👉 « Quiconque est de la vérité écoute ma voix » – Yéshoua/Jésus, Jean 18:37

👉 « Si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l’Éternel » – Jérémie 29:13

La Pâque juive du Messie face à la Sainte Cène et l’Eucharistie

par | Avr 5, 2018 | 13 commentaires

Pessah, Pâques chrétienne, Pâque juive, Eucharistie, Sainte Cène du dimanche, “rompre le pain”, paganisme, culte à la vierge Marie : Mettons de l’ordre (seder en hébreux) !

Pour en savoir plus sur les fêtes de l’Éternel (Pessa’h/Pâque, Chavouot/Pentecôte, Souccot/Tabernacles, etc.,) : rendez-vous tout en bas de l’étude texte

L’heure solennelle du levain examiné

« Petits enfants, n’aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. » – 1 Jean 3:18

Pessah (Pâque), la fête de la libération: voilà un temps propice où les âmes honnêtes examinent non seulement leur demeure, mais aussi leur cœur, pour en ôter toute trace du vieux levain – levain de malice et de méchanceté – afin d’être trouvées pures à la lumière du Messie, notre Pâque.

C’est aussi le moment favorable pour considérer un sujet aussi sacré que souvent méconnu, un sujet qui touche au centre de notre adoration : comment notre Seigneur Yéshoua a célébré le dernier repas pascal, en contraste frappant avec ce que le monde religieux appelle aujourd’hui l’Eucharistie catholique ou encore la sainte cène protestante.

Ces lignes ne sont pas écrites pour attiser des controverses sans fruits, ni pour blesser ceux qui agissent selon la lumière qu’ils ont reçue, mais pour offrir une lumière peut-être plus claire, une lampe plus brillante, tirée de l’Écriture, pour les saints qui aiment la vérité.

Le propos sera peut-être un peu tranchant par moment, mais je veux croire que l’amour qui soutient le matériel de cette étude, est le même qui conduisit la plume de l’homme sage Salomon à écrire ceci : « Mieux vaut une réprimande ouverte qu’une amitié cachée. » (Proverbes 27:5).

Et avec Néhémie, il nous faut parfois faire de franches réprimandes lorsque la doctrine est abandonnée et que le paganisme se mêle au culte du Dieu vivant. Et cela en vue de nous purifier “de tout étranger”, travaillant ainsi pour “la remise en vigueur de ce que devaient observer les sacrificateurs et les Lévites” de ce siècle (selon Néhémie 13).

Une question sainte et salutaire

Il y a quelque temps déjà, une âme sincère, chérissant la vérité, nous a posé une question digne d’être entendue dans l’assemblée des rachetés :

« Pourquoi est-ce que nous ne devrions pas répéter la sainte cène dimanche après dimanche ? »

Et quelle question ! Elle transperce le voile des habitudes et des traditions humaines pour atteindre le cœur du culte véritable. Elle soulève avec simplicité ce que d’autres ont peur de formuler. Elle est semblable à une pierre jetée dans un lac doctrinal, non pour déranger de saintes traditions et de nobles habitudes, mais pour questionner celles qui ne le sont pas et évacuer l’erreur toute humaine.

Cette interpellation nous fournit une occasion d’or pour entrer ensemble dans une étude approfondie, une contemplation solennelle des Écritures, accompagnée du parfum d’Israël.

Du levain liturgique aux racines de la Vérité

Nous allons soulever, par la grâce de Dieu, le voile de plusieurs mystères :

  • L’origine et l’évolution de l’eucharistie romaine et de la cène dominicale protestante
  • Les racines juives et prophétiques du dernier repas de Yéshoua, pris en pleine fête de Pessa’h
  • Les glissements historiques et théologiques qui ont transformé une commémoration biblique en un rite parfois vidé de sa substance
  • Le vrai sens hébraïque de l’expression « rompre le pain », dans la bouche de Paul et que beaucoup tordent à leur risque et péril.
  • Et bien plus encore : le culte à Marie, les emprunts au paganisme, les traditions humaines qui, comme aux jours du Maître, rendent parfois nul le commandement de Dieu.

Nous contemplerons comment ce que le Seigneur fit un soir pascal, avec des pains sans levain et des coupes de vin, avec des herbes amères, est devenu, sous l’influence de Rome, une hostie, un calice et un dimanche matin. Quel renversement !

Le Repas du Messie : un Séder, pas un Sacrement

Que nos cœurs soient attentifs ! Le dernier repas du Seigneur n’était pas un repas improvisé, ni un simple souper de communion. C’était un Séder de Pessah, un rituel sacré, ordonné par l’Éternel Lui-même dans la Torah, et fidèlement observé par notre Sauveur Yéshoua, le Fils du Dieu vivant.

repas de Pâque du messie ou seder de pessah

Il ne s’agissait pas d’un mémorial hebdomadaire, mais d’un acte prophétique inscrit dans le calendrier divin. Le Messie, agneau sans tache, se tenait à table avec ses disciples. Il n’institua pas un nouveau rite, mais accomplit l’ancien dans sa plénitude. Il ne planta pas un arbre étranger à la place de l’olivier d’Israël, mais fit jaillir la sève de la vérité dans ses branches.

Comment donc le peuple saint pourrait-il réduire ce repas prophétique, ordonné dans la Torah à une date précise, à une bouchée de pain levé, une gorgée de vin, et un jour choisi selon les hommes ? Nous le démontrerons par la parole de feu de l’Écriture : ce sont là des traditions toutes humaines, très éloignées de la Torah de l’Éternel, de la pratique du Seigneur, et du témoignage des apôtres.

Nos pères ont célébré la Pâque, non dans la légèreté, mais avec des reins ceints, des sandales aux pieds, et un bâton à la main. Car il s’agissait du départ d’Égypte, et de l’annonce du Salut. Et chaque année, à la date prévue par le Ciel, il nous est offert de célébrer, de reconduire et de revivre cet événement sans précédent, à la lumière du « Fils de l’Homme », en fidélité à la Torah et à la tradition d’Israël, toutes deux honorées par le Messie, comme en témoignent les Évangiles.

Le glissement subtil : du Séder au sacrement

Il n’est pas rare d’être confronté à cette réalité : le serpent ancien rampe jusque dans le sanctuaire ! Il a subtilement transformé ce qui était un repas ordonné par Dieu en un rituel dominical, souvent déconnecté de son contexte, de sa puissance et de son origine.

  • On remplace la vérité biblique par la tradition humaine
  • On substitue l’Écriture par le dogme de l’homme
  • On perd la richesse des racines pour adopter l’apparence du fruit sans sa sève

Disons-le : L’eucharistie – invention romaine chargée de symbolismes païens – et la sainte cène hebdomadaire – calquée sur cette même logique – sont des détournements de la Pâque biblique, célébrée par notre Seigneur en fidélité à la Torah.

« Ainsi avez-vous annulé la parole de Dieu au profit de votre tradition. »Matthieu 15:6

Rompre le pain : un geste, mille contresens

Ah, combien d’âmes pieuses sont tombées dans la confusion à cause d’une mauvaise lecture de cette expression si simple : « rompre le pain » ! Une poignée de mots, et pourtant, combien de doctrines ont été bâties sur un sable mouvant !

L’expression « rompre le pain » que nous retrouvons dans les Actes des Apôtres ne signifie pas, comme plusieurs l’enseignent, la célébration d’un office liturgique semblable à la messe ou à la cène. C’est là une lecture étrangère au texte, une interprétation forgée dans les creusets des conciles et non dans la chaleur de la pure doctrine messianique.

« Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur. »Actes 2:46

N’est-ce pas là une description d’un repas fraternel ? Une agape communautaire ? Un moment de partage et non de sacramentalisation ? Pourquoi donc vouloir faire de chaque morceau de pain un mystère et de chaque coupe un autel ? Nous en parlerons dans la vidéo/audio.

L’esprit de Rome et la solennité déplacée

Voyez comment l’esprit de Rome s’est insidieusement infiltré jusque dans les bancs de ceux qui se disent réformés. Ce que l’Église romaine a institué comme transsubstantiation — doctrine non fondée, étrangère aux Écritures et gorgée de mysticisme païen — a été repris, dilué, réinterprété, mais jamais véritablement rejeté par une grande partie de la chrétienté.

Ainsi, au fil des siècles, on en est venu à isoler le “repas du Seigneur” du contexte biblique de Pessah, à le répéter chaque dimanche comme s’il s’agissait d’un commandement, alors qu’aucun texte inspiré ne l’ordonne ainsi.

Où donc, frères, est l’ordonnance d’un tel usage ?
Où le Messie a-t-il commandé que chaque semaine, une cérémonie soit faite en son nom autour d’un pain et d’un vin pris hors du cadre de Pessah ? Nulle part ! Il a dit : « Faites ceci en mémoire de moi » – et ce « ceci », il le dit lors d’un repas pascal, une fois par an. Rien n’indique qu’il s’agissait d’un nouvel ordre pour une célébration hebdomadaire.

« N’ajoutez rien à Ses paroles, de peur qu’il ne vous reprenne et que vous ne soyez trouvé menteur. »Proverbes 30:6

Les disciples : fidèles aux rendez-vous d’Adonaï

Les premiers croyants, tous juifs, n’ont jamais compris ces paroles comme une rupture avec le Séder de Pessah. Ils ont continué de célébrer la Pâque, non comme une ombre sans vie, mais comme une lumière pleine. Ce n’était pas un rite mort, mais un rendez-vous divin rempli de la présence du Ressuscité.

Ils rompaient le pain chaque jour, oui, mais cela signifiait simplement : ils mangeaient ensemble, dans la joie, dans la simplicité, dans l’amour fraternel. Et une fois l’an, à Pessah, ils se souvenaient avec solennité et profondeur de ce que le Seigneur avait accompli à cette même fête.

Des racines sacrées aux contrefaçons païennes

L’eucharistie : un vêtement romain cousu de fil païen

Ô peuple de Dieu, écoutons ensemble la voix du bon Berger ! Car il y a des loups vêtus de laine, des traditions parées d’un manteau de sainteté, mais cousues avec le fil du paganisme.

L’eucharistie romaine – aussi appelée « la messe » – n’est pas née de Jérusalem, mais de Rome. Ce n’est pas dans la chambre haute que ce rite a vu le jour, mais dans les replis obscurs d’un système qui a mêlé la coupe du Seigneur à celle des démons (cf. 1 Corinthiens 10:21).

Là, dans l’église romaine, l’hostie est élevée comme une divinité. Le prêtre prononce quelques paroles, et le peuple est invité à croire que le pain est devenu Dieu – oui, que le Créateur du ciel et de la terre s’est enfermé dans une galette ! Quelle folie blasphématoire, quelle offense à la majesté divine !

Ce rite ressemble plus aux antiques cultes idolâtres de Babylone qu’au repas humble et prophétique que célébra notre Sauveur. Pas d’agneau, pas d’herbes amères, pas de récit de la sortie d’Égypte, pas de mémoire d’Israël, seulement un « sacrifice perpétuel » qui nie le caractère unique et suffisant de l’offrande de Yéshoua, offerte une fois pour toutes.

« Christ, ayant offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. »Hébreux 10:12

Le culte à Marie : l’arôme étrange dans le sanctuaire

Et que dire du culte rendu à Marie, mère du Seigneur selon la chair, mais jamais selon l’Esprit ? Dans l’Écriture, elle se nomme “la servante du Seigneur” (Luc 1:38), mais dans les basiliques, elle est proclamée “Reine des cieux”, titre jadis réservé à l’idole de Jérémie 7:18 !

Le même poison coule dans la coupe, hélas. À la table romaine, on invite les âmes à vénérer celle qui fut honorée, oui, mais jamais adorée. On élève une femme au-dessus du Fils, et l’on supplante le seul Médiateur entre Dieu et les hommes (cf. 1 Timothée 2:5) par des intercesseurs de chair.

Ô sainte Vérité du D.ieu d’Israël et de notre Seigneur Yéshoua, reviens purifier Ton sanctuaire !

Une invitation au retour : de la cène au Séder

Ainsi donc, bien-aimés, la cène hebdomadaire – telle que pratiquée dans la plupart des églises aujourd’hui – est une imitation appauvrie, une réduction dramatique toute humaine de la profondeur du Séder messianique divin. Elle est née, non de l’ordre du Seigneur, mais d’un détournement progressif, lent mais certain, des fondations hébraïques de la foi.

Le Shabbat et le dimanche : un glissement révélateur

Tout comme le Shabbat fut abandonné au profit du « jour du soleil » – pratique née des mystères gréco-romains –, le Séder de Pessah fut remplacé par un simulacre célébré chaque dimanche, avec un pain levé pour les uns, une galette magique pour les autres, une coupe sans contexte, et souvent, une liturgie sans la lumière du commandement biblique de la fête de Pâque.

Mais aujourd’hui, le Saint-Esprit rappelle les siens à l’ordre divin. Il ramène les cœurs vers Jérusalem, et les éloigne de Rome. Il appelle les saints à se souvenir, non selon la doctrine des hommes, mais selon la Parole du Maître de tout.

« Demandez quels sont les anciens sentiers, quelle est la bonne voie ; marchez-y, et vous trouverez le repos de vos âmes. »Jérémie 6:16

Pessah messianique : de l’Égypte au Royaume

Le plan divin ne change pas : accomplissement, non abolition

Que ceux qui aiment le Messie entendent ceci : Yéshoua n’a jamais aboli la Pâque, ni ne l’a transformée en un nouveau rituel indépendant de la Torah. Non, mille fois non ! Il l’a accomplie, comme une fleur épanouie accomplit le bouton qui la portait.

La Pâque, dans le plan éternel, n’est pas une coutume périmée, mais une fête prophétique qui parle de délivrance, de rachat, de sang et de pain sans levain – et tout cela trouve sa plénitude en Lui, le Fils d’Israël, l’Agneau de Dieu.

« C’est ma Pâque, dit l’Éternel. »Exode 12:11 _
« Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité. »1 Corinthiens 5:8

C’est là un appel à réintégrer le rythme de Dieu, à redécouvrir la profondeur du calendrier biblique, à cesser de faire du repas du Seigneur une habitude sans racines, pour en faire une fête sainte, au temps fixé, selon l’ordre d’Adonaï.

Le Séder : un festin de mémoire vivante

Le Séder messianique n’est pas un simple repas ; il est l’annonce vivante du Salut. C’est le lieu où le pain est rompu avec intelligence, la coupe partagée avec compréhension, les symboles expliqués avec onction, et le Messie révélé avec puissance.

Ce n’est pas chaque semaine qu’on célèbre la sortie d’Égypte. Ce n’est pas chaque dimanche que l’on mange le pain de l’affliction avec les reins ceints. C’est une fois l’an, à Pessah, à la saison où le ciel s’ouvre et l’histoire se souvient.

Ce que les hommes pratiquent parfois tellement machinalement dimanche après dimanche, L’Éternel ordonne qu’on le pratique une fois l’année, selon l’ordre de la Torah, dans l’Esprit et la vérité, joyeux d’accomplir un commandement chargé de bénédictions et de révélations prophétiques et messianiques.

L’appel final : revenez au Seigneur, à Ses voies, à Sa table

L’heure est grave. Le monde religieux court à toute allure, mais souvent dans la mauvaise direction. Il est temps de s’arrêter, de sonder, de pleurer, de revenir.

Revenons à la Table du Roi, celle qu’Il a dressée Lui-même, et non celle qu’on Lui a substituée.

Cessons de répéter des rituels humains, et apprenons à vivre la Pâque dans l’esprit et en vérité, avec profondeur, avec discernement, avec obéissance.

« Les hommes livrés au mal ne comprennent pas ce qui est juste, Mais ceux qui cherchent l’Eternel comprennent tout. » Proverbes 28:5

Une génération qui répare les brèches

Que ce message et cette vidéo/audio résonnent dans les cœurs comme un shofar dans la vallée !

Le Seigneur cherche des hommes et des femmes qui réparent les brèches, qui restaurent les sentiers anciens, qui ne craignent pas de secouer les traditions humaines pour embrasser les commandements du Dieu vivant.

Puissent ceux qui lisent ces lignes se lever avec courage, retourner à la source, aimer non en parole, mais en actes et en vérité – et célébrer, à l’heure de Pessah, la mémoire vivante du Sang versé, non sur un autel de pierre, mais sur le bois de la rédemption.

« Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. »Apocalypse 3:20

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13 Commentaires

  1. norbert martin

    la resurrection c’est bien le dimanche cette année là. prophetie sicne de jonas ;
    3partie jour et 3 partie nuit.
    le dimanche commence la veille au soir. alors pourquoi pas apres la havdallah le samedi soir.
    maintenant ce n’est jamais pareil d’année en année .tout depend quand tombe le premier nissan.
    au temps de yeshua cette année là ,il est mort le mercredi a 3heure .
    1 jeudi; soir matin
    2vendredi; soir matin
    3samedi; soir matin
    le compte y est 3 jours. (signe de jonas )

    Réponse
  2. Arnaud

    Rompre le pain tel le faisaient les apôtres, c’est ce que l’on appelle casser la croûte, je voulais juste faire le parallèle.

    Réponse
  3. Cedric Kiper

    Salut homme frere dans ma quête de la verite suis tomber sur ce site , et je crois fermement que c’est ELOHIM qui m’y a conduit, je me prenomme CEDRIC et suis un jeune africain d’ouest du continent, j’ai tellement de chose ,a apprendre ,a connaitre ,a savoir afin d’etre mieux parer pour le combat entre la verité et le mensonge qui fait rage actuellement ici chez moi dans ma patrie.
    Un tel Mensonge qu’il est difficile a la limite de faire la difference entre ce qui est vrai et faux et le plus malheureux cela se preche dans les lieus Saint c.a.d les temples ou devaient etre enseigner , invoquer le NOM D’ELOHIM.
    Mais il n’est vraiment pas facile deja pour moi et bon nombre des freres en Christ D’avoir Acces A Toute Cette Richesse , A Toute Cette Verdure , Cette Eau Pure Et Limpide, Au Risque De Trop Parler Voulait Remercier Adonai Elohim Et L’adon Yeshoua Pour Ta Vie Et Tes Enseignements Puisse L’adon Yeshoua Nous Conduit Par Son Rouach Hachodesh Dans Les Verts Paturage De Son Royaume
    Amen Amen

    Réponse
    • norbert martin

      il le fera. une clé; priez pour israel.
      car dieu a dit a abraham isaac et jacob ‘israel ): je bénirai qui te béni, et je maudirai qui te maudis

      Réponse
  4. OUDIN

    Exode 13 v. 10 “Tu observeras cette ordonnance au temps fixé d’année en année.” Au temps fixé, au singulier, et ce temps est la Pâque célébrée le 14 Nisan. Il est écrit d’année en année, et pas de mois en mois ou de semaine en semaine. Cette ordonnance fait référence à Ex. 12 v. 14. En I Cor. 11 v 24 “…. faites ceci en mémoire de moi.” c’est sous-entendu au temps fixé qui est la Pâque (Pessa’h), comme stipulé en Ex. 13 v. 10. Idem pour la coupe en I Cor. 11 v. 25. En I Cor. 11 v. 26 “Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, {d’année en année au temps fixé, à Pessa’h, Ex. 13 v. 10}, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne.” Yéshoua était respectueux de la Torah, Il était Rabbin Torah observant, en instituant la Cène Il a cré un mémorial pour sa mort, afin qu’on célèbre son sacrifice conformément à ce qu’enseigne la Torah, une fois par an, au temps fixé à la Pâque. Yéshoua est la Torah incarnée, révélée, manifestée, accomplie, et respecter Yéshoua c’est respecter les enseignements de la Torah.

    Réponse
  5. guy

    seuls les juifs ont reçu les 613 misvots et c’est à eux que sont adressés ses commandements en tant que peuple élu .
    tous les autres qui respectent ces 10 commandements de dieu et qui croient en Dieu n’ont pas à respecter ces 613 commandements au sinon on serait juif

    Réponse
    • RencontrerDieu.com

      Shalom Guy, permettez-moi de souligner ce que je crois être une erreur de votre part : le commentateur de la Torah Rachi, ainsi que tous les rabbanim expliquent à juste titre que les 613 commandements sont contenus dans les 10 commandements, tout comme les 10 commandements sont contenus dans les 2 plus grands commandements : 1) aimer Dieu et 2) aimer son prochain. Par la foi en Yéshoua, le croyant des nations est greffé sur Israël et hérite de la même Torah, il devient un converti au Dieu d’Israël et ne doit pas s’exclure du peuple juif ni s’exclure de l’obéissance de la parole de Dieu. La Torah et les 613 commandements sont pour le peuple de Dieu, la question est donc : faites vous partie du peuple de Dieu ? Le converti des nations par la foi dans le Messie d’Israël fait parti du peuple de Dieu.

      Certes le convertis des nations doit y aller étape par étape, petit à petit car étant des nations à la base, il ne peut pas tout suivre et tout comprendre d’un seul coup, mais il doit étudier, mettre en pratique et c’est alors qu’il rentre dans un processus de sanctification et de croissance spirituelle qui dure toute la vie et qui commence par les mitsvot (commandements) que l’on lit en actes 15.

      Yeshoua dira ceci, ne l’oublions pas : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique. » (Luc 8:21) –> Ici Yéshoua parle de la Torah, il n’exclu aucun commandement, il parle bien des 613 commandements contenus dans les 10, il ne fait pas de différence et ce qu’il dit est destiné à tous ceux qui se réclament du Dieu d’Israël et du Messie.

      Réponse
      • Jesussoldier

        Considérant tout ceci, à quoi sert le “sermon sur la montagne”, prononcé par Jésus lui même, si ce n’est à recadrer et redéfinir les contours de ce qui est réellement attendu des enfants de Dieu dans la nouvelle alliance :
        Non vous n’avez plus obligations à verser vos dimes comme le dit la Torah, maintenant Jésus nous enseigne que 100% de nos ressources lui appartient, là est un petit exemple du changement de paradigme opéré lors du passage à la nouvelle alliance et la mort du Christ, nous n’avons plus à répondre à un ensemble de commandement qui nous mettrons sous la bénédictions ou la malédiction, part notre foi en Christ nous sommes Bénis pas part notre obéissance à 613 10 ou 2 commandement, cette obéissance à ses commandements naturellement ce fait par amour pour lui et pas part crainte du châtiment, Paul (et Jésus bien sur !), s’est battu toute sa vie contre les enseignement de ce qui se disait sage en Israël, les pharisiens et autre spécialiste de la loi qui voulait remettre sous un joug les nouvellement sauvés il considère même sa ligné hébraïque et tout ce qui en découle comme un perte au regard de Christ ! (lire Philippiens 3 et bien d’autres passages de Galathes et j’en passe encore d’autres …)
        Bref tout ceci pour dire que je ne comprends pas ce nouvel attachement à la loi de Moise, qui est en plus totalement irréalisable dans l’état actuel du monde, alors quoi ? Sommes nous tous maudit pour autant ? Chrétien, Juifs ? J’en doute … a l’époque de la Torah si elle n’était pas respecté il en découlait une malédiction, parce que justement les Juifs était lié à Dieu part une alliance de loi !(tu fais bien : béni, tu fais mal : maudit ) Aujourd’hui nous le sommes part une alliance de Grace, (comme Abraham, comme David) et ce que Dieu nous demande est infiniment plus fort et plus couteux encore que les 613 commandements qu’il a édicté au peuple Juif. Expliquez moi mon frère, expliquez moi d’où vient ce retour à une alliance qui n’était à la base pas voulu par Dieu (oui Dieu voulait une alliance de Grace avec le peuple juif, mais dans sa peur le peuple juif à demandé des lois).
        Quoi qu’il en soit j’aimerais vraiment un article de votre part sur tout les passages bibliques qui nous parle de cette nouvelle alliance et de l’abandon de tout les penchant légaliste qu’avait les hommes du moment (les écrits de Paul et les dires de Jésus, les traces dans Actes, et d’autres encore)

        Réponse
        • RencontrerDieu.com

          Bonjour, vous ne m’avez pas facilité la tâche : un commentaire parsemé d’affirmations qui nécessite une longue réponse/réaction en espérant que l’Esprit de Dieu agira et que cela répondra à vos interrogations. Pardonnez-moi par avance des fautes orthographiques nombreuses, le temps me manque pour fignoler.

          ********
          Je vous cite :
          « Considérant tout ceci, à quoi sert le “sermon sur la montagne”, prononcé par Jésus lui même, si ce n’est à recadrer et redéfinir les contours de ce qui est réellement attendu des enfants de Dieu dans la nouvelle alliance »
          Réponse :
          Rappel : le « sermon sur la montagne » ne diffère pas de la Loi de Moïse que Yéshoua et les apôtres observaient de tout leur cœur à l’instar d’Elizabeth et de Zacharie (Luc 1 :6) : C’est aujourd’hui prouvé : tous les enseignements du sermont sur la montagne se trouve dans la Torah de Moïse et dans les enseignements des Sages d’Israël authentiques (à ne pas confondre avec certains groupes de pharisiens, il y a avait environ 8 types de pharisiens)
          ********
          Je vous cite :
          « Non vous n’avez plus obligations à verser vos dimes comme le dit la Torah, maintenant Jésus nous enseigne que 100% de nos ressources lui appartient, là est un petit exemple du changement de paradigme opéré lors du passage à la nouvelle alliance et la mort du Christ, »
          Réponse :
          C’est ici un discours classique qui découle d’une confusion : Avec tout mon respect, vous interprétez mal : la loi, et donc la dîme, n’est pas abolie (Matthieu 5 :17-19) et même des modèles de la foi dont 100% de leur vie, de leur âme, de leur cœur et de leur force était tourné vers Dieu, donnaient pourtant la dîme (lire par exemple Hébreux 7 :2)… Etre 100 % à Dieu ne signifie pas donner 100% mais obéir à 100% à Dieu et cette obéissance nous enseigne sur la volonté de Dieu à ce sujet : pourvoir aux besoin des saints et des nécessiteux et à ce sujet, le minimum que Dieu demande, c’est 10% de tous les revenus (dîme). Si voulez donnez plus et avec bon coeur, vous êtes bénis et heureux mais si c’est un prétexte pour abolir les 10% que Dieu fixe : c’est une perversion.
          ********
          Je vous cite :
          « nous n’avons plus à répondre à un ensemble de commandement qui nous mettrons sous la bénédictions ou la malédiction »
          Réponse :
          En clair, selon votre doctrine, nous n’avons plus à répondre à la demande de Dieu qui désire que nous lui obéissions ! Là aussi, vous interprétez mal : les commandements de Dieu ne sont pas abolies et non pas moi mais Paul, vous répond : « Anéantissons-nous donc la loi par la foi ? Loin de là ! Au contraire, nous confirmons la loi. » (Romains 3 :31). La foi biblique appelle l’obéissance.

          Notez bien ceci : La réponse au salut gratuit de Dieu est l’obéissance de cœur à une Loi parfaite non abolie (voir psaumes 119). L’obéissance aux commandements divin a toujours attiré la bénédiction divine, aujourd’hui encore.
          ********
          Je vous cite :
          « part notre foi en Christ nous sommes Bénis pas part notre obéissance à 613 10 ou 2 commandement »
          Réponse :
          Selon votre compréhension et votre façon de présenter les choses, si j’obéis à 2 commandements seulement durant tout mon pèlerinage terrestre et que je laisse le reste, je suis bénis ? Mais qui vous a enseigné cette doctrine très fausse ? Toute l’écriture de Genèse à Apocalypse vous réfute. « l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. » (1 Jean 5 :3).
          ********
          Vous dites :
          « Cette obéissance à ses commandements naturellement ce fait par amour pour lui et pas part crainte du châtiment »
          Réponse :
          Je suis d’accord, mais ce n’est pas ce que vous semblez prôner depuis le début : au vue de votre discours et de votre position, vous abolissez non seulement la loi de Dieu, mais aussi les paroles du Messie en Matthieu 5 :17-19 + beaucoup d’autres versets semblables.

          Le Messie est clair, il vous faut le relire : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi » puis, en parlant des commandements de la loi de Moïse, il rajoute : « celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. » (Matthieu 5 :17-19). Au jour du jugement, beaucoup de personnes chrétiennes se revendiquant de Jésus seront très surprises de l’entendre leur dire : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6:46)
          ********
          Vous dites :
          « Paul (et Jésus bien sur !), s’est battu toute sa vie contre les enseignements de ceux qui se disait sage en Israël, les pharisiens et autre spécialiste de la loi qui voulait remettre sous un joug les nouvellement sauvés »
          Réponse :
          Entièrement faux et l’analyse impartial et neutre des théologiens est d’accord : Il est vrai que Paul se battait contre des légalistes de son temps qui par exemple, voulait imposer la circoncision pour être sauvé.
          Mais jamais Paul a passé sa vie à se battre contre les vrais sages d’Israël, vous inventez ! Jamais Paul ne se battaient contre ceux qui obéissent avec un bon coeur à la loi de Moïse dans l’amour et qui enseignent aux autres à faire de même (Matthieu 5 :17-19), sans légalisme, afin de plaire à Dieu.

          Meme la littérature juive critique sévèrement la corruption de bien des docteurs de la loi qui étaient pharisiens et légaliste mais ils ne sont pas représentatifs de tous les juifs ! D’autres pharisiens étaient pieux et aimé de Dieu et observaient la loi d’un coeur bien disposé, sans légalisme.

          Il faut insister : jamais Paul ne se battait contre des sages authentiques comme il y a en a toujours eu parmi les juifs.

          Aujourd’hui encore comme à l’époque, les légalistes sont présents dans toutes les religions et d’une manière ironique, il semblerait qu’en cette fin des temps et au vue de l’histoire et de l’Apostasie dans l’Eglise officielle, les légalistes abondent davantage dans un certain christianisme très actuel peuplé de gens qui n’ont pas étudié et qui brandissent en dogme, souvent par orgueil ou par ignorance, des certitudes absolument fausses… Le Messie est clair et parle ici aux chrétiens : « Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? 23 Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. » (Matthieu 7 :22). Iniquité, en grec = transgression et abolition de la loi divine donnée à Moïse.
          ********
          Vous dites :
          « Paul considère même sa ligné hébraïque et tout ce qui en découle comme un perte au regard de Christ ! (lire Philippiens 3 et bien d’autres passages de Galathes et j’en passe encore d’autres …) »
          Réponse :
          Ici, c’est une nouvelle grave erreur d’interprétation de votre part.
          Ici, notamment en Philippiens 3, Paul explique que tous les avantages spirituels indéniables d’un homme (connaissance de la loi, pratique parfaite, lignée de sages) ne sont d’aucune utilité s’il s’imagine obtenir le salut uniquement avec ces choses-là. Paul a renoncé à la folie qui consiste à croire que l’homme peut être sauvé par sa pratique de la loi seule ! C’est de l’orgueil et de la folie de s’imaginer se sauver par les oeuvres de la loi seule. Dieu veut qu’on suive sa loi, mais par amour, avec un intérieur propre et dans l’humilité.

          Pour faire court, Paul, depuis la frappe de lumière sur le chemin de Damas, a bien compris que son observance légaliste de la loi n’est pas ce qui peut sauver un homme ni le transformer car, nul ne peut se sauver de lui-même (Matthieu 19 :26) : seul Dieu le peut, par la foi qui n’abolit aucun commandement. Cela, les sages d’Israël l’enseignent depuis le mont Sinaï ainsi que le prophète Habakuk le disait déjà : « Mais le juste vivra par sa foi. » (Habakuk 2 :4) : notez que Habakuk disait cela et observait aussi la loi de Moïse.
          ********
          Vous dites :
          « Bref tout ceci pour dire que je ne comprends pas ce nouvel attachement à la loi de Moise, qui est en plus totalement irréalisable dans l’état actuel du monde, alors quoi ? »
          Réponse :
          Oui, alors quoi ? Selon les sages authentiques, votre raisonnement est semblable à cela :

          Vous êtes semblable à un homme qui a devant lui un océan de diamant et renonce d’en prendre un maximum sous prétexte qu’il ne pas tous les prendre… Vous l’avez compris : l’océan de diamant c’est la loi de Dieu grande et magnifique comme il est écrit par l’Esprit du prophète : “L’Eternel a voulu, pour le bonheur d’Israël, Publier une loi grande et magnifique.” (Esaïe 42:21)

          Comprenez ceci : l’attachement à la loi est synonyme d’attachement à Dieu car la loi provient de la bouche de Dieu et mille versets nous exhortent à l’observer non pour être sauvé mais comme une réponse d’amour de notre part à ce grand salut offert gratuitement par Dieu : il est possible d’observer la loi sans condamnation, avec joie et amour : cela s’appelle la sanctification et l’obéissance. Tout comme il est possible d’observer la loi d’une manière légaliste, ce que Dieu n’aime pas : “Cessez d’apporter de vaines offrandes : J’ai en horreur l’encens, Les nouvelles lunes, les Shabbats et les assemblées; Je ne puis voir le crime s’associer aux solennités.” Esaïe 1:13 –> Alors Quoi, Dieu n’aime pas le Shabbat ? Biensur que non ! Dieu aime voir son peuple lui obéir à condition que cela soit fait dans l’amour et avec un bon coeur, sans quoi, il déteste.

          Par contre, celui qui s’acharne à abolir la loi et ne pas vouloir y obéir et qui tords les écritures pour parvenir à ses fins, malgré les avertissements, ne démontre qu’une chose : il n’aime pas Dieu mais l’idole de la doctrine son imagination et un Messie qu’il s’est inventé de toute pièce.
          ********
          Vous dites :
          « Sommes nous tous maudit pour autant ? Chrétien, Juifs ? J’en doute … »
          Réponse :
          Est maudit tout celui qui s’oppose à Dieu et qui abandonne la foi…
          ********
          Vous dites :
          « a l’époque de la Torah si elle n’était pas respecté il en découlait une malédiction parce que justement les Juifs était lié à Dieu part une alliance de loi !(tu fais bien : béni, tu fais mal : maudit ) »
          Réponse :
          Aujourd’hui encore nous sommes tous liés à Dieu par une alliance qui implique des lois : Dieu est un Roi, il a un Royaume, il a des sujets, des enfants et il a des lois : les lois sont clairement consignées dans le livre Saint et Inspiré qui s’appelle la Bible et qui ne commence par au « nouveau testament » mais qui commence bien au livre de Genèse.

          Quelqu’un qui volontairement refuse d’obéir à Dieu n’échappera pas, chrétien ou juif. N’avez-vous pas lu ce que dite l’Alliance Renouvelée : « Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins; 29 de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l’Esprit de la grâce ? » (Hébreux 10)

          Outrager l’Esprit de la grâce consiste justement à s’acharner à s’opposer à la loi divine car la grâce nous conduit vers l’obéissance et non vers la transgressions :
          Malheur à ceux qui transforme la grâce de Dieu en dissolution ! (Jude 1 :4)

          Faire le bien, c’est obéir à Dieu et suivre ses voies. Faire le mal s’est s’en éloigner. Paul est très clair :
          « Tribulation et angoisse sur toute âme d’homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! 10 Gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec ! 11 Car devant Dieu il n’y a point d’acception de personnes. » (Romains 2)
          ********
          Vous dites :
          « Aujourd’hui nous le sommes part une alliance de Grace, (comme Abraham, comme David) et ce que Dieu nous demande est infiniment plus fort et plus couteux encore que les 613 commandements qu’il a édicté au peuple Juif »
          Réponse :
          Sans zèle amère à votre égard, je dois vous le dire : vous parlez de choses que vous ne comprenez absolument pas. Ce que Dieu a édicté au peuple juif cela s’appelle Sa Loi parfaite et véritable que « Jésus » chérissait et honorait de tout son cœur ! Lui-même dira est clair en Matthieu 5 :17-19. Relisez.

          Pardonnez moi pour la franchise et l’aspect peut-être un peu sec de mes paroles, mais le sujet est si important qu’il faut être clair et ferme.

          Chaque commandement de Dieu est infini, rempli d’une sagesse merveilleuse. Qu’est-ce qui vous fait peur ? Il y a la lettre et l’Esprit de la lettre : les deux se complètement, s’harmonise et fusionne, et l’un n’annule pas l’autre. Votre raisonnement semble ne regarder que la lettre en oubliant que chaque loi est avant tout spirituelle (Paul le dit en Romains 7), ce qui n’abolie pas son côté concret et pratique. Paul lui-même n’a de cesse de le démontrer et de montrer l’exemple. Voir cet article :

          La réponse de l’apôtre Paul face à la Loi de Moïse et aux faux docteurs : https://www.rencontrerdieu.com/project/la-reponse-de-lapotre-paul-face-a-la-loi-de-moise-et-aux-faux-docteurs-paracha-nasso/
          ********
          Vous dites :
          « Expliquez moi mon frère, expliquez moi d’où vient ce retour à une alliance qui n’était à la base pas voulu par Dieu (oui Dieu voulait une alliance de Grace avec le peuple juif, mais dans sa peur le peuple juif à demandé des lois). »
          Réponse :
          Il est compliqué d’échanger avec vous dans la mesure où vous posez des questions tout en y glissant des certitudes, qui sont souvent erronées. Je répondrais quand même :
          Il n’y a pas d’ancienne Alliance sans grâce qui serait anéanti puis remplacé par une Nouvelle Alliance dans la grâce et sans loi : ceci est faux, c’est le fruit de faux docteurs. Jamais l’Ecriture ne dit cela. En tout temps, les fidèles observateurs de la loi étaient sauvés par grâce et jamais ils n’observaient la loi dans le but d’être sauvé.

          Par exemple, David faisait ses délices de la loi de Moïse, et il fut sauvé par grâce et c’est la grâce de Dieu, agissant en lui, qui le poussait à observer les commandements de Dieu avec un cœur bien disposé. Tous les psaumes en témoignent !

          Paul dira que la loi de Moïse est sainte, juste et bonne et David de dire que la loi est la vérité (Psaumes 119.142).
          Ainsi, pour vous répondre : ce retour à la Saine Doctrine provient de l’amour de la vérité : l’Alliance de Dieu n’a jamais été abolie : brisée par son peuple, l’alliance a été renouvelée par le Sang du Messie, c’est très différent. La loi de Dieu nous sanctifie et nous sommes appelés à la sanctification. L’Esprit du Messie nous y aide car sans Dieu, impossible.
          ********
          Vous dites :
          « Quoi qu’il en soit j’aimerais vraiment un article de votre part sur tout les passages bibliques qui nous parle de cette nouvelle alliance et de l’abandon de tout les penchant légaliste qu’avait les hommes du moment (les écrits de Paul et les dires de Jésus, les traces dans Actes, et d’autres encore) »
          Réponse :
          Pour conclure, je crois que notre échange constitue une réponse à vos derniers propos. Puisque vous êtes demandeur, permettez-moi de vous conseiller la lecture de tous les articles de cette rubrique spécialement conçue à cet effet : Dossier Spécial : La fausse doctrine de l’abolition de la Loi (Torah) dévoilée : https://www.rencontrerdieu.com/plus/dossier-special-la-fausse-doctrine-de-labolition-de-la-loi-torah-devoilee/

          Vous savez, le christianisme n’a pas été épargné par l’Apostasie durant ces deux derniers millénaires et aujourd’hui, la vérité resurgit plus encore qu’à d’autres époques. Les amoureux de la vérité s’en réjouissent car ils aiment la vérité et sont prêt à modifier leur vie pour s’y conformer sans se laisser manipuler par des hommes, tout religieux qu’ils soient.

          Si vous avez vraiment vécu une expérience avec Dieu et son Messie, considérez notre échange comme important car s’Il le permet, ce n’est pas sans raison : non pour vous condamner mais pour vous encourager à aller plus loin et à vous repentir sur certaines choses. Si vous avez l’assurance du salut et l’amour de la vérité, Il vous conduira en Yéshoua, dans Sa vérité et Ses sentiers, et non dans ceux de l’Apostasie et de l’abolition de la loi et toutes ces erreurs de jugement sur la loi et les juifs, j’en suis certain. Mais il est vrai : le chemin est resserré et loin d’être facile même si les bénédictions sont nombreuses et dans notre marche, l’Ecriture nous avertit : « Examinez-vous vous mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes. » (2 Corinthiens 13 :5). En effet, il est possible de se tromper soi-même « par de faux raisonnements » (Jacques). Le Salut est gratuit et offert pour celui qui se repent de ses mauvaises voies, qui meurt à son ancienne vie et décide de vivre pour Dieu, dans l’obéissance au Créateur : Dieu l’aidera et le bénira dans ce chemin, et il le sauvera, c’est Sa promesse. Mais l’homme doit conserver ce salut au prix d’un effort car s’il se montre négligeant et blasphème Dieu, assurément, il peut perdre son salut ou au mieux être sauvé “comme au travers le feu”…

          Si vous désirez quelques conseils, nous sommes à votre disposition, tout ce site est d’ailleurs là pour cela. Mais si vous persistez dans la direction consistant à déclarer abolie vérité de la la merveilleuse loi divine, il est possible que nous ne donnions pas suite à cet échange.
          A bientôt peut-être.
          Thomas.

  6. Adrien

    Bonjour Thomas,
    Je sens ta bonne foi derrière tous tes enseignements et je pense que Dieu ne condamne pas l’erreur lorsqu’elle est commise avec “bonne foi”.. Si nous aimons le Seigneur (protestant, catholique, etc..) ne sera t il pas miséricordieux avec nous quand bien même nous l’aimons “mal”…
    Pourquoi vouloir absolument essayer de prouver que tel ou tel Église est dans l’erreur? Penses tu vraiment que c’est le combat le plus important à mener ?
    Surtout que je suis probablement le seul catholique à venir sur ton site et que tu pourrais opposer tes arguments au miens pendant des années que cela ne changerai rien à ma foi (en tant qu’ancien athée j’ai longtemps chercher la vérité et je l’ai trouver dans l’Église catholique).
    Je pense que ton site gagnerait en qualité si tu abordais d’abord les sujets qui rassemble plutôt que ceux qui divisent. (comme dans tes premières vidéos : “La science face à Dieu”, “La Bible confirmée par la science moderne”, etc…)
    Dieu te bénisse et te garde.

    Réponse
    • RencontrerDieu.com

      Shalom Adrien,

      Je ne doute pas non plus de ta bonne foi en écrivant ce commentaire mais comme beaucoup d’autres le pensent, je crois qu’aucune véritable unité n’est possible tant que l’on fermera les yeux sur certaines graves erreurs doctrinales principalement véhiculées par un christianisme qui ne s’est que trop paganisé au fil des siècles et qui ne veut pas faire disparaitre “les hauts lieux” sous prétexte d’une unité falsifiée et galvaudée. Un des fruits de ceci est le suivant : beaucoup de souffrances cachées parmis les chrétiens.

      Il est vrai qu’il est important et bon de ne pas parler que des sujets difficiles et de s’occuper de répandre la lumière de la bonté et de la miséricorde de Dieu mais comme dans tout, il faut qu’il y ait un équlibre. Nous ne prétendons pas avoir atteint cet équilibre parfait mais nous tendens vers cela.

      Bien des études, des articles et des montages sont prévus sur d’autres sujets merveilleux comme les grands miracles qui se produisent régulièrement en Israël, de nouveaux témoignages merveilleux du Messie Yéshoua qui s’est révélé, a guéri et délivré bien des personnes, mais ce site web a aussi pour vocation, à son échelle, de publier tout le conseil de Dieu et pas seulement les sujets qui font plaisir aux croyants. Encore certaines vidéos et montages sont prévus dans cette optique afin d’aider le maximum à revenir à un sainte crainte de l’Eternel.

      L’objectif de ce site web n’a jamais été de prouver que l’Eglise est dans l’erreur, pas plus que Yéshoua, les prophètes du Tanakh ou Paul ne voulaient le faire lorsqu’ils dénonçaient l’erreur des croyants de leur époque et leurs péchés. Il y a d’excellentes choses dans le christianisme et des personnes merveilleuses, nous le savons, mais la grande Apostasie est aussi une réalité qui gagne du terrain à mesure que nous évitons certains sujets sensibles mais important. L’abolition de la Torah, l’ignorance au sujet des commandements de Dieu et de leurs vertus, l’ignorance au sujet de la place d’Israël dans le coeur de Dieu, le mépris d’Israël et de ses sages, etc, sont des réalités qui s’enracinent dans un paganisme antique dont l’influence est encore très présente aujourd’hui dans la chrétienté. Si nous voulons avancer dans la bonne direction et l’amour véritable, il nous faut faire le point sur ces choses, et quitter l’erreur sans pour autant condamner et être rigoureux avec les individus mais sans non plus taire la vérité. Réussir à parler dans l’amour et le respect de sujets sensibles est un pas merveilleux vers la grande guéoula (délivrance) que tout le monde attend.

      Tu parles des sujets qui rassemblent, et bien justement, ce type de sujet abordé dans l’étude, bien que difficile à aborder et délicat, permet en bout de course de rassembler les disciples dans la vérité. Il n’est pas saint de rassembler les croyants au détriment de la vérité en les invitant à fermer les yeux sur ce que Dieu met en lumière en ces derniers jours : l’équilibre est certe dur à trouver mais le chemin qui rassemble n’a jamais été spacieux, il est resserré.

      Comme dirait l’apôtre, nous voulons donner tout le conseil de Dieu, sans rien en cacher, et cela serait faire preuve de compromis que de ne publier uniquement des études qui ne cherchent qu’à conforer les gens dans une unité illusoire : la priorité doit être la recherche de la vérité et de la faveur de Dieu, non celle des hommes. La vraie unité ne peut se faire que dans le rassemblement des disciples dans l’obéissance à la saine doctrine. Sinon, c’est une unité factice teintée de compromis, en somme, le piège de l’oeucuménisme.

      L’erreur est naturelle, nul ne détient toute la vérité mais face à certaines graves fausses doctrines, il est impossible de se taire surtout lorsque les disciples en souffrent, se questionnent et désirent recevoir des réponses : cette étude audio est destinée à ces disciples dans la mesure où nous avons reçu plusieurs demandent d’éclaircissement à ce sujet. Nous y répondons donc avec le plus de tacte et d’authenticité possible mais sans rentrer dans le compromis. Ceux qui ont l’amour de la vérité et qui désirent l”unité verront certainement d’un bon oeil ce type d’étude et d’initiative.

      N’oublions pas non plus que c’est justement aussi la miséricorde de Dieu qui révèle les erreurs afin que l’on se sanctifie davantage et que l’on quitte l’apostasie. Ce n’est certes pas toujours agréable de reconnaitre que l’on a marché dans certaines erreurs mais c’est justement dans ces moments que l’on a l’occasion de montrer et de démontrer notre amour de la vérité. Soyons attaché à la vérité et non pas notre conception de la vérité qui peut parfois se révélé être une erreur.

      Sache aussi Adrien, que tu es loin d’être le seul catholique à visiter le site et certains catholiques sincères et aimant la vérité nous ont même écrits pour nous signaler que les articles et études de ce site leur ont ouvert les yeux sur bien des erreurs doctrinales graves véhciulées par le catholicisme et leur relation avec le Dieu vivant s’en est vu renforcée, et nous sommes heureux de cela. L’homme peut décider de rester sur ses positions même si elles sont fausses et erronées, mais seul l’Esprit de Dieu peut nous faire changer si nous cultivons l’amour de la vérité. Pour nous, nous contentons de semer, Dieu fera croître là où la terre du coeur est bonne et meuble. Le changement n’est pas entre nos mains, mais dans celles de Dieu, nous nous contentons de publier avec le plus de circonspection ce que nous croyons venir de Dieu, le reste lui appartient.

      Le catholicisme est rempli de graves erreurs doctrinales qu’il convient de mettre en lumière sans pour autant dénigrer ni manquer de respect aux individus catholiques qui bien souvent, sont tout simplement ignorants de certains faits et pensent sincèrement servir Dieu. Cette étude ne fait que rappeler quelques unes de ces erreurs.

      Je te conseille vivement de lire le livre de l’ex prêtre Charles Chiniquy par exemple, un ouvrage fondamental et un délice littéraire.

      Pour ceux que cela intéressent et bien que nous ne sommes pas forcément d’accord avec tout le contenu des documents que je vais ici proposer, voici en outre, quelques documents rassemblés pour l’occasion et destinés à ceux et celles qui veulent en savoir plus sur le catholicisme :

      Le Catéchisme de l’église catholique – un autre evangile ?

      Comprendre le catolicisme romain

      J’étais prêtre

      Que l’Eternel Dieu de toute la terre bénisse son peuple.
      Thomas.

      Réponse
  7. PLANCKEEL

    Aujourd’hui encore dans le Moyen-Orient dès le début du repas la galette de pain levé est rompu et le chef commence par la distribuer à ses invités. Bien-sûr cela n’a rien à voir avec le repas de la Pâques (Pessa’h) car il n’y a pas de levain dans les matzot.
    Merci Thomas pour cette vidéo, j’en ai appris encore plus sur les pratiques dans l’église catholique.
    Je possède le livre: les deux Babylone d’Alexander Hislop, les éditions Fischbacher, que je conseille de lire, c’est une source énorme de renseignements sur les dieux étrangers.
    Nous ne prenons le repas du Seigneur en mémoire de Lui qu’à Pessa’h.
    Shabbat Shalom à tous

    Réponse

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