L’esclavagisme moderne et la date du début de la délivrance finale prophétisés dans la Torah ? – Paracha Bechalah

Exode 13.17 à 17 Fin – « Bechalah » signifie « Il renvoya-laissa aller »

Mise à jour effectuée le 14 janvier 2022

Dégustons ensemble une nouvelle perle prophétique discrètement et précieusement déposée dans le grand coffre au trésor de la Torah d’Israël, à l’ombre de deux simples versets du chapitre 14 du livre d’Exode…

Résumé de la Paracha

Peu après avoir laissé les enfants d’Israël quitter l’Égypte, Pharaon les pourchasse pour les forcer à revenir et les israélites se retrouvent pris au piège entre les armées égyptiennes et la mer des joncs.

La mer s’ouvre pour laisser passer les israélites et se referme sur les poursuivants égyptiens.

Moshé (Moïse), puis Myriam (Marie) sa soeur, entonnent un cantique de louanges et de reconnaissance à L’Éternel. Dans le désert, le peuple souffre de soif et de faim et se plaint à plusieurs reprises auprès de Moshé et d’Aaron.

HaShem (Dieu) adoucit miraculeusement les eaux amères de Marah, puis fait couler de l’eau d’un rocher. Il fait également tomber de la manne chaque matin avant l’aube et des cailles apparaissent dans le camp hébreu au soir.

Il est commandé aux israélites de récolter une double portion de manne chaque 6e jour (vendredi), car celle-ci ne tombera pas le Shabbat, le jour de repos décrété par Dieu.

À Réfidim, les bné Israël (enfants d’Israël) sont attaqués par les Amalécites, qui sont vaincus par les prières de Moshé et une armée levée par Yéhoshoua/Josué.

Rappel

Dans la Paracha Shemot, nous avons découvert que le nom « Egypte », en hébreu, se dit « Mitsraïm ».

Il est connu que le mot « Mitsraïm » fait référence à 2 autres mots hébreux signifiant « étroitesse » (Metsarim) et « frontière » (Metser).

De là, nous comprenons que celui qui se trouve en Égypte est comme emprisonné, limité dans des frontières, victime de l’étroitesse physique, morale et spirituelle, à l’image de cet esclavagisme physique, moral et spirituel dont les enfants d’Israël furent victimes durant leur séjour en Égypte.

Plus encore : tout comme les « noms » des enfants d’Israël descendirent en Égypte et furent en exil loin de leur terre, de même, les noms et les mots sont en exil, loin de leur signification véritable, comme le verset le dit : « Voici les noms des fils d’Israël qui descendirent en Égypte » (Exode 1.1).

Dit autrement : La Torah, dans son sens allusif, nous enseigne que l’influence de l’Égypte pervertit et déforme les noms et leurs significations. Le sens des noms et des mots sont comme « déplacés » de leur signification véritable et originelle.

L’Égypte est véritablement le symbole de la perversion de l’identité des mots et des noms.

Ces quelques explications nous permettent d’apprécier l’ampleur de la délivrance que Dieu opère en Égypte, une libération qui va bien au-delà d’un simple déplacement physique et géographique.

C’est une véritable libération ontologique : Dieu délivre son peuple de l’étroitesse de l’esclavage physique, moral et spirituel de l’Égypte où règne la perversion des noms et des valeurs, en vue de l’introduire dans le royaume de Dieu, pays où coulent le lait et le bon miel de la vérité et où règnent, dans toute leur splendeur et leur authenticité, la vraie liberté, l’authentique justice, l’amour, la largesse, l’abondance et où le véritable sens des noms et des mots se voit rétabli.

Pour hériter de telles promesses, l’homme doit croire et suivre Dieu avec foi lorsqu’Il nous demande de sortir de notre Égypte personnelle, qu’elle soit physique, morale ou spirituelle, afin d’aller au-delà de nos frontières en direction du pays promis comme il est dit quelque part :

« Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. » (2 Corinthiens 6.2) et aussi : « Hier est passé, demain ne nous appartient pas, aujourd’hui est le jour du salut »

Certes, nous aurons à traverser nos propres mers rouges, et l’épreuve du désert de la vie viendra, mais si nous nous attachons aux conseils de la Torah avec foi, les mers se fendront devant nous et le désert fleurira.

Une prophétie cachée sur les derniers temps

Selon les sages d’Israël, toute chose écrite dans la Torah possède une portée prophétique qui traverse l’histoire et concerne chaque génération ainsi que le sage Shlomo (Salomon) l’enseigne :

« Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé. » (Ecc 3.15). C’est aussi pour cela que la Torah est justement appelée « la Saine Doctrine » ou encore « les Saintes Écritures », et qu’elle était un objet de délice et de continuelle méditation pour le roi David (voir le psaume 119).

La Sainteté de Ses écrits fait de La Torah un livre totalement à part en raison de la portée éternelle et continuelle de ses messages qui transcendent l’espace et le temps, et répondent à tous les problèmes individuels et collectifs du genre humain.

Ainsi, dans la Torah, l’Égypte représente également le monde et l’idéologie du monde païen.

Les sages d’Israël affirment que la première délivrance (la sortie d’Égypte) est le modèle de toutes les délivrances qui suivront, y compris la délivrance finale, période dans laquelle nous sommes comme cette étude le démontrera.

Durant le processus de la délivrance finale qui se fait étape par étape selon les sages, nous allons retrouver d’une manière tout à fait exceptionnelle plusieurs des événements clés qui apparaissent dans notre Paracha, notamment la fin d’exil du peuple juif et son retour en terre sainte (Israël).

C’est effectivement ce que nous constatons depuis des décennies : naissance officielle de la nation d’Israël en 1948 et retour du peuple juif dispersé dans le monde (Égypte moderne), vers la terre d’Israël.

La Torah décrit le processus de la délivrance finale de la fin des temps de manière détaillée et ici dans cette étude, gardons bien en tête que nous ne verrons que quelques éléments parmi tant d’autres.

« La loi de l’Éternel (Torah) rend sage l’ignorant » (Psaumes 19.8) et  « Le coeur du sage connaît le temps et le jugement. » (Ecc 8.5)

Examinons un élément subtil souvent passé sous silence, et qui, comme tout ce qui est profond, discret et humble, ne frappe pas les regards, mais qui après avoir été dévoilé, brille de pleins feux dans le coeur de tous ceux qui aiment la vérité.

Au début de la sortie d’Égypte, en Exode 14.1-2, la Torah et les commentaires des sages d’Israël nous révèlent une chose extraordinairement étonnante et prophétique : le symbole de la perversion égyptienne :

« L’Éternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël; qu’ils se détournent, et qu’ils campent devant Pi-Ha’hiroth (littéralement : Bouche de la liberté), entre Migdol (tour) et la mer, devant Baal-Tsephon » (Statue de la Divinité Egyptienne).

En hébreu, « Pi-Ha’hiroth » vient de deux mots : le mot « Peh » qui signifie « bouche », et le mot « ‘Hiroth » qui fait référence au mot « liberté ».

Le mot « Migdol » signifie « tours » et « Baal-Tsephon » était une statue représentant une divinité égyptienne. 

Le Rav Dynovisz développe et explique un sens profond de ces versets :

« Dès la sortie d’Égypte : La Torah nous dit que lorsque le peuple est sorti, il a campé au pied d’une grande statue qui, comme le laisse entendre notre texte, s’appelait « La bouche de la liberté » :

Une statue qui incarnait la liberté. Où se trouvait cette statue disent nos maîtres ? Elle se trouvait sur l’eau. Elle était en face de grandes tours.

Nos pères sont sortis d’Égypte, ils ont campé devant une immense statue qui est quelque part sur l’eau : elle était entre les eaux et face aux tours.

Les maîtres posent la question : mais qu’est-ce que cette statue fait là ? C’est la seule qui n’avait pas encore été détruite.

Elle incarnait le symbole de l’idéologie égyptienne : « Pi-Ha’hiroth » donne en français « bouche de la liberté » ou encore « Liberté d’expression ».

paracha bechallah statue liberté egypte torah israelToute ressemblance avec une quelconque « statue de la liberté » représentant une divinité païenne située sur les eaux et en face de grandes tours est évidemment fortuite !

Car oui, la statue de la Liberté est la statue d’une divinité païenne romaine nommée « libertas », comme nous le verrons plus bas.

Comme le souligne le Rav : comment une civilisation qui fait de l’esclavage et du musellement des bouches peut-elle avoir l’audace de prendre comme symbole la statue de la Liberté ?…

Qui donc crié au scandale en voyant la civilisation de l’esclavagisme brandir le symbole la liberté !?

Mais finalement, n’en est-il pas de même aujourd’hui…? N’est-ce pas exactement ce qui se passe dans notre monde moderne ? N’est-ce pas régulièrement que l’on entend l’expression « esclavagisme moderne » de la part de quelques personnes plus ou moins éveillées qui crient au scandale face au terrible paradoxe d’une société brandissant le symbole de la liberté tout en pratiquant la censure, la désinformation et le musellement des pensées et des bouches !?

Comme expliqué plus haut, le message de la Torah concerne chaque génération. Nous avons donc ici une claire indication de ce que peut être la perversion de la civilisation égyptienne de la fin des temps.

En des termes plus modernes, la Torah nous dévoile ici, dans ces versets, une marque distinctive de l’empire mondial de la fin des temps qui, cela est connu, est personnalisé par la civilisation occidentale dont le capitalisme prédateur et la philosophie humaniste séductrice anti-Torah ont largement conquis et influencé les pays du monde entier :

La perversion des mots associée à une perversion de la notion sacrée de liberté caractérise la civilisation de la fin des temps.

Et lorsqu’une personne voit la Loi de Dieu comme une contrainte diminuant sa propre liberté, c’est la meilleure preuve qu’un tel individu est encore pétri de cette influence égyptienne appelant mal ce qui est bien, et bien ce qui est mal.

En vérité, il est très intéressant de savoir qu’en Égypte, on éduquait les hommes et les esclaves depuis leur plus jeune âge à croire qu’ils vivaient dans le système le plus libres qui puisse exister.

Pour reprendre les propos de Michel Attali, nous pouvons dire que Pharaon et l’Égypte sont l’archétype d’un Pouvoir totalitaire qui aliène l’homme et délocalise l’humain hors de son lieu ontologique pour le dépouiller de son nom, de son identité, de sa liberté et le placer dans un système totalitaire pharaonique.

Ce dépouillement et l’influence égyptienne perverse et séductrice étaient si puissants que selon les sages, 4/5 des enfants d’Israël avaient préféré rester en Égypte et ont péri dans leur aliénation durant la plaie de l’obscurité.

La pensée de plusieurs était si conditionnée par l’idéologie et l’influence de cette Égypte occulte antique, que plusieurs se croyaient libres tandis qu’ils étaient en réalité solidement enchaînés dans les fers de la prison égyptienne à un point tel que 4/5e n’ont pas voulu quitter leur geôlier.

À ce sujet, le midrash raconte :

« Les réchaïm (les impies attachés à l’Égypte) que comptait le peuple juif moururent durant les trois premiers jours de la neuvième plaie des ténèbres.

Il s’agissait de ceux qui ne croyaient pas en la rédemption, de ceux qui avaient des richesses ou occupaient des positions élevées en Égypte et qui ne voulaient pas partir. »

Mais également, peu après être sortie d’Égypte, le conditionnement était si fort que même après la délivrance, plusieurs étaient prêts à retourner en Égypte au moindre petit problème ainsi qu’il est dit : « Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier. » (2 Pierre 2:22) !

C’est aussi pour cette raison qu’il y eut autant de murmures et de plaintes dans le désert malgré cette formidable libération du joug égyptien que Dieu avait opéré en leur faveur au milieu d’un spectacle providentiel de signes et de prodiges redoutables.

Pour ces personnes qui grâce à Dieu avaient réussi à s’extirper du système totalitaire égyptien, la délivrance n’était encore qu’au stade physique uniquement. Leur esprit était encore lié à celui de l’Égypte.

Le parallèle est frappant : L’ensemble des sociétés occidentales proclament la liberté alors qu’en vérité, chacun a été éduqué en tant qu’esclave d’un système pharaonique qui lie etdessin-chaines-tele-tnt-telespectateur-enchaine emprisonne les gens dans une idéologie uniformisée et imposée dès le plus jeune âge par le biais de systèmes éducatifs mûrement réfléchis pour conditionner le peuple dans un système de pensée présentant une belle façade, mais qui est en vérité destructrice, consumériste et esclavagiste.

Le fameux trio « Métros-Boulot-Dodo » est connu de tous : esclave des transports qui polluent la vie de millions de personnes, esclave d’un travail alimentaire mal aimé, dans des conditions déplaisantes pour la majorité, esclave d’une pensée pervertie véhiculée au travers de médias papiers et télévisés massivement injectés dans les consciences. Cet asservissement idéologique et culturel est soigneusement étudié pour distiller subtilement les pensées et les moeurs destructrices des valeurs fondamentales véhiculées par l’Éternel dans sa Torah parfaite.

C’est pourquoi le chef de cette idéologie, se proclamant lui-même dieu, dira : « Qui est l’Éternel, pour que j’obéisse à sa voix, en laissant aller Israël ? Je ne connais point l’Éternel, et je ne laisserai point aller Israël … Que l’on charge de travail ces gens, qu’ils s’en occupent » (Exode 5:2,9)

La société occidentale prône la liberté, tandis que jamais elle n’aura autant aliéné l’homme, bafoué la vérité et piétiné puis étouffé la véritable liberté.

Les témoignages sont innombrables et les algorithmes de cette Égypte cybernétique mondiale les accréditent : dès qu’un discours quelconque sort des clous de la pensée égyptienne, qu’il soit politique, économique, scientifique ou religieux, une poignée de pharaons modernes charge leurs exécutants de museler, étouffer, censurer, condamner, éliminer, accuser ou railler et tourner en dérision les quelques rares hommes décider à faire entendre quelques paroles de vérité porteuses de la morale divine.

Et le même refrain infernal revient perpétuellement :  « Qui est l’Éternel, pour que j’obéisse à sa voix ? »

Essayez donc de sortir du système sans l’aide de Dieu et vous constaterez rapidement dans quelles difficultés ce chemin vous conduira…

Qui serait capable de vivre du jour au lendemain sans internet, TV, CB, téléphone et compte bancaires ? Voici quelques mots qui décrivent bien ces nouvelles menottes modernes mises sur les poignées de nos vies.

Évidemment, ces choses ne sont pas intrinsèquement mauvaises, mais elles le sont devenues par la mauvaise utilisation qui en est faite et la dépendance malsaine qui s’est installée.

Et combien de personnes seraient réellement capables de choisir leur travail, leurs conditions de travail, leurs horaires ?

Et les rares personnes qui pensent avoir acquis la liberté verront bien vite leur monde s’écrouler et leur liberté factice se révéler toujours être un esclavage égyptien :

Le moindre crache financier et le masque de cette fausse liberté tombe pour laisser apparaître l’hideux visage de l’esclavage et de la soumission au dieu de l’argent et des passions charnelles :

Supermarché vide, pillage, meurtre, famine, dépression, panique, crainte et c’est la bête humaine, plus terrible que jamais, qui refait surface lorsque son idole tombe à la renverse…

L’esclavagisme moderne est une réalité et cette parole de l’Écriture est sur le point de s’accomplir : « personne ne put acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse 13:17)

Il nous faut Moïse à nos côtés, le Messie pour être plus précis. Sans le libérateur, l’échec est inéluctable.

Dans notre texte, la statue de la divinité était sur les eaux, en face des tours. Ces détails sont très intéressants, car les tours symbolisent aussi l’uniformité ainsi que l’eau : « ontelephone portable chaine esclave menotte se ressemble comme deux gouttes d’eau » dit le proverbe populaire.

Jetez un coup d’oeil dans les métros parisiens et voyez combien cette uniformité est flagrante : tous marchant au même pas, dans la même direction, au même rythme et aux mêmes horaires pour maintenir un système établi par une poignée de puissants pharaons qui imposent et enchaînent subtilement nos vies à un idéal opposé à celui de Dieu.

Toutes sortes de stratagèmes sont mis en place pour empêcher la masse de se rebeller.

La stratégie du pain et des jeux est un classique que Pharaon utilise profusément sachant bien que l’homme animal sera incapable de s’en défaire et sera prêt à courber l’échine plutôt que d’être privé de ces quelques médiocres jouissances temporaires : l’injection massive de plaisirs éphémères tels que les séries TV, Jeux vidéos, nouvelles technologies, drogues, excès du manger et du boire, etc., constituent des armes aliénantes  de choix et de poids pour Pharaon.

La majorité est devenue esclave des mêmes produits, des mêmes pubs, des mêmes magazines distribués gratuitement le matin dans les transports, tous sont affairés à lire le même quotidien puis, téléphone portable enchaîné au poignet, tous sont ensuite rivés sur leur petit écran, pris dans la spirale infernale d’un consumérisme fou. Ligotés au rythme infernal du métro-boulot-dodo, ce sont de lourdes chaînes qui sont jetées sur les pensées et les coeurs des peuples.

« Nul n’est plus désespérément esclave que celui qui est faussement convaincu d’être libre »

L’Égypte moderne est bien là, sous nos yeux. C’est pourquoi les enfants d’Israël, dans le désert, après avoir eu la grâce de sortir d’Égypte, oublièrent bien vite les prodiges de Dieu et murmurèrent contre l’Éternel, regrettant déjà Pharaon et les liens de leur ancienne Égypte :

« Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Égypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx. Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. »

Et aussi : « quand nous étions assis près des pots de viande, quand nous mangions du pain à satiété ».

Aujourd’hui encore, combien d’enfants de Dieu n’ont-ils pas cette réaction après que Dieu leur ait ouvert les yeux en leur accordant de sortir de leur Égypte spirituelle :

« Nous nous souvenons des plaisirs que nous jouissions en Égypte, et qui ne nous coûtaient rien, les bonnes séries TV, les Jeux, les fêtes et les sorties à tout va, les relations faciles, la débauche et des drogues plus ou moins douces, etc. Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. »

La fausse « liberté » véhiculée par l’Égypte ancienne et notre monde moderne divinise cette idéologie corrompue d’une liberté factice et inversée.

La Statue de la Liberté, symbole perverti de la puissance mondiale de cette Égypte des temps « modernes », n’est que le reflet prophétisé 3000 ans plus tôt dans la Torah de cette falsification de la liberté fomentée par l’Égypte ancienne.

Lorsque les enfants d’Israël sont sortis d’Égypte et ont vu cette même statue d’une divinité païenne, au milieu des eaux, en face des tours, publiant la liberté comme étant le symbole même d’une société en réalité esclavagiste, ils ne faisaient que vivre ce que le monde vivrait encore 3000 ans plus tard lors de la délivrance finale.

« Plus c’est gros mieux ça passe » disait un homme politique accoutumé au système pharaonique moderne.

Que cela soit dans notre verset de la Torah ou aujourd’hui, cette statue plantée sur les eaux en face des tours, est bel et bien celle d’une divinité païenne brandissant à la face d’un monde sans connaissance, un formidable écran de fumé nommé « liberté » pour mieux voiler la réalité d’une situation nommée « esclavage spirituel, moral et matériel ».

N’est-il pas dit : « Mon peuple est détruit, faute de connaissance (…) puisque tu as oublié la Torah de ton Dieu, moi aussi j’oublierai tes enfants. » (Osée 4.6).

Nous l’avons dit, le mot « liberté » en français fait référence à une déesse païenne dont le nom a été repris et francisé pour nous parler de liberté.

Et effectivement, si nous regardons dans la langue anglaise, il est frappant de constater que le mot liberté est traduit par « freedom », qui est le vrai mot anglais pour parler de liberté, mais lorsqu’il est question de la statue de la Liberté, voici que l’anglais utilise bien le nom de cette déesse païenne « statue of liberty » !

Effectivement, le Tome 26 de L’encyclopédie des connaissances humaines déclare :

« Liberté, déesse des Grecs et des Romains. Les Romains, qui l’appelèrent « Libertas », eurent cette divinité en singulière vénération, lui érigèrent quantité de statues ».

Note : comme nous l’enseignent les sages d’Israël, au travers d’un tel symbole d’une divinité païenne et romaine, nous voyons ici encore, à quel point le monde occidental (Europe + USA) possède les traits de l’Empire romain païen et idolâtre et donc, d’Edom/Essav, quelques autres appellations codées qui nous parlent de l’Égypte spirituelle (Voir cette étude détaillée : L’origine et Les vrais responsables des attentats de Paris dévoilés dans la Torah d’Israël – Paracha Toldot)

moshé moise mer jonc rouge traversee torah dieu hashemAinsi, la symbolique de la délivrance opérée par Dieu en faveur de ces 1/5 des enfants d’Israël ayant eu le courage de sortir d’Égypte, culmine à son paroxysme lors de la traversée de la mer rouge :

l’eau, que l’on peut voir comme symbole de l’uniformité de la pensée égyptienne, se voit déchirée en deux pour laisser librement le peuple de Dieu se frayer un chemin sans être mouillé par les eaux de cette pensée unique païenne et impie.

Passant comme au travers d’un mikvé (bassin d’eau utilisé pour l’immersion dans le judaïsme) géant, se dirigeant tout droit vers la lumière de Dieu, incarnée en bout de course par la précieuse Torah qui sera reçue sur le mont Sinaï, cette séparation des eaux est un beau symbole de la puissance divine se manifestant et déchirant les eaux de l’uniformité égyptienne.

Dans la justice de Dieu, c’est bien cette eau de la pensée unique, qui engloutira finalement les armées de pharaons comme le dit un dicton talmudique :

« Le chemin par lequel le méchant se hisse est le même que celui par lequel il chute. »

Les enfants d’Israël, enfin sortis des filets de l’Égypte, recevront peu de temps après, cette Torah magnifique que nous étudions ici encore au 21e siècle, en divers endroits du globe !

Oui, plus de 3000 ans plus tard, nous sommes encore là à nous rassasier de la Torah de Dieu qui fut donnée jadis par la bouche même du Maître de l’univers, après avoir écrasé le pouvoir totalitaire pharaonique et s’être dévoilé avec puissance et force à toute l’assemblée d’Israël :

« Tout le peuple entendait les tonnerres et le son de la trompette; il voyait les flammes de la montagne fumante. À ce spectacle, le peuple tremblait, et se tenait dans l’éloignement. » (Exode 20.18)

Tout ceci est assez extraordinaire, vous en conviendrez. Mais ce n’est pas tout ! Avant de conclure, constatons ensemble une incroyable synchronicité au niveau des dates :

Dans la Paracha, au début du retour du peuple juif, nous voyons donc les enfants d’Israël camper devant cette « statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours ».

Maintenant, prenons la date de la première vague de retour des juifs en Israël, et comparons-la avec la date de l’inauguration de « la statue de la Liberté au milieu des eaux, en face des tours » :

Peu avant la création de l’État d’Israël, la date d’une des premières alyiot majeure (début du retour en terre sainte du peuple juif comme annoncé par les prophètes) se déroule de 1881 à 1890 environ. Nous sommes ici au début du retour des enfants d’Israël en terre sainte (cela correspond donc au début de la sortie d’Égypte).

Au même moment, en 1886, la statue de la Liberté plantée au milieu des eaux en face des tours est officiellement découverte au grand jour ! Formidable de précision !

La correspondance chronologique est identique à celle de notre Paracha : en fin d’exil et au début de la sortie d’Égypte et du retour d’Israël vers sa terre, nous voyons aussi cette « statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours » !

Nous pourrions même oser définir ici la date du début du processus de la délivrance finale pour les années 1880 comme c’est effectivement le cas !

Conclusion

Nous sommes dans les tout derniers jours de cette grande et première partie de l’histoire humaine. Des temps terribles de jugements vont s’abattre encore sur ce monde et balayer comme des ordures toutes les statues des divinités païennes représentatives de ce système idéologique factice et perverti de l’Égypte moderne et de son système de gouvernement mondial voué à l’extinction.

La déesse « Libertas » et toute l’idéologie trompeuse qu’elle représente, arrive en fin de vie, si toute fois elle a un jour été vivante. Dieu a assez attendu et les temps sont proches ainsi qu’il est dit :

« J’ai longtemps gardé le silence, je me suis tu, je me suis contenu; Je crierai comme une femme en travail, Je serai haletant et je soufflerai tout à la fois. Je ravagerai montagnes et collines, Et j’en dessécherai toute la verdure; Je changerai les fleuves en terre ferme, Et je mettrai les étangs à sec.

Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, Je les conduirai par des sentiers qu’ils ignorent; Je changerai devant eux les ténèbres en lumière, Et les endroits tortueux en plaine : Voilà ce que je ferai, et je ne les abandonnerai Point. Ils reculeront, ils seront confus, Ceux qui se confient aux idoles taillées, Ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux ! » (Esaïe 42)

La Torah est le laboratoire de l’histoire humaine, elle contient tout et Dieu nous enseigne ici un enseignement précieux pour ceux qui ont un coeur pour comprendre.

Cesserions-nous enfin d’endurcir nos coeurs pour se repentir sérieusement de nos fautes et suivre les voies de Dieu par la foi en Son Grand Nom et en son Messie Yéshoua ?

Allons-nous enfin nous laisser avertir afin de sortir de notre Égypte physique, spirituelle et morale (esprit du monde et de l’apostasie) afin de suivre, sans murmurer, la nuée de Dieu, pour recevoir tout le conseil de Dieu (la Torah) et se diriger ensuite vers la Terre promise qui est le royaume de Dieu ?

La Torah de Dieu est parfaite et véritable, son enseignement vaut plus que l’or le plus fin et la sagesse qui s’en dégagesource salut rocher yeshoua messie jesus desert moise vaut mieux que tous les trésors de ce monde.

Tout y est ! Merci, HaShem (Dieu en hébreu), pour un tel bienfait ! Merci au Messie d’Israël que nous croyons être Yéshoua, et qui ramène, par son esprit un nombre considérable et grandissant de gens des nations, de juifs et d’israélites vers la Torah de vérité ainsi que le Messie a dit de Lui :

« Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi. » (Jean 12:32) et aussi : « Car la terre sera remplie de la connaissance de l’Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. » (Ésaïe 11.9).

Et évidemment : merci au peuple juif, qui a su conserver au travers des siècles, la Torah et les enseignements des sages d’Israël pour retransmettre aujourd’hui encore, au monde entier, les joyaux de la sagesse de Dieu, en dépit des plus fourbes attaques incessantes du Satan !

Que l’Éternel bénisse son peuple, apporte la paix à Jérusalem et face du bien à tous ceux et celles qui le craignent et qui lisent ces lignes !

Que le grand Maître du monde puisse aussi toucher le coeur de tous ceux qui sont encore loin de Lui, permettant ainsi au plus grand nombre de monter dans cette glorieuse arche moderne dont la charpente est constituée du bois de la repentance se croisant avec celui de la foi dans le Messie d’Israël en qui nous trouvons les sources du salut, de la sagesse, de la connaissance ainsi que ce délicieux pain de vie donné gratuitement à qui a l’amour de la vérité.

Que Dieu nous aide dans nos faiblesses, nous apporte la consolation et use encore et encore de miséricorde face à nos si nombreuses lacunes.

Que le Seigneur des armées, Adonaï, le Dieu de toute espérance nous garde dans ses sentiers où abondent la paix, les sentiers de la Torah sur lesquels cheminait Yéshoua, notre Rabbi en Chef, le Messie d’Israël. Amen vé amen.

« Dans le Messie sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colossiens 2.3)

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16 Commentaires

  1. GINETTE

    La liberté est une illusion dans ce monde, Nos Pharaon sont de véritables chaînes, toutes les charges que nous devons payer, pas question,de vivre sous une tente, et de vivre de pêche et de chasse, et de cueillette de plantes sauvages, alors métro boulot dodo sont les chaînes les plus efficaces,. Mais heureusement elles vont tomber au retour de Christ, nous pourrons être tous des artisants et travailler selon les lois saintes de l’Eternel .

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  2. duplan remi

    shalom a tous ; nous avons la chance en France de ne pas etre importune par le port impose de la puce rfid par certains pays comme la suede par exemple ; y’a t’il un point commun avec la marque de la bete cite dans le livre de l’apocalypse ?

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    • Ben

      Je préconise toujours de rester très vigilent face à toutes ces hypothèses complotistes très tendances chez les masses populaires… et de plus en plus emprunte au newage.

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  3. Karen

    Shabbat shalom,
    encore une analogie surprenante qui correspond 1 an après ton post, à une image véhiculée cette semaine dans la presse..
    voir étude du rav Dynovisz , section: toutes vidéos, du 6 février 2017, titre : « Trump décapite t’il la statue de la liberté ? »

    http://www.ravdynovisz.tv/video.php?video_id=32608

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  4. PLANCKEEL

    Merci Thomas pour l’étude et surtout ce que j’ai appris sur la statut de la liberté, c’est un appel encore une fois très significatif du temps dans lesquels nous vivons: il nous faut sortir de Babylone ,ne pas regarder en arrière, et s’attendre au retour de notre bien-aimé Yeschoua, travailler à notre salut,
    Il n’y a rien de nouveau sous le soleil! quel trésor la Tora !
    Shabbat Shalom

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  5. nicole

    Merci Thomas que Dieu vous bénisse, ces messages m’instruisent et m’appuyant sur mon Dieu et sa parole j’attends son retour VIENS SEIGNEUR mais….Je prie pour ma famille on est pas tous à bord !!! Priez pour nous

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  6. pia

    Belle etude ce rapport avec la libertas…poignant,surprenant mais D.ieu nous previent
    toujours, beni soit H.ashem

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  7. Ella

    Shalom Thomas

    Merci pour cette excellente étude , je ne savais pas que 1/4 seulement du peuple d’Israël avait quitté l’Egypte ? et que 4/5 serait resté là-bas ? peux-tu m’éclairer un peu s’il te plait ?

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    • Thomas

      C’est une excellente question. Voici ce qu’enseigne certains commentaires des sages d’Israël à ce sujet :

      Selon Mekhlita (traité d’exégèse sur le livre d’exode), seul un cinquième des enfants d’Israël sortirent d’Egypte, choisissant volontairement la liberté, ce qui en dit long sur le degré de quasi anéantissement physique et moral de 80% des Hébreux en Egypte.

      Le midrash nous dit qu’ils sont morts durant la plaie des ténèbres (tan’houma-Bechala’h), signifiant symboliquement qu’ils avaient perdu toute visibilité de la foi authentique avant la décision du choix fatidique, et qu’ils s’étaient fondus dans le tissu social de l’Egypte.

      Un verset racontant la sortie d’Egypte indique que les enfants d’Israël sont sortis « hamoushim ». Ce que le Midrash relie au mot « hamesh » qui désigne le chiffre 5. Il traduit donc que un cinquième des Hébreux sont sortis d’Egypte. Le thème des 80% qui sont restés en Egypte a sa source dans ce Midrash.

      Mais le terme « hamoushim » peut être interprêté autrement fidèlement à d’autres sens véhiculées par l’hebreu : « équipés » ou « en armes » par exemple.

      De plus, il faut comprendre que l’enseignement d’un Midrash n’est pas toujours à prendre au pied de la lettre car parfois, il s’agit d’illustration, de parabole, de métaphore pour nous communiquer un message qui demeure vrai : Le Midrash veut peut-être nous dire qu’une partie des enfants d’Israël était tellement assimilée en Egypte qu’ils n’ont pas voulu en sortir. Il ne veut pas dire exactement 80%, mais un chiffre bien au delà de ce que l’on aurait pu craindre.

      Ce midrash transmet aussi une vérité que nous montre la Torah : si presque tous sont sortis d’Egypte, ils y ont tous laissé une partie d’eux-même, ils en sont sortis avec un certain regret (on parle d’un syndrome des kidnappés qui sympathisent avec leurs geoliers, syndrôme de stockholm). Ainsi, seulement 1/5 serait véritablement sorti de leur Egypte. Ce midrash est en accord avec ce que le Messie Yéshoua enseigne : « Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. » (Matthieu 22.14).

      Explications tirées et inspirées du Rav Elie Kahn du site Cheela et Hervé Rheby du site LeMondeJuif

      Meilleur Shalom,
      Thomas.

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      • ella

        Merci Thomas en effet c’est plus clair ce petit nombre était quand même 600 mille hommes , cela me fait penser au  » reste  » dont parle Esaie 10  » un petit reste reviendra » ou comme le reprend Paul dans Romain 9: 27  » Quand le nombre des fils d’Israël sera comme le sable de la mer,  » un reste » seulement sera sauvé »…Rom 11:  » un reste selon l’élection de sa grâce »( beaucoup d’appelés mais peu d’élus
        Nous sommes appelés à sortir de cet état d’esclavage , d’au moins faut-il ouvrir les yeux comme des sentinelles et comprendre la parole . Merci Thomas de me conduire au travers de cette parole au combien vivante et précieuse aujourd’hui

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  8. Aline

    Shalom,

    Je cite : La Torah de Dieu est parfaite et véritable, son enseignement vaut plus que l’or le plus fin et la sagesse qui s’en dégages vaut mieux que tous les trésors de ce monde. Tout y est ! Merci HaShem* (Dieu en hébreu) pour un tel bienfait ! Merci au Messie d’Israël que nous croyons être Yéshoua, et qui ramène, par son esprit un nombre considérable et grandissant de gens des nations, de juifs et d’Israélites** …..>

    Pour precision : *Hashem signifie Le nom, celui etant IHVH ainsi qu il est ecrit dans Shemot / Exode 3.15 Elohîms dit encore à Moshè : « Tu diras ainsi aux Benéi Israël : ‘IHVH-Adonaï, l’Elohîms de vos pères, l’Elohîms d’Abrahâm, l’Elohîms d’Is’hac et l’Elohîms de Ia’acob, m’a envoyé vers vous’. VOILA MON NOM en pérennité, voilà ma mémoration de cycle en cycle. version Chouraqui.

    ** de juifs et isrealites ….. les juifs sont isrealites ainsi que les 11 autres enfants d Israel / Ya acov …

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    • Thomas

      Shalom. Oui, HaShem = « Le Nom » en hébreu, merci de le rappeler. La parenthèse ne signifiait pas l’explication de la traduction mais ce que signifie Hashem pour un nom juif : il signifie le mot « Dieu ».
      Concernant les juifs et les israélites : oui tous les juifs sont évidemment israélites comme toutes les tribus mais tous les israélites ne sont pas juifs (Juif = tribu de Yéouda –> quelqu’un de la tribu d’Issachar n’est pas juif par exemple).

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      • Aline

        On est d accord Thomnas 🙂

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  9. Yannick

    Comme quoi, la « liberté » sous une forme symbolique de statue, c’est bien un piège par rapport au 2e commandement (point d’image taillée) !

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  10. Samantha PG

    Extra merciiii pour cette étude!!!soyez benit

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