrait sa vie pour que je retrouve la mienne.

Je ne compris pas bien toute la signification. Il n’était pas seulement question de la vie biologique, je le savais.

Rassemblant ce que je connaissais de l’amour de Dieu en Christ, du chemin qui s’ouvrait grâce à lui et de la promesse de la vie par lui, sur ce lit d’hôpital, je décidai de remettre entre ses mains ma vie et mes quêtes.

Et je lui dis :

« Si tu me sors de cette chambre d’hôpital, je remuerai ciel et terre dans ma quête de la vérité ».

Cinq jours plus tard, je sortais de là complètement transformé, j’étais un homme nouveau en qui était entré le seigneur Jésus-Christ.

La transformation fut spectaculaire, comme je ne l’aurais jamais imaginé. Il n’est pas possible de la décrire autrement. Je commençais à étudier la Bible, ce qui révolutionna complètement ma vie. Puis ce fut le tour de mes frères, et plus tard de mes parents, avant de mourir.

C’est dans cette chambre d’hôpital où Jésus me dit – sans que personne ne me l’expliqua – qu’il pouvait me donner ce que la vie ne peut offrir. Et je n’ai jamais regardé en arrière.

Des années d’études n’ont fait que confirmer la décision que j’avais prise de le suivre. J’ai eu l’occasion de suivre des cours de philosophie à l’université de Cambridge, avec un athée de renom, et je me souviens avoir pensé avec étonnement : « est-ce que ce sont là les meilleurs arguments que les athées possèdent ? » Cela ne faisait que confirmer la véracité de l’écriture.

Mais ce n’est pas tout.

Dévoilement de la providence divine

Quelque trente ans après le jour où j’abandonnais ma vie à Christ, mon épouse et moi étions en visite en Inde, décidés à nous rendre sur la tombe de ma grand-mère.

Je n’avais qu’un vague souvenir de ses funérailles, les premières auxquelles j’ai jamais assisté. Je me trouvais face à un défi : indiquer au gardien du cimetière l’année de sa mort.

J’ai fini par m’en souvenir, car à l’époque j’avais probablement 9 ou 10 ans. Après avoir feuilleté plusieurs registres plus grands que son bureau, nous finîmes par découvrir le nom de ma grand-mère.

Accompagnés d’un jardinier, nous fîmes le chemin au milieu d’une accumulation de mauvaises herbes, de poussière et de gravats jusqu’à l’endroit où se trouvait une grande dalle marquant sa tombe.

Personne ne s’y était rendu pendant presque 30 ans. Avec son petit seau d’eau et une brosse, le jardinier nettoya la saleté qui s’y étaie entassée et, à notre grande surprise, apparu peu à peu un verset gravé au-dessous de son nom.

Mon épouse me prit la main et dit : « regarde ce verset ! » Il était écrit :

« Parce que moi aussi je vis, vous aussi, vous vivrez. » Je l’ai déjà dit, Dieu était sur ma trace, longtemps avant que je ne le connaisse. »

C’est vrai pour chacun d’entre nous, il suffit de se tourner vers Lui avec foi pour le découvrir.

La consécration : apologète en Yéshoua !

A daté de ce jour glorieux ou je rencontrai Jésus sur mon lit d’hôpital, toutes mes aspirations, mes espoirs, mes rêves et mes efforts tendirent à vivre pour Celui qui m’avait sauvé, à étudier pour Celui qui m’avait donné cette intelligence, à le servir, lui qui avait façonné ma volonté et à parler pour Celui qui m’avait donné une voix.

La passion d’apprendre, la reconnaissance de la valeur de l’étude et le besoin de comprendre de grands penseurs et leur pensée, tout cela vint peu à peu prendre sa place légitime.

Notre intellect n’est pas destiné à être une fin en soi, ce n’est qu’un moyen d’aller vers la pensée même de Dieu.

Tant de choses se sont passées depuis ce jour précis, qu’il me faudrait écrire des volumes. Dieu m’a accordé le privilège de parler pour lui sur tous les continents et dans des dizaines de villes, de présenter l’apologie de la foi chrétienne dans certaines des plus brillantes institutions du monde.

J’aime les peuples de cette terre, chacun avec ses accents, ses traditions culinaires et ses caractéristiques spécifiques.

J’ai réellement apprécié le défi et le privilège que m’a procuré le sept d’être apologiste chrétien. L’apologétique chrétienne consiste à présenter la défense de la personne et du message de Jésus-Christ.

Au fil des années, j’ai acquis la conviction toujours plus grande qu’il est exactement la personne qu’il dit être, Dieu incarné [la pleine manifestation de Dieu dans la chair, cf. 1 Timothée 3:16], venu nous donner la plénitude de la vie et attirer le regard vers la beauté et la liberté de la vérité en nous libérant du péché et de l’autorité de Satan.

L’immense joie suscitée par la transformation de milliers de vies est une joie que je ne saurais nier.

La Bible dit :

« Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. »

Pensez un peu à cela, quelle étonnante promesse. J’encourage vivement les jeunes et les moins jeunes à préparer leur cœur et leur esprit à Le recevoir et ne pas hésiter à utiliser leur intellect pour tester la véracité de la Bible.

Je ne vois pas comment un homme ou une femme, sincère et sans idée préconçue, pourrait sortir de l’expérience sans dire qu’il n’y a absolument rien de comparable sur toute la surface de la Terre.

J’ai voyagé dans le monde entier. J’ai cherché ici et ailleurs. Je n’ai véritablement rien trouvé qui puisse satisfaire les désirs les plus profonds de mon esprit, de mon cœur, et de mon âme comme le fait Jésus.

Il n’est pas seulement le chemin, la vérité, et la vie ; il est personnel, c’est-à-dire qu’il est mon chemin, ma vérité e ma vie, juste comme il peut l’être pour quiconque se confie en lui.

Parce que rappelez-vous ce que Paul avait dit aux athéniens : « Il n’est pas loin de chacun de nous ».

Et vous, qu’allez-vous décider ?

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8 Commentaires

  1. GINETTE

    J’ai lu vos commentaires et le témoignage de cet indien ! les amis ! il y a toujours un espoir incontestable ! quelque soient nos circonstances de vie , notre gardien (Christ) est présent , Il nous connaissait avant notre naissance , quand à l’Eternel sa toute puissance se voit comme à l’oeil nu , quand on considère ses oeuvres . Alors quoi que soit le problème , notre âge, notre désir d’en finir, si on l’appelle au secours, Il est fidèle et juste, Il nous répond et souvent d(une manière imprévue ) . A ses yeux nous sommes tous et toutes des enfants , Il est notre grand-frère, notre avocat auprès du Père Eternel . Alors bon courage, il n’y a pas de problème qu’Il ne puisse résoudre 🙂 redressons la tête Il est là ! Ginette .

    Réponse
  2. dohou

    mes frères et sœurs , expérimentez Jésus et vous verrez que c’est vraiment le vrai chemin de la vérité et de la vie

    Réponse
  3. Karolann

    Alain, Crois de tout ton cœur que le Seigneur Jesus peut te guerir ! Si telle est la volonté de Dieu, oui tu seras gueri. Je sais que ca peut etre eprouvant pour toi, mais dans le Seigneur, meme avec les pires souffrances, tu vas trouver le repos. Ne te mets pas en tete que tu vas finir dans ton fauteuil roulant car Dieu est lui meme le Dieu de la guerison et il a un contrôle absolu sur ta maladie. Prie le de tout ton cœur et dis lui que tu veux pas mourir sans te tenir debout. SI tu pries avec toute ta foi et si tu crois que tu va etre gueri, il va le faire car Dieu entend toujours la voix de ceux qui crient vers lui de tout leur cœur et avec toute leur foi . Que Dieu te garde et t’aide a surmonter cette epreuve.

    Réponse
  4. Alain

    Tu n’est pas revenu ? C’est drôle, pour moi je suis atteint d’une sclérose en plaque, je suis en fauteuil roulant, je crois en Christ, à ma guérison de cette maladie aussi, mais je ressens que je vais finir ma vie dans ce fauteuil roulant et que la tentation d’en finir va me suivre également, voilà mon histoire.

    Réponse
  5. Aristide Tozoun

    Moi, je suis né d’une famille chretienne certe mais jai pas connu veritablement CVhrist pour autant.Dans tout les ecoles ou je suis passé,mes ami(e)s m’ont toujours consideré comme le saint. en réalité , je ne le suis pas vraiment car je n’en fais que l’effort de l’etre.Depuis la classe de 1ère C mes notes ont pris une chute libre. maintenant, je suis en 2ème Année en Comptabilité et Finance. CE soir, vu les mauvaises notes que jai eu tout ce trimestre, jai qu’une seule envie ,celle de rénoncer à la vie chrétienne pour vivre comme mes amis qui vivent sans réellement connaitre et qui ont les plus meilleures notes de la classe actuellement et qui sont dans les meilleures actuellement. Mais après avoir lu ce temoignage ce soir, je décide de prendre 5 jours de jeune et de prière pour chercher véritablement la de Dieu par Jesus-christ. Il est vrai que je suis Christ actuellement je reconnu que je m’authorise à faire beaucoup de péché.Je reviendrai d’ici peu dire ce qu’à faire le Christ pour moi. bonne soirée à tous!

    Réponse
    • Céline

      + Aristide Tozoun
      Tu ne vas quand même pas renoncer à Dieu pour des notes. Il faut que tu reprenne et tu crois en Jésus-Christ et que tu le cherche. Car on a qu’une seule vie et pas 2, les gens qui n’auront pas cru en Jésus-Christ seront en enfer ne te fait d’illusion. Réfléchi bien à ce que tu fait.

      Réponse
  6. de Vignier

    Quel magnifique exemple.
    J’ai souvent pense à la mort car ma fille nous a fait souvent peur dans le passé.
    Mon mari,âgé en a souffert.
    Il est mort en 2013 d’un cancer au cerveau en six mois.
    Ici,ma fille sans revenus,est dépressive, ss tutelle exagérément prolongée,ce qui augmente son caractère devenu épouvantable et suicidaire mais elle n’est jamais passée à l’acte….mon mari pensait que ça passerait.
    Je crois que ma fille restera ainsi mais je lui ai dit que penser au suicide ne la rapprocherait pas de son père à qui elle voue à la fois amour,hzinr,jalousie parce que je parle de lui.
    Mais je suis certaine que où qu’il soit,il entend mon amour.
    Ma fille a failli me pousser à ” partir” tant je suis jugée,houspillee, accusée que c’en est trop dur.
    Je suis chrétienne, heureusement mais seule face à ces moments de tous les jours sous mon tout.
    Et elle a 40 ans.

    Réponse
    • cafaggi antony

      j’étais athée, et un jour par défi je voulu lire la bible pour voir si elle était la vérité.

      J’ai cru dés la première page de l’évangile de Matthieu.

      Celui qui cherche sincèrement Dieu finit toujours par le trouver en Jésus

      Réponse

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