« L’Éternel est un Dieu qui sait tout, Et par Lui sont pesées toutes les actions. De la poussière Il retire le pauvre, du fumier Il relève l’indigent, pour les faire asseoir avec les grands. L’Éternel appauvrit et Il enrichit, Il abaisse et Il élève. Et Il leur donne en partage un trône de gloire ; Car à l’Éternel sont les colonnes de la terre, et c’est sur elles qu’Il a posé le monde. » (1 Samuel 2 : 6-8)

Avec 1,4 milliard d’utilisateurs en 2014, Facebook reste de loin le réseau social le plus utilisé et le plus connecté dans le monde. Quel est le secret et l’origi­ne de cette réussite ? Vous seriez étonné d’apprendre qu’Israël se cache derrière le succès du réseau social et que la bénédiction de Dieu au travers du rabbi de Loubavitch en est l’origine.

Le rabbi de Loubavitch fut un des chefs (ou lea­ders) spirituels du judaïsme mondial. Il a notamment encouragé et agi pour la diffusion du judaïsme et la fondation d’un réseau d’institutions d’études juives et d’enseignement de la Torah. Il n’a pas eu d’en­fants, mais a légué depuis son décès en 1994, plus de 4 600 institutions à travers le monde. Loubavitch qui signifie « ville de l’amour fraternel » en russe, est le nom de cette petite ville de Russie ou s’installa pendant plus d’un siècle le mouvement auquel était rattaché le rabbi. Outre des milliers de guérisons de femmes stériles attribuées aux prières du rabbi, le rabbi a également prédit une chose étonnante pour la fin des temps :

Il y a plus de 40 ans, alors qu’internet n’était qu’au stade militaire et que le public n’en connaissait rien, il a déclaré qu’il viendrait un jour où chaque juif pourra s’asseoir dans une pièce devant son propre écran et diffuser la Torah à travers le monde. Il a dit que cet instrument serait un des instruments de la délivrance finale. Nul ne peut contester que 40 ans plus tard, les paroles du rabbi de Loubavitch se sont accomplies. Aujourd’hui en 2015, internet est devenu le moyen de communication mondial N°1 et permets effectivement à chaque personne d’étudier ou de transmettre la Torah (Prescriptions de Dieu) à travers le monde entier.

Le site « www.lemondejuif.info » déclare : « Le créa­teur de Facebook se fait très rare dans la presse, et pourtant récemment, à l’occasion d’un déplacement en Hollande pour le développement de Facebook, Mark Zuckerberg a accordé une interview au journal juif local : Joodse Kronieken. ». Voici un extrait de cette entrevue :

Mark Zuckerberg a déclaré : « J’ai monté Face- book avec le dollar du rabbi »

Revenant sur la genèse du réseau social mondiale­ment connu, M. Zuckerberg s’est confié : « Mes parents ont eu trois filles avant moi et mon père rêvait d’un garçon, qui ne venait pas. Après avoir vu plusieurs médecins, sans succès, un ami de la famille proche des Loubavitch a conseillé à mon père de solliciter une bénédiction du rabbi. Notre famille est traditionaliste, mais peu pratiquante. Il n’empêche, mon père se rendit à New-York en 1982 et fit comme de nombreuses personnes, attendit son tour pour recevoir une bénédiction. Lorsque son tour arriva, il demanda au rabbi si celui-ci pou­vait lui promettre un garçon. Le rabbi lui tendit un dollar et le questionna sur sa pratique religieuse ; mon père avoua ne pas respecter les lois juives. Le rabbi lui expliqua alors ce qu’était la philosophie de Habad (acronyme hébraïque désignant la sagesse, la compréhension et la connaissance), comment elle s’attelait à relier les juifs entres eux de par le monde, par des actions communes. Le rabbi enjoint mon père à s’engager à inculquer au fils, qu’il lui promit, une éducation juive. »

« Je suis né moins de 18 mois après cette entrevue, et lors de ma Bar Mitzvah * (à 13 ans), mon père m’offrit ce dollar qu’il avait reçu des mains du rab­bi, et me répéta le message que ce dernier lui avait transmis. J’ai conservé ce dollar, sans y prêter une grande attention. Au moment de mes études et alors que naissait peu à peu le projet Facebook, je me suis souvenu de ce que m’avait raconté mon père. Je sentais qu’il y avait une drôle de coïncidence entre le message du rabbi et mon propre projet de réseau social. Lorsque vint le temps de monter Fa­cebook, j’eus ce sentiment qu’il était temps de faire usage de ce dollar, que j’ai déposé à la banque au moment de la création de notre société, la suite vous la connaissez. »

* = Bar Mitzvah est une expression araméenne qui signifie littéralement « fils du commandement ». Bar signifie « fils » et Mitzvah, traduit habituel­lement par « bonne action », signifie « commandement ». Être Bar Mitzvah signifie donc pour les garçons être en âge d’appliquer pleinement les commandements de Dieu. (source Wikipedia). Une fête a lieu pour marquer cet évé­nement, traditionnellement à l’âge de 13 ans.

« Je ne suis pas très croyant et malgré cela, je ne peux que témoigner de l’extraordinaire intuition qu’eut cet homme, que je regrette de ne pas avoir rencontré… »

Effectivement, le miracle semble évident : le père du futur créateur de Facebook n’arrivait pas à avoir de fils et la médecine ne pouvait l’aider. Plus tard, il alla voir le rabbi pour recevoir une bénédiction à ce sujet. Suite à cette conversation avec le rabbi sur le thème visant à relier les juifs du monde entier entre eux, le rabbi l’invita à s’engager à donner une éducation juive au fils que Dieu lui donnerait.

Dix-huit mois après la bénédiction du rabbi, Mark est né. Fidèlement à ses promesses, son père essaya de donner une éducation religieuse à son fils. Lors de la cérémonie religieuse de Mark à l’âge de 13 ans (Bar-Mitzvah), son père lui remit le dollar que lui avait donné le rabbi 14 ans plus tôt. Son père a respecté son engagement et plus tard, le dollar du rabbi sera le premier dollar que Mark déposera sur le compte bancaire de la société Facebook fraîchement ouverte. Facebook deviendra plus tard la plate- forme numéro une, connectant et reliant entre eux les juifs du monde entier (entre autres) et permettra aussi à Mark de faire un don de 25 millions de dol­lars contre Ebola en 2014.

Oui, nous avons ici un infime exemple de ce que Dieu peut faire au travers d’une simple prière et d’un dollar selon qu’il est dit :

« Je le rendrai fécond, et Je le multiplierai à l’in­fini » (Genèse 17 : 20)

et aussi : « Je t’ai multipliée par dix milliers, comme les herbes des champs. Et tu pris de l’accroisse­ment, tu grandis. » (Ézéchiel 16 : 7)

« Dieu est celui qui juge : Il abaisse l’un, et Il élève l’autre. » (Psaumes 75 : 8)

Et devant un tel accomplissement, ne pouvons-nous pas dire avec le fidèle serviteur de Dieu, Job : « Qui ne reconnaît chez eux la preuve que la main de l’Éternel a fait toutes choses ? » (Job 12 : 9).

Oui, avec Ésaïe, nous voulons aussi dire que ces cho­ses se sont accomplies « Afin qu’ils voient, qu’ils sa­chent, qu’ils observent et considèrent que la main de l’Éternel a fait ces choses, que le Saint d’Israël en est l’auteur. » (Ésaïe 41 : 20).

Si ce n’est pas encore fait, demandons donc à Dieu que Mark prenne position et Le rencontre, Lui, le seul véritable Dieu incomparable, et qu’au travers de Facebook, le plus grand nombre de personnes puisse découvrir et rencontrer à leur tour le seul vrai Dieu et Son Messie Yeshoua (Jésus) en pas­sant par une authentique Téchouva (Repentance et retour à Dieu). Devant le succès unique rencontré par Facebook et le lien évident avec la bénédiction du rabbi, la main de Dieu semble avoir fait prospé­rer cette œuvre selon qu’il est dit : « L’Éternel, ton Dieu, te comblera de biens en faisant prospérer tout le travail de tes mains. » (Deutéronome 30 : 9).

Reste à savoir si Mark saura voir la main de Dieu pour Lui rendre gloire et sanctifier Son Nom, car il est écrit :

« On demandera beaucoup à qui l’on a beaucoup donné, et on exigera davantage de celui à qui l’on a beaucoup confié é. » (Luc 12 : 48).

Si les points positifs d’un tel réseau social sont nombreux et véritablement bénéfiques, Facebook n’échappera pas à la règle : outre les aspects po­sitifs, une multitude d’aspects négatifs et parfois même dangereux en ressortent également. La To­rah (Enseignement de Dieu) nous montre clairement que Satan et ses démons sont des entités spirituelles concrètes et véritables luttant contre le bien, s’op­posant à Dieu et désireux de détruire l’homme. La représentation que l’homme se fait du diable et des démons n’est pas toujours juste. Dans la Torah, « sa­tan » est un terme hébreu qui représente aussi une force d’opposition.

Bien que cette force d’opposition puisse revêtir di­verses formes, son but est toujours le même : s’op­poser, résister. Par exemple, lorsque Balaam désobéit à Dieu et partit à la rencontre de Balak, nous voyons l’ange de l’Éternel jouer ici le rôle de « satan » :

« l’ange de l’Éternel se plaça sur le chemin, pour lui résister. » (Nombres 22 : 22).

Ici, le mot « résister » correspond au mot « satan » en Hébreux, qui veut dire l’adversaire surhumain, car c’est une opposition spirituelle, même au tra­vers d’un homme à son insu.

Cette force d’opposition peut aussi être représentée par une personne : « L’Éternel suscita un ennemi (Satan en hébreu) à Salomon : Hadad, l’Édomite, de la race royale d’Édom. » (1 Rois 11 : 14).

Ainsi, il est commun de voir cette force d’opposition satanique surgir dans chaque plan ou projet que l’homme peut entreprendre, surtout pour le royaume de Dieu. En effet : qui, en voulant faire le bien ou entreprendre un projet quelconque, n’a pas expéri­menté nombre d’oppositions venant matérialiser cette réalité décrite par le mot hébreu « satan » ?

Facebook en est la preuve : un projet bénéfique consistant à relier dans le monde entier ceux qui aiment Dieu afin de faire connaître Ses voies vertueu­ses à l’humanité, peut aussi être utilisé par ceux qui aiment le diable, afin, par exemple, de faire l’apologie du terrorisme et de l’horreur, recruter les pires assas­sins en les enrôlant dans le Jihad via Facebook… Il ne tient finalement qu’à chacun de nous de faire preuve de sagesse en « ne jetant pas le bébé et l’eau du bain avec », mais plutôt en sachant extraire, utiliser, dis­cerner, juger avec justice, et ne retenir en toute chose que ce qui est bon. À ce sujet, terminons par une ré­flexion tirée du livre « les portes du repentir » écrit par le rabbi Yonah de Gérone au XVI^e siècle :

« Les hommes droits ont l’habitude de taire tou­tes les fautes d’autrui et de louer leurs prochains pour leurs qualités. Les maîtres du Moussar (Mo­rale juive) racontent qu’un homme ordinaire et un sage passèrent devant une charogne. Le premier s’exclama : « Quelle odeur répugnante émane de cette carcasse ! » tandis que le sage répondit : « Comme ses dents sont blanches ! ».

Il y a ceux qui voient les dents blanches du « faith­book » (Livre de foi) et ceux qui s’arrêtent à l’haleine répugnante émanant du « facebouc ». De la même façon que Dieu agit dans Son monde, sachons nous aussi transformer le mal en bien et ne retenir que ce qui est bon en jetant l’ivraie au feu ! Que ceux qui ont un cœur pour comprendre comprennent…

« Dans un monde qui évolue très vite, la seule stratégie qui est vouée à l’échec de façon garantie est de ne pas prendre de risques. » Mark Zuckerberg.

« Il ramènera le coeur des pères à leurs enfants, et le coeur des enfants à leurs pères (…) » (Malachie 3:24)

Thomas.