La fable du père Noël, à l’origine d’un infanticide spirituel de masse ?
Introduction et rappel historique
Sur un site web consacré à Dieu et au Messie Yéshoua (Jésus), il fallait bien réserver au moins une étude sur ce sujet.
Voici, ci-dessous, la reproduction d’un chapitre entier du ebook « La face cachée de Noël » (pour recevoir le ebook, cliquez ici)
Le titre reflète et résume une choquante réalité que nous allons développer et exposer en raison de sa gravité insoupçonnée: perpétuer et entretenir, en la cautionnant, la fable du père Noël reviendrait à troquer ses enfants et leur monde futur contre la joie éphémère, factice et mensongère de la fête religieuse romaine du 25 décembre.
Car rappelons au lecteur quelques éléments historiques connus (rapportés dans le cursus sur l’Apostasie disséquée): la date du 25 décembre correspondait, dans l’Empire romain, à la célébration du solstice d’hiver (lors des Saturnales) et à la fête du Sol Invictus, expression latine signifiant « Soleil invaincu », une divinité solaire romaine.
En 274 l’empereur Aurélien officialise et place la fête de naissance de la divinité solaire au 25 décembre.
Tout cela va être assimilé par le catholicisme devenu religion de l’Empire au 4e siècle: l’empereur Constantin, devenu “catholique romain”, fera du jour du Soleil le jour du Seigneur (dimanche) et le “jour de la naissance du Soleil” sera rebaptisé « Noël (du latin “natalis”) » en référence à la nativité (naissance de Jésus de Nazareth à Bethléem, en Judée), bien qu’il n’existe aucune preuve ni aucune trace sérieuse historique de la vraie date de naissance du Sauveur.
Ailleurs, on peut par exemple lire ceci :
« Le 25 décembre apparaît alors comme stratégique, car les Romains étaient déjà familiers des fêtes à cette date, dédiée au soleil. Il est en effet plus facile de convertir en ajoutant de nouvelles symboliques à des bases préexistantes. Et depuis, la journée de Noël se célèbre tous les 25 décembre. » (Source : Site Géo https://www.geo.fr/histoire/quelle-est-lorigine-des-fetes-de-noel-212856).
Le pasteur, théologien et historien Alexander Hislop confirme:
« On peut présumer que pour se concilier les païens, et augmenter le nombre de ceux qui adhéraient de nom au christianisme, la même fête fut adoptée par l’Église Romaine qui se contenta de lui donner le nom de Christ. » (“Les deux Babylones”, p. 73).
C’est ce qui s’appelle faire de pures concessions au paganisme…
Rappel de l’importance du conseil divin
Ce vaste univers – mieux réglé que la plus précise des horloges possède bien heureusement un Créateur, un Constructeur. Il se nomme L’Éternel Dieu.
Ses claires recommandations et Ses conseils pour fonctionner/vivre dans le bonheur et accomplir notre vocation, ne sont pas cachés dans un lieu obscur ou « dans un lieu ténébreux de la terre » (selon Ésaïe 45:19), mais sont consignés dans « Le manuel du constructeur » : la Bible.
Certaines pages de ce manuel divin mettent en garde l’homme contre les influences délétères païennes et idolâtres de ce siècle, fussent-elles enrobées du plus beau papier cadeau, du plus beau sapin, des plus belles boules, des plus belles guirlandes, du plus beau sourire et du plus délicieux repas.
Car Le Maître d’œuvre et Créateur du vaste univers, qui est aussi le concepteur de nos âmes, connaît notre fragilité et sait combien les pratiques païennes peuvent influencer l’homme et le mener à son insu, d’une façon ou d’une autre, à des erreurs tragiques, des confusions, des entraves spirituelles qui sont autant de dysfonctionnements que l’on nomme malheurs, souffrances, malédictions, naufrage par rapport à la foi, etc.
Plus encore, et c’est ce que nous allons maintenant approfondir:
Imiter des pratiques païennes liées à des divinités païennes, aussi inoffensives puissent-elles paraître, peut nous mener à sacrifier nos propres enfants sur les autels de ces dieux païens.
Les enfants, cible du mal
Pourquoi les enfants sont-ils une cible de choix pour le Satan ? Tout simplement parce qu’une fois notre jeunesse infectée spirituellement, c’est toute une génération qui, se trouvant loin de Dieu et de Sa protection, sera sous la coupe du malin et c’est à son insu qu’elle travaillera pour le mal en propageant à travers le monde ses idées hérétiques.
Il faut développer ce point et identifier en quoi la tradition de Noël expose premièrement nos enfants, dans la mesure où cette célébration d’un jour originellement lié à une divinité païenne romaine, puis christianisé, a ouvert la porte à une autre dérive: celle du père Noël.
Les enfants, parce que Dieu l’a voulu ainsi, sont prédisposés à croire. C’est aussi pour cela que Le Messie les chérissait particulièrement :
« Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. » (Luc 18:16)
En faisant preuve de complaisance au sujet de la farce de Noël comme si c’était de peu d’importance, nous rejoignons le rang de ceux qui empêchent ces petits d’être amenés au Messie « afin qu’il les touchât ».
Car gardons bien cela en tête : adhérer et participer à la fête de Noël, c’est également prendre le risque d’attirer, tôt ou tard, son personnage phare et mythique à la barbe blanche qui ne se gênera pas de rentrer par effraction dans la maison [symbole du monde intérieur de l’enfant] de ceux qui entretiennent et cautionnent naïvement cette légende.
La fable du père Noël transmise à nos enfants comme vérité « pour les amuser et les faire rêver tant qu’ils sont crédules », entretient dans leur esprit et durant des années un pur mensonge qui dispose le terrain de leur cœur au reniement de Dieu et à une tenace incrédulité, une fois le mensonge découvert.
La plus grande fermeté est de mise, car la menace et le péril qui pèsent sur leur âme sont en vérité très graves et très sérieux.
La vérité, crue, mais libératrice, doit être énoncée clairement, car c’est certainement ici l’aspect le plus sordide et cruel de Noël et de sa vedette en costume rouge: il s’agit de sacrifier la foi de nos enfants sur l’autel de ce jour païen, sous prétexte de passer « un bon moment en famille et avec ses enfants », et comme si cela ne nous suffisait pas, nous embellissons le potentiel sacrifice avec les artifices coutumiers dédiés à ce jour (sapins, boules et guirlandes, etc., dont on connait là encore les origines très païennes et idolâtres).
Car plus tard, lorsqu’ils découvrent le mensonge, à savoir que le père Noël est une pure légende, plusieurs peuvent témoigner de leur déception et expliquent que leur confiance, d’une manière insidieuse, a été sapée à leur insu.
Se sentant trahi, c’est inconsciemment qu’ils se disent intérieurement : « Ok pour cette fois, j’ai été crédule, j’ai cru naïvement. On ne m’y reprendra plus ».
Et plus tard, lorsque la question essentielle de la foi en « Dieu le Père » se pose, il n’est pas rare d’entendre les victimes du légendaire père Noël répondre avec une pointe d’amertume mêlée de sarcasme :
« Tu crois encore au père Noël toi ? (sous entendu : pour ma part, je me suis fait avoir une fois. On ne m’y prendra plus !) ».
L’innocent bambin a mordu à l’hameçon, le piège s’est refermé sur son âme et c’est ainsi que l’accès à la foi véritable dans le Dieu unique, invisible et éternel sera malicieusement barré ; la semence d’incrédulité jetée dans leur cœur durant la tendre enfance a eu le temps de germer et de produire, une fois adulte, le fruit amer bien visible de l’incroyance.
Comprenez bien la sournoiserie du processus : beaucoup, imaginant que l’on pouvait raconter aux enfants de pieux « mensonges blancs » leur ont fait croire qu’il existait un « père » omniscient (le père Noël est censé savoir qui sont les enfants sages et pas sages), omnipotent et omniprésent (capable de distribuer les bénédictions/cadeaux partout à la fois) et que ce « père » les gratifiait avec bonté chaque année par les cadeaux qu’il leur déposait aux pieds du sapin, selon leur conduite, bonne ou mauvaise.
Un témoignage authentique
Nous avons reçu un témoignage direct d’une personne dont la souffrance fut réelle, et le bouleversement terrible et durable, lorsque jeune, elle apprit, du haut de son innocence, le mensonge au sujet du père Noël auquel elle croyait de tout son cœur, avec amour et dévotion, mue par cette foi belle et simple que Dieu a implantée dans le cœur de chaque enfant, le prédisposant naturellement à croire en Dieu, dès lors qu’on lui enseignerait la vérité dès son jeune âge.
Malheureusement, sa foi fut mise au mauvais endroit : la découverte du “pieux mensonge” a profondément impacté l’être tout entier de cette personne et a suscité durablement, toutes sortes de révoltes et de colères, contre Dieu et contre les hommes, a-t-elle témoigné: c’est typiquement ici un fruit de l’esprit de Nimrod et l’effet recherché par les fils de Bélial.
Gravons cette réalité dans notre cœur : les mensonges soi-disant « innocents » sur le « père Noël » ont sérieusement détérioré et parfois définitivement détruit la foi pure et innocente de plus d’un enfant.
Voilà donc, chers lecteurs, quelques-uns des douloureux impacts spirituels invisibles, mais bien réels, qui frappent les cœurs d’une multitude de ceux qui ont été bercé dans le très séduisant mensonge de Noël et de ses inséparables artifices : le sapin, les cadeaux et le père Noël.
Mais ce n’est pas tout.
Un mal tapi dans le subconscient
Car le plus insidieux dans cette affaire est que plusieurs de ceux qui sont incapables de croire en Dieu ne sont même pas conscients qu’une des origine de leurs problèmes est liée à Noël ; ils ignorent tout des origines de ce dysfonctionnement spirituel qu’est l’incrédulité puisqu’ils ignorent que cette impossibilité de croire en Dieu est parfois à chercher du côté de cette fête mensongère et de la fable du père Noël à laquelle, durant un temps, ils ont cru et qui a finalement ruiné leur foi naissante.
Car une fois la vérité révélée à l’enfant au sujet de l’invention du père Noël, la plupart ont ensuite refoulé, dans leur subconscient, ce trauma lié à une foi déçue, une confiance trahie.
C’est un mécanisme connu des psychologues de l’âme: le refoulement déclenché inconsciemment dans le jeune âge suite à un choc émotif tel que celui engendré par le mensonge du père Noël peut prédisposer l’âme au rejet presque incontrôlé de toute forme de croyance qui lui sera ultérieurement proposé.
La conséquence tragique est la suivante: tandis qu’il est naturel pour un enfant de croire, l’adulte ayant été trompé dans son enfance sur une question intimement liée à la foi, se montrera anormalement incrédule et réfractaire à toute idée de confiance en Dieu.
Par ce piège ingénieux et diabolique, l’âme ainsi piégée aura plus tard le plus grand mal à croire au monde invisible, à la réalité du monde angélique et surtout : au Créateur et Dieu de toute chair : l’Éternel.
Peut-on s’étonner alors que bon nombre d’enfants, lorsqu’ils grandissent et apprennent qu’ils ont été ainsi trompés, non seulement perdent confiance en leurs aînés, mais, chose encore plus grave, en viennent à croire que Dieu aussi n’est qu’un mythe ?
Viser et ébranler la foi pure des enfants est une des plus cruelles et insidieuses attaques du Satan.
Noël est une fête qui entretient et entend maintenir une des plus tragiques attaques du serpent ancien : dévorer le cœur et l’âme de nos enfants.
La Bible appelle cela sacrifier à Molok.
Pour l’amour de nos enfants qui ne demandent qu’à croire dans le vrai Dieu, nous devrions mettre un terme à ce mensonge et exposer ses méfaits bien réels: l’apparente jouissance d’un moment éphémère et joyeux est en mesure de détruire directement et subtilement, car de manière souvent imperceptible, la confiance et la foi d’une multitude.
Nous sommes face à une œuvre redoutablement perfide et destructrice en ce qui concerne la foi, programmée pour assassiner potentiellement et en toute discrétion, et parfois même avec notre complicité, la spiritualité de millions d’enfants innocents, et le tout, avec le sourire, les guirlandes et les cadeaux.
C’est le fusil à pompe du tueur d’enfants en série dissimulé dans le bouquet de roses.
On se rappelle de ce passage qui rapporte la condamnation d’Israël par Dieu pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de Tophet (Jérémie 7 : 31).
Huit versets plus tôt, Dieu avait clairement dit ce qu’Il exigeait :
« Mais voici l’ordre que Je leur ai donné :
Écoutez Ma voix, et Je serai votre Dieu, et vous serez Mon peuple ; marchez dans toutes les voies que Je vous prescris, afin que vous soyez heureux.
Et ils n’ont point écouté… Ils ont suivi… les penchants de leur mauvais cœur. »
Oui, les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants en les faisant passer par le feu du mensonge et de l’idolâtrie de Noël, capables d’infliger une profonde cicatrice dans l’âme de leur progéniture.
En ce sens, le titre choquant de l’étude trouve sa justification: le maintien de cette légende du père Noël s’apparente, après analyse, à un potentiel infanticide spirituel de masse.
Que faire une fois que le mal est fait ?
Ceux qui agissent volontairement, bien conscients des causes et des conséquences, sont heureusement très rares.
Mais qu’en est-il de ceux qui agissent par ignorance (la plupart) ?
Voici, à ce sujet, un commentaire des Sages d’Israël relatif à la loi divine interdisant de profaner le nom de Dieu :
Le Sifra explique, à propos de celui qui a livré son enfant au culte du Molok, ce que dit le texte en Lévitique 20:5 : « ce sera Moi [D.ieu] qui appliquerai mon regard sur cet homme » : celui-ci et non celui qui agit sous la menace, ou par ignorance, ou parce qu’il avait été induit en erreur.
Ce qui montre que celui qui commet un acte d’idolâtrie sous la menace n’est pas passible de bastonnade et encore moins condamnable à mort.
Cependant il a profané le nom de l’Éternel. (Le ‘Hinoukh, sur Lévitique 22:32 : « Vous ne profanerez point mon saint nom »)
Or, Dieu ordonne à Ses fidèles ministres et serviteurs qui voient leur prochain « profaner le nom de Dieu », même s’ils le font par ignorance et inconscience :
« CRIE À PLEIN GOSIER, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et ANNONCE À MON PEUPLE SES INIQUITÉS ! » (Ésaïe 58 : 1)
Ces cris peuvent revêtir divers habits. Cette étude est l’un de ces vêtements et le partage de ce document à son prochain, en est un autre.
Et pour ceux qui découvrent sur le tard ces choses, le meilleur moyen pour endiguer le mal et contribuer à réparer ce qui a été abîmé est encore de partager les informations de cette étude dans l’optique de cet enseignement du Messie : « La vérité libère ».
Car il est connu que celui qui découvre la racine spirituelle potentielle de ses problèmes guérira beaucoup plus facilement.
Lorsque l’homme prend conscience qu’une origine potentielle de son mal et de son incrédulité proviendrait de ce « travail de sape de la foi » effectué à son insu durant sa jeunesse par le Satan lui-même, le désir d’une saine revanche pourrait naître en son cœur ; il est probable qu’il prendra alors les mesures nécessaires, s’armera de zèle, de courage et de vigueur pour faire échouer le projet de l’adversaire de son âme, et s’efforcera de croire de nouveau, priera l’Éternel pour qu’Il se manifeste à lui, il recevra des réponses de Sa part, se renforcera ensuite dans cette foi naissante à salut, et rendra ainsi au Satan – et de la plus belle façon – la monnaie de sa pièce maudite.
Qu’il en soit ainsi pour le plus grand nombre de ceux qui sont concernés par ce problème.
Que la pleine révélation de la connaissance du Messie d’Israël Yéshoua (Jésus) et de son Évangile soit accordée à tous ceux qui cherchent Dieu d’un cœur sincère.
Car contrairement aux “contes profanes et absurdes” qu’il nous faut repousser vigoureusement pour leur préférer “les paroles de la foi et de la bonne doctrine” (1 Timothée 4:6-9), il existe “une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, à savoir : Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs” (1 Timothée 1:15).
D’innombrables preuves l’attestent. Ce site a pour vocation de s’en faire l’écho.
Que La paix et la grâce du Messie soient avec ceux qui l’aiment !
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Bonjour, suite à cette lecture je reçois la confirmation depuis mon enfance que notre seigneur est le seul vrai Dieu.
Encore jadis, j’expliquais à des jeunes adolescents (placés En foyer MECS), la raison pour laquelle ma famille ne fête pas Noël et ne parle pas du père Noël. Ils me demandent pourquoi, J’évoque aux jeunes ma réflexion et explique que tout démarre sur un mensonge, (le père noël) n’est-il pas une fabrication de l’homme et un beau mensonge enveloppé d’un papier cadeau qui malheureusement est souvent doré. Toutefois, lors de cet échange, j’explique à ces adolescents que si un père en fin d’année est assujettis à payer une forte créance et qu’il n’a pas la possibilité d’honorer les cadeaux demandés (au sois disant père Noël), il rencontrera deux options. Il devra soit offrir les cadeaux avec un crédit revolving ou (Revolver) pour honorer son premier mensonge, mais notamment, aggravé ladite situation financière de la famille et le plus grave, engendrer un mensonge sur le mensonge mais qui demeure stérile.
Cependant, il est toujours plus libérateur de dire la vérité à ce sujet si vous en avez le courage. En conclusion, l’enfant, votre enfant risque par votre inconscience de souffrir inutilement.
Néanmoins je souhaite préciser ceci, lorsque j’étais enfant nous ne fêtions pas cette fête. C’est à mes 13 ans que j’ai un soir vécu une incompréhension au point d’être très triste et ce, du fait que je ne savais pas quoi dire à mes camarades lorsque je reprendrais l’école en janvier mise à part mentir du fait des moqueries que peuvent faire vivre les camarades de classes. Et oui, pas facile à un enfant d’expliquer a 90% des autres jeunes que vous ne fêter pas Noël et ne recevez aucun cadeau. En tout cas j’ai menti chaque année jusqu’a mes 13 ans.
Évoquant des cadeaux et des repas Imaginaires. Ma mère, ayant vu ma tristesse et entendu mes mensonges passés, est venu dans ma chambre ce soir la, elle m’a regarder et ma juste te dit ceci. Je veux que tu saches que nous n’avons pas les moyens de faire un cadeau et un cadeau s’offre avec le coeur au moment où je le choisi et non mise en place par obligation. Aimerait tu te sentir obligé de faire un achat pour satisfaire les yeux bien plus que le ventre. De même, elle continuera à affirmer qu’il n’existe pas de père noël et qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Puis une larme coulait sur son visage lorsqu’elle me dit, je n’ai rien à t’offrir mais a part ceci: Ce qui est sûr mon fils, c’est que je t’aime d’un amour véritable et mon amour pour toi ne s’épuise jamais combien même tu me rejeterai. Sa main porta une caresse sur mon visage, une larme coulait du visage de ma mère. Ce fût pour moi le plus parfait des cadeaux, Je l’ai pris dans les bras en sanglot et j’ai juste dit, qu’il n’y a dans tes yeux pas de plus beau cadeau que ton amour. Perceptible. Je t’aime ai-je répondu et lorsque mes camarades me demanderont si j’ai fait Noël et quel cadeau j’ai reçu je leurs répondrai simplement la vérité ( qui rend libre les hommes) que j’ai obtenu. Soit l’amour de ma famille et ma relation avec mon seigneur, adonaï et notamment yesouha et ce, malgré mes innombrables fautes.
Aujourd’hui, quel cadeau aurai-je besoin mise à part d’obtenir le pardon de l’Éternel pour mes péchés et de marcher dans ses voies. Je n’ai besoin de rien de matériel ni de richesse ni de gloire ni même vouloir une seule éloge du fait de voir mon reflet criblés de tâches. Noël et toutes vos fêtes me rappelle une seule chose aujourd’hui et qui fait intégralement partie de la parole de Dieu. En vérité dit l’Éternel, si tu ne possède pas l’amour alors du ne possède rien. Voilà donc une parole 100 % vrai. Effectivement, si tu n’a pas d’amour est-il possible que ta voiture de sport ou tes biens puisses dire un soir de solitude (je t’aime)… Amen.
Amen amen amen, oui Père à Toi toute la gloire.
Tout simplement, merci, merci.
Merci pour cet article qui m’a éclairé.
Cette étude m’a rappelée un lointain souvenir, nous venions d’aménager dans un petit village, mes enfants étaient tout jeunes , en fin d’après midi à “st Nicolas” en lorraine , c’est l’équivalent du père noël ,on sonne à la porte, et un st Nicolas se présente et veut offrir des cadeaux à mes enfants, étant convertie au D.ieu d’Israël depuis plusieurs années , j’ai bloqué la porte en lui disant qu’il s’était trompé de porte et lui ai dit au revoir aimablement , et ai refermé la porte .
Puis j’ai appris d’une voisine qu’il s’agissait du maire du village, qui n’avait jamais connu ce genre de refus dans ces tournées de “bienfaisance”. Cela ne m’a pas amené de bons contacts !!!!bref mon meilleur contact fut l’Eternel qui m’a toujours protégée depuis mon baptême 🙂
Dieu se fait vérité pour celui qui crois en Son Nom, car il y a beaucoup de mensonges autour de nous. Faisons attention car Satan veut détruire celui qui est proche de Dieu au nom de Jésus. Mais l’Esprit divin nous protège, car le Dieu Créateur aime tous ses enfants. La foi est un don gratuit pour celui qui croit en Dieu. Merci pour la vérité que notre Père nous révèle.
Roger.
Trompé dans ma petite enfance par le papa noël et voyant que mes parents frères et sœurs s’étaient unis pour me faire cette farce, je me suis détourné de la religion dès ma petite enfance et plus tard, espérant à une autre dimension de la vie, je me suis tourné vers la parapsychologie, l’ésotérisme et les pratiques interdites par Dieu.
Finalement en état de suicide et de mort imminente, découvrant ma vie perdue et l’abîme de perdition j’ai fait appel à Dieu, et j’ai alors reconnu et reçu mon Sauveur, mort et ressuscité pour moi
Shalom !
D’accord pour la fable du papa noël
mais pour ce qui est du choix d’une date en rapport avec la lumière pour en détourner le peuple de l’idolâtrie pour la tourner vers le vrai Sauveur, la vraie lumière, je trouve que c’est plutôt bien.
Personnellement, je pense que c’est la création qui nous enseigne le mieux: les agneaux naissent au printemps, ce serait donc le moment le plus propice pour fêter la naissance de Jésus (YESHUA). Je trouve que les enfants méritent la vérité et, bien qu’ayant vécu dans un environnement où j’ai été moi aussi bluffée par les mensonges des adultes, je crois que la grâce de Dieu me permet de recevoir aujourd’hui cette vérité comme une évidence. N’oublions pas d’où nous sommes venus…
Jésus a été conçu à Hanoukka ( début decembre) et est probablement né à la fête des trompettes septembre-octobre 9 mois plus tard.
Qu’importe la date, c’est le message qui compte.
On commémore sa venue à Noël. C’est une bonne occasion de parler du salut en Yeshua à ceux qui ne le connaissent pas