Il est venu dans le monde pour toi : Le Messie Yeshoua (Jésus), Le Chemin, La Vérité et La Vie
Lorsque tout s’effondre : le Roc ou le sable ?
Quand le vent de la détresse souffle, quand les colonnes même de ton monde chancellent et que les piliers de ta force humaine se brisent, sur quoi ton âme repose-t-elle ?
Un jour — écoute bien — la tempête frappera. Celle de l’épreuve, ou celle du grand saut vers l’inconnu (la mort) ; elle est promise à chaque être humain depuis la chute.
“Car l’orage sort de la chambre de Dieu, et les vents du nord s’élancent.” – Job 37.9
Personne n’est exempté : maladie impitoyable, deuil cruel, revers foudroyant. Devant ce fracas, le sable sur lequel tant d’hommes ont bâti leur gloire et leur paix se dérobe sous leurs pieds.
Mais il existe un Roc sûr et solide qu’il nous faut rejoindre.
Oui, un Roc vivant, dressé au cœur même de l’ouragan, inébranlable face aux vagues de la souffrance et aux tempêtes du jugement. Ce Roc, c’est Yéshoua HaMashia‘h [Yéshoua le Messie], le Chemin, la Vérité et la Vie.
“Quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.” – Matthieu 7.24
Ouvrez les yeux, pèlerin du temps ! Deux maisons sont devant vous :
L’une s’élève sur des promesses humaines, fragile comme un château de cartes ;
L’autre repose sur la Parole du Dieu vivant, solide comme l’éternité.
Le secret de la survie n’est pas l’absence de tempête, mais la nature de nos fondations.
Celui qui choisit d’ancrer son être dans le Messie, de recevoir son enseignement, celui-là édifie sur l’immortel. Avec patience, avec persévérance, avec une fidélité à la Torah et aux commandements de Dieu, il scelle ses fondations dans le Roc des siècles.
À l’inverse, combien courent sur les sables mouvants d’un christianisme d’apparat, où l’apparence cache la ruine intérieure !
Ils entendent sans obéir, ils parlent sans marcher, ils se nomment disciples et boudent la croix et la Torah.
Quand la douleur frappera — et elle frappera, aussi sûr que l’éclair fend le ciel — seuls les vrais bâtisseurs verront leur demeure rester debout, trempée de pluie mais debout, bousculée par les vents mais inébranlable dans le Nom du Roi.
Et toi, lecteur appelé par Dieu, où as-tu bâti ta vie ?
La grâce de Dieu : une main tendue au cœur du tumulte
Voici qu’une main puissante se tend vers nous dans l’ouragan.
La grâce.
Ah, la grâce de Dieu ! Certains ont fait de la grâce un voile léger jeté sur l’injustice, une complaisance paresseuse que les hommes modernes appellent “amour” — non !
La grâce est la faveur souveraine, éclatante et redoutable, par laquelle le Roi du Ciel offre le salut à des rebelles condamnés.
“La grâce de Dieu a été manifestée, source de salut pour tous les hommes.” – Tite 2.11
La grâce ne nie pas notre faillite ; elle la révèle. La grâce ne flatte pas notre vertu ; elle en expose la laideur et nous invite à ployer le genou, nu devant la Majesté divine.
Car sans elle, nul ne peut subsister devant la sainteté effrayante du Très-Haut.
“Celui qui absout le coupable et celui qui condamne le juste sont tous deux en abomination à l’Éternel.” – Proverbes 17.15
Ouvrons bien nos oreilles : l’histoire la plus bouleversante de l’univers commence ici :
Dieu a tant aimé qu’Il a tout donné.
Il n’était pas obligé. Mais il a agit en déployant un amour qui défie toute compréhension humaine.
Car le désert de nos vies, le Créateur des mondes vient Lui-même dresser un abri, un refuge, un chemin : le Roc éternel, Yéshoua.
Ne laisse pas arriver l’orage sans trouver refuge !
Le vent se lève.
Le ciel s’assombrit.
La pluie approche.
Et pourtant, une voix douce comme un murmure, mais forte comme le tonnerre, t’appelle aujourd’hui :
“Revenez à Moi, et Je reviendrai à vous.” – Malachie 3.7
Viendras-tu ?
Un amour qui défie toute logique humaine
Écoutons ! Si aujourd’hui l’océan de la grâce vient battre aux portes de notre cœur, ce n’est pas par notre mérite, ni par notre force, ni par la noblesse de notre caractère. C’est parce que Yéshoua, le Messie, a fait l’impensable : Il a pris sur Lui-même le jugement terrible que méritaient nos fautes.
“Celui qui n’avait pas connu le péché, Il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu.” – 2 Corinthiens 5.21
Quel torrent d’amour insondable !
Voici que le Saint prend la place du coupable ;
Voici que l’Innocent est défiguré pour que l’ennemi soit pardonné ;
Voici que Celui qui est la Vie goûte la mort pour faire jaillir la vie en nous.
Comprends-tu ?
Si nous n’étions pas des pécheurs irrémédiables, nous n’aurions nul besoin de ce sacrifice indicible.
Mais parce que nous étions loin, aveuglés, perdus dans nos voies de mort, il a tendu la main jusque dans nos ténèbres.
La grâce divine ne s’arrête pas devant notre passé ; elle ne trébuche pas sur notre honte ; elle n’est pas arrêtée par la gravité de notre péché.
Elle descend jusqu’à nous, là où nous sommes, là où nous pleurons en secret, là où notre âme étouffe.
Car Dieu ne nous attend pas parfait pour venir à Lui :
Il nous appelle aujourd’hui tel que tu nous sommes — brisé, sale, épuisé — pour laver notre cœur, pour renouveler notre souffle.
“Ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin de médecin, mais les malades.” – Luc 5.31
Laissons Sa main transpercée déposer sur notre âme le baume vivant de Sa miséricorde.
Signe de la grâce : ton cœur qui commence à frémir
Et si, tandis que tu lis ces lignes, un souffle nouveau effleure ton âme,
Si une sainte inquiétude t’éveille,
Si une soif inconnue commence à grandir en toi,
Sache-le : c’est déjà l’œuvre secrète de la grâce divine en toi.
Ne la repousse pas,
Ne ferme pas ton cœur sous prétexte de tes fautes passées ou de ton indignité présente.
“Aujourd’hui, si vous entendez Sa voix, n’endurcissez pas votre cœur.”
– Hébreux 3.15
Prie simplement, humblement :
“Seigneur, fais grandir en moi cette lumière naissante.
Ne permets pas que mon cœur retourne aux ténèbres.
Suscite en moi une foi vivante qui te saisit et ne te lâche plus.”
Si déjà tu connais le nom glorieux de Yéshoua,
Rappelle-toi que nous avons besoin de Sa grâce autant aujourd’hui qu’hier.
Chaque pas, chaque souffle, chaque victoire contre le péché, tout est fruit de Sa fidélité.
Sans Sa main, nous glisserions de nouveau vers les gouffres obscurs d’où Sa voix nous a appelés.
Ô bien-aimé,
Ne laisse pas passer cette heure de visitation.
Le Messie est aux portes.
Son regard embrasse ta misère.
Ses bras t’attendent.
Son Cœur saigne d’amour pour toi.
Viendras-tu Lui ouvrir ?
Vivre sous la grâce : une transformation authentique
Lorsqu’un cœur se saisit de la grâce divine, ce n’est pas pour en faire un manteau d’indifférence ou un passeport pour l’impiété. Non, la grâce véritable n’est jamais complice du mal : elle est un feu qui consume l’ancienne vie et éclaire la marche nouvelle.
“La grâce de Dieu nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété.” – Tite 2.12
La grâce de Dieu n’est pas un repos dans la tiédeur ; elle est une convocation vers la sainteté.
Plus nous contemplons l’étendue de l’amour de notre Créateur, plus notre âme se sent attirée à marcher dans Sa lumière.
La reconnaissance devient alors notre moteur, et non la contrainte.
« Celui qui aime Dieu n’a pas besoin d’être forcé pour accomplir Sa volonté. »
Si nous avons goûté la bonté du Seigneur, comment pourrions-nous demeurer esclaves du péché ?
La grâce ne nous laisse pas immobiles : elle nous propulse dans une quête de pureté, une soif ardente de vivre selon le cœur de Dieu.
L’infini de la justice et de l’amour de Dieu
Approchons-nous maintenant d’un mystère redoutable et sublime :
Dieu est parfait dans Sa justice, aussi bien que dans Son amour.
Sa sainteté est telle qu’aucune faute, si petite soit-elle à nos yeux humains, ne peut subsister devant Lui sans châtiment. Rappelons-nous :
“Celui qui absout le coupable et celui qui condamne le juste sont tous deux en abomination à l’Éternel.” – Proverbes 17.15
Même un mensonge discret, même une pensée d’orgueil enfouie dans nos cœurs, mériterait un juste jugement.
C’est cela que la Torah enseigne avec force : Dieu est incorruptible, Sa balance est parfaitement équilibrée.
Ainsi, sans médiation, sans pardon, sans expiation véritable, nous serions inévitablement voués à une séparation éternelle.
Et pourtant…
Son amour, aussi infini que Sa justice, a cherché un chemin de salut pour nous.
Il a fait l’impensable : Il est descendu vers nous.
Il a pris chair, en la personne de Yéshoua, le Messie, pour porter Lui-même notre condamnation.
“Celui qui m’a vu a vu le Père.” – Jean 14.9
En regardant Yéshoua, nous contemplons la tendresse du Père, Sa fidélité envers Ses promesses, et Sa passion brûlante pour sauver l’homme perdu.
L’œuvre accomplie par Yéshoua
Le sacrifice du Messie est un acte juridique parfait, accompli dans la sphère céleste où justice et miséricorde se rencontrent.
Parce que Yéshoua vivait sans péché et que Sa vie était d’une valeur infinie, quelques heures de souffrance sur la croix ont suffi pour expier les fautes de ceux qui croient en Lui.
Et quelle souffrance ce fut !
Non seulement une agonie physique atroce, mais plus encore : le poids terrible de la culpabilité de l’humanité entière, écrasant Son âme jusqu’à l’angoisse de Gethsémané.
Pourtant, Il a bu cette coupe jusqu’à la lie, par amour.
“Il a été blessé pour nos transgressions, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui.” – Ésaïe 53.5
Mais attention : ce sacrifice n’est pas un talisman automatique.
Il n’est efficace que pour ceux qui, par la foi, s’y attachent humblement, renonçant à leur suffisance, confessant leurs fautes, embrassant la Vérité.
Croire en Yéshoua, ce n’est pas simplement admettre Son existence historique ;
C’est s’appuyer sur Lui seul pour notre salut,
C’est rejeter l’illusion de l’autonomie orgueilleuse,
C’est décider de marcher selon Sa Torah, Sa lumière, Sa vérité.
Il ne s’agit pas d’un accord vague avec Dieu. Nous sommes appelés à une soumission vivante, aimante, totale à Son Messie.
« Celui qui reçoit sur lui le joug de la Torah est libéré du joug du monde. » – Pirkei Avot 3:5
Le chemin est tracé.
La porte est ouverte.
La grâce est offerte.
Viendras-tu ?
T’approcheras-tu du sacrifice vivant, du trône de grâce, pour recevoir la vie ?
La foi qui sauve et l’espérance vivante
Au commencement de toute marche véritable avec Dieu, il y a l’humilité.
Nous ne parlons pas d’une posture extérieure, mais d’une confession intérieure que nous sommes pauvres, indigents, pécheurs.
Reconnaître que nos mains vides ne peuvent rien offrir pour racheter nos âmes ; que notre justice est comme un vêtement souillé devant la splendeur de Sa sainteté.
Alors, du fond de cette misère reconnue, éclôt la foi.
Une foi simple, mais brûlante, qui demande pardon avec des larmes sincères,
qui désire tourner le dos au mal,
qui tend les bras vers le ciel en quête de secours.
C’est cette foi que Yéshoua accueille.
Ce n’est pas une foi abstraite, mais une foi qui se saisit de Lui, qui croit que Son sacrifice est suffisant, que Sa résurrection est la promesse d’une vie nouvelle.
“Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu.” – Éphésiens 2.8
Nul ne peut sauver son âme par ses œuvres ; il nous faut tendre simplement la main pour recevoir ce que Dieu offre.
Une espérance sûre : vivre la résurrection dès aujourd’hui
La résurrection de Yéshoua n’est pas une fable inventée par des disciples égarés.
Elle est l’éclatant sceau divin, la signature du ciel sur l’œuvre accomplie à la croix.
“Dieu l’a ressuscité des morts, en rompant les liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’elle le retînt.” – Actes 2.24
Si Dieu a rompu les chaînes du tombeau pour Son Fils, Il promet de rompre également les chaînes de nos péchés, de nos peurs, de notre mort intérieure.
Dès ici-bas, ceux qui croient en Yéshoua expérimentent une vie nouvelle :
- une conscience purifiée,
- un cœur enflammé d’espérance,
- une force intérieure qui défie les tempêtes.
La présence du Dieu vivant habite l’âme qui Lui appartient.
Jésus s’expérimente : une relation, non une religion
Le salut n’est pas une formule doctrinale que l’on récite,
Ce n’est pas un ticket d’entrée pour l’éternité sans transformation présente.
C’est une rencontre.
Une rencontre avec le Vivant.
En recevant Yéshoua dans notre cœur,
nous recevons Son Esprit,
nous devenons les temples où Dieu Lui-même vient demeurer.
Alors, une paix surnaturelle nous inonde,
une joie pure nous soutient au sein même des larmes,
un amour nouveau commence à transformer nos regards, nos choix, nos gestes.
“Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide.” – Hébreux 6.19
Et cette transformation n’est pas l’œuvre d’une saison : elle est la mission de toute une vie.
N’acceptons pas un salut théorique, sans vie ni fruit !
Que notre foi soit vivante, vibrante, opérante, enracinée dans la communion quotidienne avec Yéshoua.
Car seule la foi vivante ouvre la porte.
Reconnaissons nos fautes.
Demandons sincèrement pardon.
Croyons avec tout notre cœur que Yéshoua est mort et ressuscité pour nous.
Engageons-nous résolument à marcher dans Ses voies.
Et toi, lecteur,
Viendras-tu boire aux sources vives de Son Esprit ?
Ouvriras-tu enfin la porte de ton âme au Roi de gloire ?
Le choix de toute une vie : sur quoi bâtirons-nous ?
Il est une question que nul ne pourra fuir :
Sur quoi avons-nous bâti notre vie ?
Car un jour viendra — inévitable comme l’aurore — où les fondations secrètes de nos existences seront révélées.
“Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.” – Ecclésiaste 12.14
Face à ce jour, aucun orateur ne pourra plaider pour nous, aucun masque ne pourra dissimuler la vérité.
Dieu n’est pas un homme que l’on peut séduire par des discours ;
Il est infiniment juste, infiniment saint, infiniment vrai. Il est à la fois merveilleux et redoutable.
Sa justice est incorruptible,
Sa sainteté, inaltérable.
Il hait le mal sous toutes ses formes, même les plus subtiles.
Et Sa colère est suspendue au-dessus du mal, prête à s’abattre au temps fixé.
Et pourtant…
Ô mystère insondable :
L’amour de Dieu est aussi infini que Sa justice.
C’est pourquoi Il a donné Son Fils unique, Yéshoua,
comme sacrifice parfait,
offrant à quiconque croit la vie éternelle au lieu du jugement mérité.
“Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Yéshoua le Messie notre Seigneur.” – Romains 6.23
Une rencontre éclatante entre amour et justice
En Yéshoua,
l’amour absolu de Dieu
et Sa justice absolue
se sont embrassés.
La croix n’est pas une négation du jugement :
elle est le lieu où le jugement a été porté, pour nous qui croyons.
Elle est le lieu où nos péchés ont été jetés au fond des abysses, pour nous qui nous repentons.
Refuser ce salut, c’est choisir par défaut la séparation éternelle,
l’obscurité d’un lieu privé à jamais de la lumière divine.
Dieu veut notre salut.
Aujourd’hui encore, Sa voix t’appelle,
douce comme une brise, forte comme un tonnerre.
Le chemin de la vie nous est offert
Nous ne sommes pas laissés sans ressource.
Nous ne sommes pas condamnés à l’errance dans les ténèbres.
Dieu est vivant.
Dieu guérit.
Dieu restaure.
Même au milieu des tempêtes,
Il forgera en nous une foi lumineuse, capable de traverser l’orage en chantant la gloire de notre Sauveur.
Combien de vies brisées ont été relevées par Sa main puissante !
Combien d’âmes perdues ont été ramenées par Sa voix douce !
Et nous,
Bâtirons-nous sur le Roc vivant ou sur le sable illusoire ?
Une invitation solennelle
Le choix est devant nous :
La vie ou la mort.
La lumière ou les ténèbres.
Le Roc ou le sable.
La dernière tempête viendra.
Elle sera implacable.
Seuls ceux qui auront bâti leur vie sur Yéshoua traverseront l’orage pour entrer dans la félicité éternelle.
“Voici, je mets devant toi aujourd’hui la vie et le bien, la mort et le mal.” – Deutéronome 30.15
Et toi, lecteur bien-aimé, que choisiras-tu aujourd’hui ?
Une prière pour franchir le pas
Si ton cœur brûle doucement en toi,
Si une voix intérieure t’appelle,
Ne tarde pas.
Dans le secret de ton cœur, tu peux prier ainsi :
Seigneur Dieu, je reconnais que j’ai souvent choisi les ténèbres plutôt que Ta lumière.
Je reconnais mes fautes, ma faiblesse, mon besoin d’être sauvé.
Je crois que Yéshoua est venu pour moi, qu’il est mort pour mes péchés, et qu’il est ressuscité.
Pardonne-moi. Sauve-moi. Remplis-moi de Ton Esprit.
Conduis-moi sur le chemin de la vie.
Aujourd’hui, je choisis de bâtir ma vie sur Toi, le Roc éternel.
Amen.
Conclusion lumineuse
Oui, Dieu est vivant.
Oui, Son amour est réel.
Oui, Sa main est tendue aujourd’hui.
Saisissons-la, avec foi, avec humilité, avec joie.
Bâtissons nos vies sur Yéshoua.
Et découvrons, jour après jour, la gloire surnaturelle d’appartenir au Dieu de la Vie.
“Celui qui croit en Moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein.” – Jean 7.38
Que cette parole s’accomplisse en nous, pour l’éternité.
▼ Réagissez à cet article en laissant un commentaire ! ▼
- Note importante relative aux articles et vidéos faisant intervenir à la fois des juifs, des rabbins, des chrétiens et des pasteurs : Si vous avez une interrogation ou une incompréhension à ce sujet, nous vous renvoyons au volet concerné qui explique en détail notre position. Cliquez ici : F.A.Q - Rencontrer Dieu
- Note sur les commentaires sur ce site et ailleurs (YouTube, etc.) : les commentaires ne sont publiés que s'ils sont conformes à La Politique De Modération du site : Lire la politique de modération
Veuillez citer la source lors de toute copie partielle ou complète des contenus de ce site web, ainsi que le rappellent justement les maximes des pères (Pirqé Avot) : « Quiconque cite l’auteur d’une parole amène la délivrance dans le monde ». Pour le reste, c’est entre vous et Dieu qui sonde les cœurs et qui rendra à chacun selon ses œuvres.