Génération ‘Hamas, déluge et Nouvel Ordre Mondial: une prophétie pour notre temps ! Paracha Noah (Noé) – Genèse 6:9 à 11:32

par | Nov 4, 2016 | 4 commentaires

Tour de babel et génération de noé à la fin des temps, une prophétie en cours d'accomplissement

 

 

Article mis à jour le 04 novembre 2024, par la grâce de D.ieu.

I] Introduction

Nous avons la grâce et l’honneur de fouler le sol sacré de la Paracha Noah et c’est avec la crainte révérencielle qui convient à une si sainte visite que nous examinerons ensemble quelques joyaux spirituels dissimulés dans le texte divin, et qui pour notre génération, se révèleront particulièrement précieux…

Dans la portion d’Écriture (Paracha) Noa’h (Noé), nous avons affaire à deux événements majeurs :

1) Déluge

L’impressionnant déluge biblique, aussi appelé « les eaux de Noé » (Ésaïe 54:9) qui bouleversa et fit périr la génération corrompue et impie de Noé « dans laquelle un petit nombre de personnes, c’est-à-dire, huit, furent sauvées à travers l’eau. » (1 Pierre 3.20).

La corruption des mœurs était telle, l’infection spirituelle du péché de cette génération avait à ce point gangréné la création, et les contemporains de Noé étaient à ce point dégénérés et pervertis, que le déluge était devenu une purification nécessaire pour nettoyer le monde de la souillure des 4 grands péchés qui imprégnaient toutes les couches de cette antique société mondiale : L’idolâtrie, le meurtre, l’immoralité sexuelle et le brigandage.

Ce juste jugement par les eaux fut si intense que, selon Rachi, « trois tefa‘him (longueurs du poing) de terre, profondeur du labour, ont été submergés et emportés par les eaux. » (1)

2) Confusion des langages

Des siècles plus tard, ce fut un autre type de jugement qui devait s’abattre sur l’humanité: le mélange des langages et la dispersion de la génération ouvertement rebelle de Babel qui forma le projet de se bâtir « une ville et une tour dont le sommet touche au ciel ».

C’est le fameux Nimrod, fils de Kouch, fils de Cham, qui fut l’instigateur de ce projet de révolte contre le Ciel comme il est dit :

« Nimrod, qui le premier fut puissant sur la terre. » (Genèse 10:8) Et Rachi de commenter :

Sa puissance a consisté à soulever le monde entier contre le Saint béni soit-Il, en incitant sa génération à construire la tour de Bavel (Pessa‘him 94b, Targoum yonathan).

La suite de Genèse 10, au verset 9 dit de Nimrod : « Il fut un puissant ravisseur devant l’Éternel; c’est pourquoi on dit: “Tel que Nimrod, un puissant ravisseur devant l’Éternel!” », ce sur quoi Rachi explique encore :

« Il « capturait » par ses paroles la pensée de ses contemporains, et il les induisait en erreur en les incitant à se révolter contre Dieu (Beréchith raba 37, 2) »

Face à un si funeste projet, et de si méchantes intentions, le juste jugement de Dieu ne s’est pas fait attendre comme il est dit:

« Confondons leur langage, afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres … C’est pourquoi on l’appela du nom de Babel, car c’est là que l’Éternel confondit le langage de toute la terre, et c’est de là que l’Éternel les dispersa sur la face de toute la terre. » (Genèse 11).

En effet, chercher l’unité tout en bafouant la source même de l’unité (D.ieu), c’est se condamner à la confusion et à la dispersion.

Rachi explique à ce sujet :

Ils avaient peur d’être dispersés (verset 4). Leur crainte s’est réalisée. Comme l’a écrit Chelomo : « Ce que redoute le scélérat lui survient » (Proverbes 10,24, Midrach tan‘houma) (2bis)

La grande confusion et la grande dispersion qui s’ensuivit étaient telles que « lorsqu’on demandera une brique, on apportera du mortier. L’un se dressera contre l’autre et le blessera à la tête » (2).

Un commentaire d’une grande actualité prophétique…

Considérons maintenant ce que nous révèlent la Torah et les maîtres d’Israël, comme cela est aujourd’hui largement attesté par diverses études sourcées, fiables et historiques:

Lors de la dernière génération, celle juste avant la venue du Mashia’h (Messie), deux civilisations seront dominantes dans le monde : le monde occidental (code biblique Esaü/Edom) et le monde arabo-musulman (code biblique Ismaël).

La Torah et les maîtres d’Israël enseignent qu’à la fin des temps, ces deux civilisations seront non seulement sur terre à la même époque, mais également, elles s’affronteront: l’une viendra pour détruire l’autre. (3)

Et comme nous allons nous attacher à le découvrir, ces deux grandes civilisations possèdent chacune les mêmes grandes caractéristiques que ces deux générations antiques étudiées dans notre Paracha: la génération de Babel (aussi appelée génération de la dispersion) et la génération du déluge.

Connaissant le funeste destin de ces 2 générations, ce simple commentaire est lourd de conséquences s’il s’avère vrai. Or, nous allons le démontrer dans la présente étude : ce commentaire est extraordinaire dans sa précision, et sa vérité se manifeste comme à l’œil lorsque nous examinons notre génération.

Et cela n’est pas étonnant puisque, comme l’enseigne les Sages d’Israël :

« La Torah et ses enseignements sont immuables et s’appliquent en chaque génération, à toute époque et en tout lieu. » (3b)

Dit autrement: La Torah nous révèle que pour notre génération, l’idéologie de la génération du déluge et l’idéologie de la génération de Babel seront toutes deux présentes, réunies sous nos yeux et s’affronteront.

C’est là ce que nous allons développer dans cette étude inspirée des textes saints, et dont la valeur “n’est pas de ce monde”, et de ce fait, n’est pas chiffrable.

II] La génération de la tour de Babel et la fin des temps

Selon les explications millénaires des sages d’Israël, que Dieu bénisse leur mémoire, le monde occidental possède beaucoup de similitudes avec la génération de Babel.

Nous avons vu qu’une des caractéristiques essentielles de cette génération de Babel était de vouloir s’unir en formant un seul peuple, une seule religion [une spiritualité tout humaine sans lien avec la volonté divine révélée dans la Bible], une seule langue, une seule idéologie (la pensée unique), indépendamment de Dieu.

On peut donner divers noms à ce type d’idéologie souhaitant une grande unité dont le Dieu Créateur serait exclu. L’humanisme est un de ces noms possibles. Le mondialisme en est un autre (rappel selon Larousse : “Le mondialisme est une doctrine qui vise à réaliser l’unité politique du monde considéré comme une communauté humaine unique)

Ce projet commun mondial, ce “nouvel ordre mondial” sans L’Éternel: c’est le discours des grandes puissances occidentales qui sont en train de réitérer sous nos yeux ce projet illusoire d’une unité forgée dans la rébellion contre le Ciel même.

« Allons ! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre. » (Genèse 11)

C’est précisément ce que nous observons depuis des décennies: cette volonté des nations occidentales de “se faire un nom”, cette prétention de s’unir dans une même idéologie tout en excluant et en bafouant les lois parfaites du Créateur. C’est la construction européenne, la mondialisme, l’œcuménisme religieux (unir toutes les spiritualités sous une même bannière, sans prendre en compte, une fois encore, ce que L’Éternel D.ieu déclare dans Sa Torah), etc.

Notons enfin une autre caractéristique de cette génération: l’individu, l’être humain en tant que tel, avait perdu toute valeur. C’est un commentaire connu qu’il faut ici répéter:

En construisant la tour de Babel, les hommes pleuraient les briques qui se brisaient par mégarde, mais lorsqu’un homme tombait et se tuait, personne n’y prêtait attention… (midrach).

N’est-ce pas ce que nous observons dans de nombreux pays prétendument civilisés ? Il est possible de souffrir pour la perte d’un bien matériel quelconque, d’une série Netflix sans suite ou stoppée, etc., tout en restant trop souvent insensible au malheur de nos semblables…

Quelques indices “babéliques”

Les indices de Babel dans notre génération sont nombreux. Nous venons déjà d’en évoquer quelques-uns comme cette indifférence coupable face à la souffrance d’autrui qui contraste tragiquement avec ce souci et cet attachement sentimental aux biens matériels.

Mais également: “Nouvel ordre mondial”, “village planétaire” ou “village global” sont autant d’expressions aujourd’hui très connues qui illustrent très bien le projet politique du monde occidental (EDOM). Le lien avec la génération de Babel est plus qu’évident.

Au niveau de la langue, voyez la résurgence de Babel s’opérer sous nos yeux par l’entremise des technologies numériques.

Comme nous le savons, “l’expansion de l’Empire britannique aux 18e et 19e siècles a répandu la langue anglaise dans le monde entier, ce qui en fait l’une des langues les plus parlées aujourd’hui.” (03c), ce qui fait de l’anglais une langue commune mondiale.

Mais plus encore: l’avancée technologique et la généralisation de l’IA ont permis à l’homme de franchir une étape supplémentaire dans l’unification du langage qu’aucune génération avant la nôtre n’était capable de franchir.

Par exemple, il est désormais possible, pour un faible coût, de posséder des oreillettes spéciales offrant une traduction en temps réel dans la langue de notre choix.

Voyez cet extrait d’un article de 2016 du site lesnumériques, titré « Click, les intras qui traduisent en temps réel » :

« Outre une avalanche de fonctionnalités (plus ou moins utiles), ces intra-auriculaires sont capables d’offrir une traduction en temps réel dans plus de trente langues » (4)

Un peu plus récemment (2024) :

« Le “Live translate” est l’une des fonctionnalités phares de “Galaxy AI” et permet de traduire quasiment en temps réel les appels téléphoniques. Intégrée à l’application Téléphone, elle permet de traduire en temps les appels dans la langue avec laquelle vous êtes le plus à l’aise.

 

L’outil peut également traduire automatiquement les messages texte et faire office d’interprète lorsque vous parlez à quelqu’un en face-à-face. Cette option n’a rien de gadget … elle permet de simplifier la communication en faisant sauter les barrières linguistiquesla fonctionnalité offre une traduction orale, mais aussi écrite. Elle traduit votre voix dans la langue de votre interlocuteur à l’autre bout du fil. Et vice versa. » (5)

Terminé la barrière de la langue. Nous pouvons à nouveau entendre la voix céleste affirmer : « Voici, ils ont tous une même langue, et c’est là ce qu’ils ont entrepris; » (Genèse 11:7).

Autre indice de poids: n’est-ce pas notre génération qui a vu pousser d’innombrables gratte-ciels comme il ne s’en est jamais vu dans toute l’histoire humaine ?

C’est ici un autre grand signe: cette multiplication des tours de Babel « dont le sommet touche au ciel » est un témoin architectural manifeste, une bannière que brandit l’esprit de Nimrod et sur laquelle il est écrit : « Je suis de retour, faisons-nous un nom ! »

La génération de Babel est tout autour de nous, et son empire s’étend sur la planète tout entière…

Et comme une cerise sur le gâteau des signes de “la dernière génération avant la fin”, il nous faut revisualiser le Parlement européen, qu’on ne se lasse pas de revoir. Que cela soit conscient ou non, les hommes de cette génération, notoirement influencés l’esprit de Nimrod, ont jugé bon de bâtir le Parlement en souvenir de l’architecture de la tour de Babel ! Tout simplement sidérant quand on y songe :

parlement eureopene babel

Le site du Parlement européen ne s’en cache pas et, à mi-chemin entre le sérieux et la dérision, revendique presque fièrement cette accointance. On peut y lire :

« Les interprètes du Parlement européen : Babel en action ! » (5p)

Dieu envoie des signaux très très forts, car très visibles et très audibles à qui veut bien se rendre attentif, voir et entendre.

III] La génération du déluge et la fin des temps

Quant à la génération du déluge, la Torah et les Sages d’Israël relèvent que les dérèglements sexuels, la débauche, le vol et la violence excessive régnaient en ce temps, et c’est ce qui attira le déluge sur l’humanité :

« La terre était corrompue devant Dieu, la terre était pleine de violence [‘Hamas en hébreu]. La fin de toute chair est arrêtée par-devers moi; car ils ont rempli la terre de violence; voici, je vais les détruire avec la terre. » (Genèse 6:11).

Violence et vol

Comme nous l’avons déjà dit en son endroit, il est stupéfiant de noter qu’en hébreu, le texte saint nous parle d’une terre remplie de ‘Hamas (pour violence). Or, nul ne peut ignorer l’accomplissement littéral de ce verset pour notre génération. En parlant de l’organisation terroriste bien nommée ‘Hamas, nous disions ceci :

Selon le théologien Strong, “violence, cruauté, injustice et mensonge” sont des termes qui définissent assez bien ce mot hébreu ‘Hamas.

 

Si en langue arabe, le ‘hamas nous parle de ferveur et de zèle, l’hébreu nous révèle l’intériorité de cette organisation assassine et profondément “nazi” dont le nom ne pouvait mieux être choisi; les violences extrêmes insoutenables commises par ces êtres ignobles, que le monde entier a pu découvrir le 7 octobre 2023, sont la plus tragique illustration des vérités véhiculées par l’hébreu.

 

Mais le mot ‘Hamas véhicule aussi l’idée de vol, et tout le monde a en tête cette prise d’otage historique, ce “vol humain” du 7 octobre 2023. Alternant le “vol humain” avec la stratégie du “bouclier humain” sur sa propre population, nous sommes en présence du ‘Hamas à l’état pur…

En effet, comme le dit le Sforno (sage d’Israël du 16e siècle) dans un commentaire sur le récit de la création, les noms hébreux que Adam donna aux animaux « convenaient parfaitement à chacun d’eux, selon la conduite la plus représentative de son être essentiel. Le nom choisi exprimait l’essence de son esprit. » (5s).

Comme le dit le midrach sur le récit de la Genèse, chacun des noms attribués par Adam reflétait effectivement les caractéristiques particulières de l’animal.

Et cela ne concernait évidemment pas que les animaux, mais toute chose en ce monde. Selon le midrach, lorsque Dieu demanda à Adam : “Et toi, comment te nommeras-tu ?”, il répondit : “Je dois être appelé Adam, issu de la terre, car j’ai été créé à partir de Adama, la terre [en hébreu].”

Bien que l’exemple soit malheureux, il faut le souligner deux fois : que la providence ait conduit ce groupe terroriste à se nommer ‘Hamas, illustre parfaitement combien l’hébreu est en mesure d’exprimer la véritable intériorité et les caractéristiques particulières des choses qu’il désigne.

Dans l’étude qui faisait suite aux horreurs du 7 octobre, nous disions aussi :

Dans la plupart des journaux et des médias du monde entier, le mot ‘Hamas est sous toutes les plumes et sur toutes les lèvres, si bien que notre Paracha et l’actualité sont encore une fois d’accord : la terre est effectivement pleine de « ‘Hamas », dans tous les sens du terme.

Depuis le 7 octobre, le monde n’a jamais autant parlé du ‘Hamas, et en ce sens, il est réellement rempli de ‘Hamas.

Nous le savons et tous l’ont vu – même si une partie du monde feint de l’ignorer pour sa propre perte : l’idéologie et les méthodes de ce groupe sont profondément perverses et abominables, et en tout point identiques à celles de l’État islamique.

Le Hamas, dont la charte déclare ouvertement son désir d’anéantir Israël, représente cette haine envers le peuple de Dieu, mais représente aussi un certain Islam radical désireux d’étendre son emprise en faisant violence au monde entier, un symbole fort de la génération de Noah (toutes ces franges extrémistes et cruelles de l’Islam telles qu’Al-Quaïda, Boko Haram, le Hamas en Palestine, le ‘Hezbollah, Daesh, etc., et tous leurs sympathisants, nombreux…).

Et pour boucler la boucle : sachant que la violence (‘Hamas) caractérise la “génération du déluge“, que le groupe terroriste ‘Hamas ait choisi de nommer son attaque du 7 octobre “l’opération Déluge d’Al-Aqsa”: voilà un autre signe de la providence qui devrait se passer de commentaires… Nous sommes une génération pleine de ‘Hamas sous la menace permanente de toutes sortes de nouveaux déluges.

Et d’une manière beaucoup plus globale et bien en dehors du cadre religieux, qui peut nier les innombrables violences/’Hamas qui se commettent sous le soleil ? Des violences choquantes, invraisemblables et innommables qui semblent se multiplier à l’infini dans les sociétés du monde entier et dont les journaux sont si friands.

Et cette violence, nous le savons, n’est évidemment pas seulement physique, elle est surtout morale et spirituelle, très réelle et très largement amplifiée par les réseaux sociaux et autres divers médias “qui rendent fou ce monde” et participent pour beaucoup à cet effondrement sans précédent des repères et des valeurs morales de l’humanité.

« Et que dirai-je encore ? Car le temps me manquerait pour parler » du vol, qui est répandu dans ce monde comme la poussière de la terre, de l’appauvrissement des populations, des injustices sociales criantes, de l’esclavagisme moderne, des immenses corruptions financières qui existent sous le soleil (au sein des gouvernements et des multinationales de tous les pays), du traitement infligé à la planète, aux animaux, etc. Le Midrach dira par exemple que les gens de cette génération « avaient déplacé les bornes de leurs voisins pour étendre leurs propres domaines. Si quelqu’un voyait un bœuf ou un âne aux mains d’un orphelin ou d’une veuve, il le prenait. » (Midrash Tanhouma, Noah 26).

Ce sont autant de formes de violences très réelles visées par le terme ‘Hamas, et que nous entretenons quotidiennement par notre refus d’abandonner le mal et de nous tourner vers le Créateur, qui dans Sa bonté, nous a fait connaître Son Messie, et communiqué des lois bienfaisantes et parfaitement adaptées à la guérison du genre humain.

Alors à qui la faute ? Laissons Moïse nous répondre :

« Je proclamerai le nom de l’Eternel. Rendez gloire à notre Dieu ! Il est le rocher; ses oeuvres sont parfaites, Car toutes ses voies sont justes; C’est un Dieu fidèle et sans iniquité, Il est juste et droit. 5 S’ils se sont corrompus, à lui n’est point la faute … Est-ce l’Eternel que vous en rendrez responsable, Peuple insensé et dépourvu de sagesse ? N’est-il pas ton Père, ton Créateur ? N’est-ce pas lui qui t’a formé, et qui t’a affermi ? » (Deutéronome 32:5-6)

Perversion des mœurs

Les saintes Écritures et les maîtres de la Torah d’Israël expliquent une chose digne de notre plus grande attention, surtout dans notre époque où les problèmes climatiques se multiplient, s’intensifient et où les catastrophes liées aux eaux (pluies torrentielles, inondations monstres, tsunami, etc.) sont légions.

De la propriété de l’eau découlent les envies et la jalousie, avec ses ramifications telles que le désir des femmes, de l’argent et de la nourriture.

Les eaux font donc référence aux jouissances matérielles, notamment aux passions sexuelles.

En divers endroits, l’Écriture nous le fait entendre, par exemple dans ce passage qui s’adresse au jeune homme et de son épouse légitime :

« Bois les eaux de ta citerne … Que ta source soit bénie, Et fais ta joie de la femme de ta jeunesse … pourquoi, mon fils, Serais-tu épris d’une étrangère, Et embrasserais-tu le sein d’une inconnue ? » (Proverbes 5:15-20).

Qu’uniquement elle, et nulle autre, assouvisse sa « soif », c’est-à-dire les désirs sexuels. Nous voyons ici clairement le lien avec l’eau.

Notons que dans le monde chrétien, le don de discernement des esprits est accordé à plusieurs, ainsi que la faculté de chasser les démons en vertu des promesses du Messie comme on peut par exemple le lire en Luc 10:17, après que le Messie ait envoyé plusieurs de ses disciples en mission : « Les soixante-dix revinrent avec joie, disant : Seigneur, les démons mêmes nous sont soumis en ton nom. »

Or, dans le monde chrétien, il n’est pas rare d’entendre parler des graves problèmes que peuvent causer un démon nommé “sirène des eaux”, un esprit impur lié à la promiscuité sexuelle, la séduction et à la luxure qui tourmente ceux qui lui ouvrent la porte par leur transgression des lois divines liées au domaine sexuel. Le lien avec l’eau apparait encore.

Reprenons l’analyse des maîtres :

Nous comprenons alors que les pulsions de l’homme, liées aux envies et aux désirs physiques, émanent de la propriété de l’eau qu’il contient. Il incombe donc à l’homme de maîtriser le “fondement de l’eau” afin de goûter aux plaisirs uniquement dans le cadre défini par l’Éternel.

 

Cette génération [de Noé], qui n’avait pas posé de limites à ses “eaux intérieures”, se laissa submerger par ses besoins de perversion. Elle fut donc punie par l’Éternel “mesure pour mesure” qui commanda aux eaux de pluie, aux eaux des abîmes terrestres ainsi qu’aux eaux des mers et des océans de dépasser leurs limites fixées, et d’inonder la terre par un déluge, noyant tout être vivant.

 

Nous voyons en effet qu’il existe des endroits dans le monde où la crainte du ciel est absente, où les pulsions de l’homme l’amènent à commettre de graves fautes, comme le fait remarquer Avraham au roi Abimélekh : « Parce que je me disais : “ce lieu est vide de crainte de Dieu, ils me tueront pour ma femme.” » (Genèse 20 : 11)

 

C’était, comme nous l’avons vu, le cas de la génération du déluge: les hommes ne craignaient pas le Créateur. Ils ne maîtrisaient pas leurs pulsions et leurs plaisirs physiques. Aussi, mesure pour mesure, les eaux des abîmes ne furent plus contenues, les eaux des mers dépassèrent les limites qui leur avaient été fixées par l’Éternel, s’étendirent et recouvrirent la planète entière.

 

Ainsi nous comprenons pourquoi Noé fut sauvé des eaux du déluge ; car “avec Dieu Noé a marché”.

 

D’après Onkelos, il était habillé de crainte de Dieu et contenait ainsi le “fondement de l’eau” dans la limite définie par Dieu. Mesure pour mesure, il fut sauvé des eaux du déluge. (7a)

Après ces brillantes explications, lorsque nous songeons au stade très avancé de débauche sexuelle qu’a atteint notre génération un peu partout dans le monde, les chiffres et les faits sont si éloquents qu’il semble inutile de les souligner, mais disons-le quand même : l’abandon de l’institution sacrée du mariage par de plus en plus de couples est une tragique réalité, tout comme la généralisation et la banalisation acceptée des adultères, de l’homosexualité, même de la zoophilie, etc.

La fornication et la débauche sexuelle augmentent sans cesse : « [en 2018] Selon les estimations, environ un tiers du trafic web mondial serait lié à la pornographie. » (6).

Ailleurs on peut lire : « Les sites pornographiques sont de plus en plus fréquentés par les mineurs, selon une vaste étude commandée par l’Arcom. Près d’un tiers des moins de 18 ans passent plus de cinquante minutes par mois sur des sites pornographiques, une proportion à peine plus faible que chez les adultes. » (7)

C’est ici la corruption de toute chair, de la génération pleine de violence de Noé, dont parle la Torah commentée par les Sages d’Israël, et qui attira un jugement par les eaux.

D’une certaine façon, toutes les fois qu’un pays ou qu’une ville est jugée par les eaux, nous sommes en présence d’une “micro résurgence” des “eaux de Noé”, pour des raisons souvent semblables : les hommes ne craignaient pas le Créateur, ils ne maîtrisaient pas leurs pulsions et leurs plaisirs physiques, ne voulaient pas poser de limites à leurs “eaux intérieures”, et se laissaient submerger par leurs besoins de perversion.

En résumé

Ainsi donc, avec la génération de Noé, nous avons un modèle de société où le plaisir individuel, sexuel notamment, règne en idole, mais aussi où les plus faibles et les plus pauvres sont opprimés, tués, volés et écrasés.

La pauvreté, les injustices sociales patentes de nos sociétés occidentales, conjuguées au slogan de mai 68 “Jouir sans entraves” et à cette explosion de la débauche et de la pornographie jusqu’à ce jour en occident, sont les traits de la société de Noa’h avant que le déluge ne les emporta tous : une société pleine de ‘Hamas (violence à tous les niveaux).

Tout ceci est tellement vrai, que juste après le 7 octobre 2023, les journaux du monde entier ne parlaient précisément que de ‘Hamas !

Et puis, dans le même mouvement, on a une société de la “pensée unique” du “nous totalitaire” qui souhaite gommer toutes nos différences, nos genres, nos religions pour nous unifier dans un village global sans Dieu, où la brique est plus importante que l’ouvrier.

Des hommes animés par un esprit mondialiste et scientiste, et qui, dans l’insolence de leur cœur, et dans la confusion des genres qu’ils ont sollicités puis plébiscités, osent braver Dieu en brandissant un drapeau “wokiste” aux couleurs Arc-en-ciel sur lequel il est écrit : “faisons-nous un nom” et juste en dessous : “jouir sans entraves”…

C’est notre monde, ou du moins les nombreux endroits du globe qui sont sous influence du monde occidental.

Navré pour le tableau, il ne ravira pas ceux qui préfèrent vivre dans le déni : c’est un monde consumériste, violent, irréligieux, débauché, bardé d’injustice, composé d’hommes “enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu” (2 Timothée 3:4) : c’est le “village global” que l’homme s’est créé.

Dans un tel contexte, que le climat et les catastrophes naturelles s’en mêlent n’est guère étonnant (Génération Déluge). Et que les hommes ne se comprennent plus, et se fassent la guerre, se dévore et s’entretuent: cela aussi n’est plus étonnant (Génération Babel). Les deux sont bien réunies, sous nos yeux.

Bienvenue à “dystopique world“.

Nous n’avons pas appris la leçon

Il y a ici une leçon d’éthique divine formidable pour notre époque. Parce qu’il est encore temps de réagir, de corriger le tir et d’apprendre de nos erreurs du passé ou en tout cas, de faire partie, devant Dieu, de ceux qui œuvrent pour le bien, lisons attentivement la suite.

En dépit des critiques les plus négatives et fondées que l’on peut faire sur la construction des États-Unis et de ses choix politiques, notons une chose de poids, positive celle-ci, qui a lui valu une grande bénédiction : la Parole de Dieu et la foi dans l’Éternel et dans Son Messie étaient au centre et nul n’en avait honte.

Preuve en est avec “la Northwest Ordinance” ou “ordonnance du Nord-Ouest”, cette loi votée par le Congrès de la Confédération américain le 13 juillet 1787.

Cette ordonnance, qui entraîna la formation du premier territoire organisé par les États-Unis, établit pour tout le XIXe siècle les modalités de la croissance des États-Unis vers l’ouest. L’interdiction de l’esclavage dans le territoire du Nord-Ouest établit de fait la limite entre les États esclavagistes et les autres sur l’Ohio.

Voici ce que l’on peut lire sur le document de cette ordonnance en matière d’éducation :

« La religion [chrétienne], la moralité et la connaissance sont nécessaires à tout bon gouvernement et au bonheur de l’humanité, les écoles et les moyens d’éducation seront toujours encouragés en ce sens. »

Pas étonnant que les États-Unis aient à ce point prospéré.

Mais faisons un bon d’environ 150 ans. Cette prospérité, comme il fallait malheureusement s’y attendre, est montée à la tête du peuple américain et de tous ceux qui ont bénéficié de cette bénédiction, et c’est alors que Dieu fut oublié comme le disent ces extraordinaires versets prophétiques en Deutéronome 32 :

Il « est devenu gras, et il a regimbé; Tu es devenu gras, épais et replet !-Et il a abandonné Dieu, son Créateur, Il a méprisé le rocher de son salut, 16 Ils ont excité sa jalousie par des dieux étrangers, Ils l’ont irrité par des abominations; 17 Ils ont sacrifié à des idoles qui ne sont pas Dieu, à des dieux qu’ils ne connaissaient point, Nouveaux, venus depuis peu, Et que vos pères n’avaient pas craints. 18 Tu as abandonné le rocher qui t’a fait naître, Et tu as oublié le Dieu qui t’a engendré. »

C’est bien là ce qui s’est passé : la prospérité est montée à la tête du monde occidental.

Sur Wikipédia, on peut lire : Les « Roaring Twenties » sont la période de croissance et d’insouciance des États-Unis des années 1920. La dénomination est souvent traduite par « années vrombissantes » ou « années rugissantes ».

L’urbanisme change la physionomie des villes américaines : c’est le développement des gratte-ciels (skyscrapers). Cette période est marquée par le développement d’une consommation de masse. La littérature et le cinéma véhiculent l’image d’une nouvelle femme américaine, “la flapper” traduit en Europe par l’émergence de l’image de la « Garçonne ». La « Flapper », symbole de la femme affranchie, a les cheveux et les vêtements courts. Elle fume en public, brave la prohibition et se maquille. Elle sort et danse, etc.

Aux États-Unis, mais de plus en plus partout en Europe : Normalisation de la consommation d’alcool et de drogue, mode de vie opulent et décadent, immoralité, excès en tout genre, corruption galopante des bonnes mœurs d’antan, etc.

Puis, quelques décennies plus tard, le concept de révolution sexuelle, parfois également appelé « libération sexuelle », entamée dans les années 1960, partout à travers l’Occident, apparait. C’est la pure normalisation et démocratisation de la pornographie, de la débauche, du dérèglement sexuel, etc.

Et en Europe ? Même constat.

Tous ces phénomènes n’épargnent évidemment pas l’Europe.

Dans un article du NouvelObs, pourtant non religieux, on peut lire combien l’homme est conscient d’avoir lui-même attiré le déluge moderne des guerres mondiales, dommage que si peu en tire la leçon qui s’impose :

Berlin 1920, cité des illusions, de tous les péchés, de toutes les colères, océan de lave révolutionnaire, ville des meurtres et des épaves de la guerre : dans le formidable livre d’Otto Friedrich, « Before the Deluge [avant le déluge] », la capitale allemande est révélée dans sa folie, sa névralgie … Tout a disparu, sous l’apocalypse des bombes. Il ne reste que des images de danseuses nues, jambes en l’air, comme dans « Cabaret », et de cohortes d’ouvriers portant la république de Weimar.

 

Berlin, dans l’entre-deux-guerres, c’est un chaudron d’espoir et de décadence. Une femme-tronc vend des lacets ; un ancien officier tsariste, Fyodor Vinberg, propose « la solution finale » dans son journal « l’Appel » (« Simplement, tous les Juifs doivent être tués ») ;

 

Stefan Zweig [journaliste autrichien & auteur reconnu (1881/1942)] remarque : « Berlin est devenue la Babylone du monde » (8)

Quelques mots sur Stefan Zweig : cet auteur célèbre a assisté impuissant à la « décadence morale » de sa génération en Allemagne.

Dans son livre-testament « Le Monde d’hier » rédigé en 1941, Zweig livre ses souvenirs d’Européen hanté par une question sans réponse : comment l’Europe, lieu d’excellence de la culture, des arts et de l’intelligence, a-t-elle pu sombrer corps et âme dans la barbarie ?

Il nous est parlé de l’évolution catastrophique et funeste du continent européen entre les deux guerres mondiales que plusieurs nomment “tragique suicide de l’Europe”. (9)

Voici un extrait :

« Contre ma volonté, j’ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison et du plus sauvage triomphe de la brutalité qu’atteste la chronique des temps. Jamais une génération n’est tombée comme la nôtre d’une telle élévation spirituelle dans une telle décadence morale. » (10)

On pourrait multiplier à l’infini les citations et les sources historiques qui vont en ce sens.

Comme les maîtres du midrach nous enseigne sur la génération du déluge :

L’humanité ne vivait certes plus au jardin d’Éden, mais son existence avant le déluge ressemblait encore à une vie paradisiaque. La vie était agréable. En vérité, elle était trop agréable. Elle était tissée d’une sérénité sans ombre et de plaisirs ininterrompus.

 

L’histoire de la génération du déluge est destinée à nous faire prendre conscience du fait que le bien-être matériel ne peut que générer la corruption s’il n’est pas maîtrisé par l’homme pour servir à des buts spirituels.

 

Aujourd’hui plus que jamais, nous constatons que l’opulence d’une société n’est pas synonyme d’harmonie. L’individu n’est en paix avec lui-même et la société ne vit dans l’harmonie que lorsque chacun mène une existence conforme à la volonté de Dieu.

Et donc, le constat est facile à faire :

Après le déluge de deux guerres mondiales, l’humanité est en train de reproduire sous nos yeux les mêmes erreurs et, exactement comme ce fut le cas après le déluge biblique, l’homme tente une autre approche : celle des gens de Babel : un nouvel ordre mondial sans Dieu. Mais il y a pire encore : ce mondialisme babélien incorpore en son sein la violence et l’immoralité de la génération de Noé.

Bienvenue à la fin des temps.

La tragique erreur de notre génération

Comme le font entendre les maîtres d’Israël, il y a à peine quelques décennies, un déluge [de deux guerres mondiales et d’une indescriptible Shoah] s’est produit dans notre monde, qui a emporté plus de 50 millions d’âmes.

Quelques-uns ont survécu, auxquels Dieu accordera une longue vie. Ces survivants doivent donc savoir que faire pour ne pas imiter ceux qui vécurent le premier déluge afin d’éviter les conséquences malheureuses que ces hommes connurent.

Si l’on considère ce qui arriva à la génération de la tour de Babel, il nous faut comprendre pourquoi ce projet allait si fortement à l’encontre de la volonté de Dieu ?

La Torah précise quelle était la motivation de ces hommes, lorsqu’ils voulurent bâtir cette ville et cette tour : “afin de nous faire un nom”.

Voici en quoi cela est répréhensible : lorsque des hommes se réunissent et projettent l’édification d’une ville, dans le seul but d’acquérir de la notoriété, “afin de nous faire un nom”, sans fixer aucune autre motivation plus élevée, en cherchant uniquement à perpétuer leur nom, ils font un acte égoïste, vidant ainsi leur existence de tout contenu.

Comme l’explique un sage d’Israël des siècles passés du nom de Keli Yakar, si réellement ils voulaient s’unir et n’avaient pas dit : “faisons-nous un nom”, leur parole aurait été appropriée, ils auraient probablement atteint la paix idéale par le biais de cette tour.

Mais en disant : “faisons-nous un nom”, ils ont dévoilé les véritables desseins de leur cœur : leur objectif était que leur nom se déploya dans le monde, et qu’on les appela : « les sommités de la terre ». Et pour Dieu, béni soit-Il, il était clair qu’en demandant à acquérir un nom dans le monde, ils en viendraient à l’inverse de ce qu’ils prévoyaient.

Et c’est pourquoi cette parole de l’Écriture s’est accomplie à leur sujet : « Car voici, tes ennemis, ô Eternel ! Tous ceux qui font le mal sont dispersés. » (Psaume 92:10)

Bien plus: se limiter à ce seul objectif “de se faire un nom”, pousse chacun à chercher à atteindre plus de stature et de puissance que son prochain. Cette tendance marque la grande majorité de nos semblables. Et c’est pourquoi beaucoup, pour parvenir à leurs fins, sont tentés d’avoir recours à ce qui va à l’encontre de la justice et de la droiture, car, ce que la majorité pense tout bas, certains hommes “experts en recherche de pouvoir” l’ont dit tout haut :

« Le pouvoir est un aphrodisiaque absolu », disait Henry Kissinger.

En effet, comme nous le dit le Keli Yakar dans cette explication lumineuse :

Lorsqu’ils se réunissent, les scélérats trament ensemble de mauvais desseins contre les autres. De surcroît, ils s’opposent par des propos belliqueux, des querelles et des rancœurs: telle étant la loi des jalousies régnant entre des clans dont toutes les entreprises ne sont pas dirigées vers la gloire du Ciel, mais sont destinées à se faire un nom sur terre.

 

Car, après qu’ils ont déclaré : “faisons-nous un nom !”, chacun cherchera à dominer l’autre et à s’élever au-dessus de lui, puisque c’est ce qui arrive fréquemment entre les clans dont les actes sont destinés à glorifier leur nom et à satisfaire leurs propres convoitises.

 

La jalousie et la compétition atteignent ceux qui cherchent l’acquisition d’un nom. À partir du moment où ils aspiraient à cela, chacun cherchait à exercer l’autorité et à régner dans cette grande cité, afin que son nom gagnât en célébrité dans le monde entier. Et de là les sujets de querelles n’ont fait que se multiplier entre eux, comme expliqué.

 

La raison en est essentiellement que le cœur de chacun est dirigé vers un objectif extérieur différent. Il y a celui qui aspire à la richesse et à la gloire, et un autre qui rêve d’une nourriture abondante. Celui-ci rêve de sexualité, et celui-là souhaite devenir célèbre et de plus en plus important.

 

La querelle ne tarde ainsi pas à arriver, d’une part parce qu’ils n’ont pas tous le même dessein, car il existe de nombreuses manières de faire le mal, alors que la bonne voie, celle de Dieu, est unique et définie dans la Torah ! »

Après cette formidable analyse digne d’un sage d’Israël, une telle entreprise ne pouvait donc que se solder par un échec.

Bien plus encore, à l’époque de Babel, un déluge venait d’avoir lieu quelques décennies auparavant à peine. Avant que celui-ci ne se produise, Noé avait expliqué à tous la raison pour laquelle il se produirait.

En conséquence, les survivants du déluge auraient dû se préoccuper, avant tout autre chose, d’amender leur vie spirituelle, d’assigner un objectif moral à leur existence. Or, tout cela ne fut nullement leurs préoccupations et ils recherchèrent uniquement un moyen d’obtenir que l’histoire retienne leur nom. Telle fut leur faute. Telle est la nôtre, actuellement.

Car les données factuelles de cette étude, connues dans le monde entier, sont également là pour nous expliquer les raisons profondes, les raisons racines et spirituelles du récent déluge (2 guerres mondiales, Shoah) et de la situation explosive actuelle (crises diverses, guerres, climats, etc.).

L’enseignement que l’on peut tirer de tout cela est bien clair. Lorsque l’on survit un déluge, on doit d’abord tout mettre en œuvre pour qu’une telle situation ne se reproduise plus.

Une ville et une tour ne peuvent se pérenniser qu’à condition d’avoir une raison d’être plus dignes. C’est seulement à cette condition que leur édification sera fructueuse. (11)

Mais plus encore : non seulement bien peu semblent vouloir tirer leçon du passé, mais il y a comme une volonté de cumuler les fautes: celles de la génération de la dispersion/Babel avec celles de la génération du déluge, et c’est là ce qui caractérise notre époque et qui place l’humanité devant un redoutable danger.

IV] Les affrontements finaux des derniers jours

Que voit-on avec stupéfaction ? Ce que nous avons dit en début d’étude : juste avant la venue du Messie, il y aura la guerre entre ceux qui représenteront la génération de Noé et ceux qui représenteront la génération de Babel.

Depuis la date historique du 7 octobre 2023, nous voyons beaucoup plus nettement que jamais les 2 acteurs de cette guerre.

Il y a par exemple ceux qui penchent ou qui soutiennent la cause palestinienne et le Hamas (Russie, Iran, Chine, etc.) et ceux qui penchent ou qui soutiennent le combat d’Israël (États-Unis, Europe) : pour ne pas sortir du cadre de cette étude, c’est volontairement que nous ne parlerons pas ici de l’effroyable cécité spirituelle occidentale conduisant les masses à condamner Israël (accusation honteuse de Génocide, etc.), voir la réfutation complète des accusations de cette sorte dans la partie 11 du conflit israélo-palestinien disséqué (13).

Quoiqu’il en soit : globalement, ces deux axes sont en confrontation (AXE Russie/Iran, etc. Vs AXE Usa/Europe, etc.).

Bien que dans le détail, les choses soient infiniment plus complexes, bien que la violence et l’immoralité type déluge/’Hamas soit présente dans tous les pays, et bien que l’idéologie type Babel influence également le monde entier, malgré cela, nul ne peut nier que deux grands axes se dégagent et s’affrontent sur la scène mondiale : le monde occidental (Génération Babel/Edom qui cumule aussi les fautes de la génération du déluge) est en guerre contre un monde pro ‘Hamas (Génération Déluge pleine de ‘Hamas).

La Torah et les maîtres nous avaient prévenus : lorsque nous verrons ces 2 civilisations être réunies en même temps et se faire la guerre, il faut sortir ses vêtements de Shabbat, le Messie est là…

Comme l’a bien formulé un ancien élève de la yéchiva de Poniewicz : “À notre époque, nous sommes plongés dans une génération qui combine ces deux visions du monde”.

Comment le nier ? C’est une génération pleine de tours de Babel, un nouvel ordre mondial “en révolte contre l’Essentiel” – D.ieu, un monde qui dans son orgueil et son scientisme veut “se faire un nom”, un monde avec une “seule langue”, un monde industrialisé, un système globaliste qui élimine l’individu au profit du matérialisme, une “extrême collectivité”, qui ôte toute valeur à la vie privée, à la cellule familiale, et où règnent le désir de vaincre, la jalousie, la compétition, etc. :

Bienvenue à Babel, vous êtes chez Nimrod.

Et c’est en même temps un monde de permissivité et de surconsommation, happé dans le tourbillon d’un consumérisme fou, une génération dans laquelle l’homme est centré sur lui-même, ultra-violent, cruel, et voleur, sans cœur, car “sans foi ni loi”, menant sa vie comme s’il n’y avait pas de lendemain, une vie dont l’objectif premier est la poursuite des jouissances matérielles, un monde d’immoralité sexuelle, sans restriction aucune. “Après moi le déluge” et “Jouir sans entraves” sont des slogans de cette génération prête à se faire de nouveau engloutir par le jugement, doublement plus sévère que l’antique, si elle ne change pas rapidement.

Il est saisissant et presque effrayant de constater combien l’homme refuse d’apprendre les leçons pourtant si évidentes du passé. La Bible lui indique, lui explique et lui montre son problème avec une clarté cristalline et le schéma destructeur dans lequel il ne lui faut surtout pas s’engager, mais dans lequel elle s’obstine pourtant de marcher !

Assistons-nous à un suicide de l’humanité ? Ses fautes types “génération de Noé” l’ont mené au déluge de deux grandes guerres mondiales terrifiantes. La terre est à nouveau pleine de ‘Hamas/violence et maintenant, non seulement notre génération refuse de regarder courageusement la vérité en face et d’abandonner ses péchés, mais elle choisit de perpétuer et d’amplifier les fautes de la génération du déluge (idolâtrie, débauche sexuelle, meurtre et vol) en y ajoutant celles de la génération de Babel, profondément orgueilleuse et idolâtre (Nouvel Ordre Mondial sans Dieu) !

Conclusion et Solution

Pourtant, le constat était évident. Échec de l’individualisme et du collectivisme : ces 2 visions écartent la loi divine qui, elle seule, mène à l’équilibre, à la pureté, à la moralité et à la paix, à la vie et au bonheur éternels, moyennant quelques menus efforts tellement insignifiants en comparaison au poids éternel de gloire et de bienfaits qu’ils entrainent dans leur sillage.

Les terribles bouleversements que les contractions de l’enfantement du Messie engendrent sur toute la planète sont un ultime avertissement : c’est la dernière heure pour nous repentir de tout notre cœur et c’est le temps de porter nos regards vers le seul vrai et unique sauveur : Yéshoua le juste, le Messie d’Israël, le seul vrai rédempteur que le Dieu d’Israël a suscité pour l’humanité.

Il nous faut une Arche et si aujourd’hui il y a Une Arche, elle est bien là, dans la foi au “Fils de l’homme” à qui l’Éternel Dieu a remis “tout pouvoir” (Matthieu 28:18, Daniel 7:14). Et comme du temps de Noé, le nom de ce “Fils de l’homme” est connu de tous. Il se nomme Yéshoua. La porte de l’Arche va bientôt se fermer. Il faut vite embarquer.

La génération de Babel et de Noé ont fusionné, elles sont sous nos yeux et attirent de bien graves jugements comme on le voit déjà clairement sous nos yeux.

Il y a 2000 ans, le juif le plus connu de l’univers, Yéshoua/Jésus, est venu fouler de ses pieds glorieux le sol de cette planète agonisante. Il est, et il restera le seul sauveur que Dieu a suscité pour délivrer une humanité perdue comme il l’a dit de sa sainte bouche : « Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » (Luc 19:10)

Aujourd’hui, ce Seigneur et Roi continue de transformer le cœur de quiconque croit en lui et fait de lui le Maître de sa vie comme il l’a lui-même déclaré : « Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » (Jean 11:40)

Il est le protecteur et le Grand Médecin de ceux qui l’aiment et qui obéissent aux commandements de son Père dans une attitude d’humilité. N’a-t-il pas proclamé ouvertement à la foule qui l’écoutait :

« L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés » (Luc 4:18)

Son conseil est prodigieux, ses paroles, pleines de grâce et de vérité. Quiconque s’est imprégné de ses divins conseils donnés dans les Évangiles en a été bouleversé et a vu l’intervention divine se produire en sa faveur, comme cela est connu et ainsi que Yéshoua l’a promis : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » (Jean 14:23)

Infiniment plus grand que le plus sage des sages d’Israël, le Messie Yéshoua, il y a plus de 2000 ans, nous avait avertis dans les mêmes termes que les maîtres d’Israël :

« Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme (…) Ce qui arriva du temps de Lot arrivera pareillement. Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. » (Luc 17, Matthieu 24)

Nous y sommes.

Le Messie Yéshoua détient la solution, la “lumière de la vie” pour sortir de cette obscurité finale.

Yéshoua nous a ordonné de considérer qu’il existe également une ville et une tour appartenant au domaine de la sainteté. La ville de notre Dieu possède un contenu sacré et divin. Une tour s’y trouve également, qui est la maison de prière et d’étude de la Torah, par la foi en Son Nom.

 

Il est très intéressant de noter que la Halakha (loi juive) stipule, en effet, que ces bâtiments (synagogues et maison d’études) doivent être les plus hauts de toute la ville (traité chabbat 11a et choulkhan Arou’h Ora’h Haïm, ch. 103, paragraphe 2).

 

Très simplement, cela signifie qu’il nous faut construire (physiquement et virtuellement) des espaces de sainteté, des lieux de prières et d’étude la Torah. Et c’est ici que l’on doit mobiliser toute son énergie pour que ces édifices soient les plus grands, les plus hauts [qualitativement surtout] ainsi qu’il est dit en Proverbes 18:10 :

 

“Le nom de l’Éternel est une tour puissante; le juste y court, et il y est dans une haute retraite.”

 

Une telle tour protège de tous les ennemis, non seulement de ceux qui sont déclarés, mais aussi de ceux qui se cachent.

Et soyons sur nos gardes : car quiconque nous invite à nous éloigner de cette “tour puissante”, même s’il vient à nous « en vêtements de brebis », l’Esprit de vérité déclare qu’ « au-dedans c’est un loup ravisseur. » (selon Matthieu 7:15).

 

En adoptant un tel comportement, on en tire deux acquis. On reçoit, tout d’abord, la récompense la plus essentielle, puisque, en construisant une ville et une tour appartenant au domaine de la sainteté, l’on met en pratique la volonté de Dieu.

 

De plus, on peut également, de la sorte, « nous faire un nom », le pérenniser dans l’histoire de la Torah, de la justice de la droiture.

 

Il faut bâtir des endroits dans lesquels et grâce auxquels tous peuvent étudier la Torah. Il faut aussi diffuser la Torah et la Bonne Nouvelle du Messie Yéshoua dans le monde. C’est ici l’Arche de Salut moderne, la tour forte qui vaut la peine d’être bâtie, non pour “nous faire un nom”, mais pour LUI faire un nom comme il est dit : « Son Nom sera le seul Nom. » (Zacharie 14:9)

 

Comme nous l’avons dit, en bâtissant la tour de la sainteté, on obtient la récompense essentielle, l’accomplissement de la volonté de Dieu, mais également celle qui la complète, la bénédiction en ses préoccupations personnelles, dans lesquelles on connaîtra le succès. Car en agissant ainsi, cette parole et promesse du Messie se réalisera : « et toutes ces choses vous seront données par-dessus. », parce que vous aurez cherché « premièrement le royaume et la justice de Dieu; » (Matthieu 6:33).

 

Enfin, parce que « quiconque s’abaisse sera élevé. » (Luc 18:14), on inscrit ainsi son nom dans l’histoire de Dieu, qui est elle-même immuable. (12)

Prions Dieu pour qu’Il nous donne la grâce de retenir, de vivre et de mettre en pratique les bons conseils de cette étude et de bien garder à l’esprit les avertissements salutaires qui s’y trouvent consignés.

Que le Dieu vivant nous aide à nous repentir, à veiller, à persévérer dans la foi et à travailler « non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle » (Jean 6:27) selon ce qui est dit dans cet autre texte excellent :

« Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! Je vous le dis en vérité, il l’établira sur tous ses biens. Mais, si c’est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, s’il se met à battre ses compagnons, s’il mange et boit avec les ivrognes, le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s’y attend pas et à l’heure qu’il ne connaît pas, il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (Matthieu 24)

« Voici, il vient avec les nuées. »

Oui, « et tout œil le verra » (Apocalypse 1:7). C’est pour bientôt.

« Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » – Yéshoua/Jésus, Jean 8:12.

Quelques sources utilisées dans cette étude :

(1) Rachi sur Genèse 6:13
(2) Rachi, citant Beréchith raba 38, 10 sur Genèse 11:7
(2bis) Rachi sur Genèse 11:7-8
(3) Voir notamment la grande étude nommée Esaü & Edom : Un code biblique pour désigner Rome, l’Europe, la chrétienté et le monde occidental ?
(3b) Tanya, Ch.17, Chneï Lou’hot Ha Berit, Likoutey Sihot
(3c) L’histoire de la langue anglaise (studysmarter) https://www.studysmarter.fr/resumes/anglais/lhistoire-de-la-langue-anglaise/
(4) Click, les intras qui traduisent en temps réel (article lesnumériques)
(5) Galaxy AI va introduire la traduction instantanée des appels sur WhatsApp (article Tomsguide)
(5p) Babel en Action sur le site du Parlement européen
(5s) Le Sforno, Gen. 2:19
(6) Un tiers du trafic web mondial serait lié à la pornographie
(7) Les sites pornographiques sont de plus en plus fréquentés par les mineurs
(7a) Tsror Ha’Haïm
(8) Article du Nouvel Obs, avant le déluge, les années folles, et Berlin
(9) Revue des deux mondes, Stefan Zweig, leçons du monde d’hier
(10) Article de Bordeau Gazette sur Stefan Zweig
(11) Le chapitre de notre étude nommé “La Tragique erreur de notre génération” est largement inspiré du Keli Yakar et du Rabbi de Loubavitch, Likoutey Sihot.
(12) Inspiré Rabbi de Loubavitch, Likoutey Sihot.

(13) Le Conflit israélo-palestinien disséqué Part 11 – L’éclair apocalyptique du 7 octobre: « Shoah Bis » et résurgence de la bête nazie 

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4 Commentaires

  1. Marc Larue

    Bonjour Thomas
    Merci encore pour cette étude. Comment ne pas penser aux inondations dramatiques qui viennent d’arriver à Valence (Espagne) alors que la Paracha de la semaine nous parle du déluge.
    Marc.

    Réponse
  2. GINETTE

    Ce monde est en train d’accoucher dans la douleur et dans l’angoisse ! Mais ayant en main la merveilleuse parole de l’Eternel, je ne perds pas courage . Il est tout puissant, omnicient et omniprésent, il y a peu je tremblais pour Israël, puis je me suis reprise, le Créateur de tout ce qui existe est aux commandes ! que suis-je moi ? pourquoi craindre pour la propriété du Maître de l’univers ? A ces yeux nous devons être des moucherons ! Il a un plan pour l’humanité depuis si longtemps, alors ce soir avant de m’endormir je vais me réfugier dans mon arche, mon contact avec Lui, dans la prière , dans la chaleur de Son Amour, sachant que notre avocat “Yéshoua”plaide afin que le responsable premier de tous ces péchés , satan et sa clique, qui a envahi le hamas n’ait plus grand temps pour pourrir ce monde aveuglé . La fin de l’histoire est belle, c’est la promesse en “béton” de notre Grand frère !

    Réponse
  3. julie

    Bonjour Thomas, un grand merci pour le tour d’horizon et le partage. J’aurais aimé faire quelques remarques a propos des évenements de Noé, des évenemens sur la fin des temps de manières plus globales. Lorsque Jésus attire notre attention concernant Noé et les temps de la fin. Nous pensons généralement que ce qui est décrit, c’est le péché et la violence des comtemporains de Noé, a juste titre je dois le préciser. Pourrions nous avoir une lecture un peu plus littérale ( sans négliger ce qui à été dit avant).

    Cette lecture littérale semble annoncer un autre déluge comme au jour de Noé. N’est ce pas ? Sinon, pourquoi dans Luc 21 et Matthieu 24, il y aurait la mention “les nations seront dans l’angoisse au bruit des flots”. Quelles flots ? Ceux du déluge du temps de Noé, certainement. Pas un déluge globale, pas une destruction de la terre, mais suffisamment conséquent pour creer ce sentiment d’angoisse chez les nations.

    Pour suivre dans cette lecture littérale, il y aurait aussi “un pluie de feu” comme pour Sodome et gomorre parce qu’on parle de cet épisode aussi dans la suite du verset (luc 21 et matthieu 24). On sait précisement que l’on parle de ca, parce qu’il est fait reférence à celui qui est sur son toit ne retoune pas en arriere pour recuperer son manteau (une image de l’attachement à ce qui est materiel). c’est justement dans cet épisode avec Lot que sa femme attaché à ses biens ou à son ancienne vie et se retourne et se retrouve changé en statue de sel. Donc en connectant ses éléments ci, on pourrait affirmer qu’il y aurait aussi comme pour Lot, une pluie de feu, un jugement comme pour Sodome et Gomorre.

    Il y a aussi, le serviteur économe et prudent qui donne de la nourriture au temps favorable. Cet image ci désigne certainement Joseph, qui était l’econome du roi Égypte et qui avait eu toute l’intelligence et la sagesse venant de Dieu pour mettre de coté durant les années de vaches grasse en prévision des maigres. Il fut celui qui donna de la nourriture en temps de famine pour le salut des Hébreux d’une part mais aussi pour tout ceux qui sont venu cherché secours en Égypte.

    Cette partie ne nous parlerais t’elle pas d’une famine à venir ? il me semble que si.

    C’est ce que je j’appelle pour ma part les “antécédents”. Dieu fait souvent références à ces événements passé afin que nous puissions apprendre les principes et en tirer des leçons. Dans ce cas ci, Noé, Babel, Lot, Joseph nous servent de guide pour les événements à venir. Je vous pose à vous la question, Guerres, déluge, pluie de météorite, famine ? voila ce qu’une lecture littérale me laisse entrevoir.

    Je soumet ça à vos critiques. Thomas sent toi libre de commenter. Dsl pour les fautes.

    Réponse
  4. mas

    Merci pour la parole, ce rappel à respecter notre engagement envers Yéshoua et notre Dieu tout puissant. Sans oublier le peuple d’Israël sans qui nous n’aurions pas eu de salut! car le salut vient des juifs! Sans oublier tous ceux qui ont été les témoins de la parole de Dieu , de l’existence du Dieu vivant et vrai depuis le commencement, de la venue de yéshoua, inspiré et conduit par l’Esprit de Dieu, le Messie, la parole de Dieu faîte chair.

    Que le plus grand nombre puisse se tourner vers Yéshoua le fils de Dieu vivant , et nos prières être reçues par l’Éternel miséricordieux et tout puissant pour le peuple d’Israël! et toutes les nations. Au nom victorieux de Yéshoua! Béni, soit celui qui vient au Nom du Seigneur! Amen!

    Réjouissons-nous car il revient bientôt, oui réjouissons-nous!

    Je te remercie Thomas, mon frère, car tu m’as donnée la confirmation, de ce que j’avais reçu comme message….
    Sois béni et encouragé à continuer dans ce que l’Éternel t’a confié pour faire connaître la vérité!
    Patricia

    Réponse

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