Article publié le 19 mai 2017, mise à jour le 20 mai 2025

Paracha Béhar – Un lien vital entre confiance, étude et miracle

Le commandement de la Chémita : une école de confiance absolue

Voici un commandement fascinant, un appel audacieux qui retentit dans le désert de notre quotidien moderne : à la fin du livre de Vayikra (Lévitique), dans les parachot Béhar et Bé’houkotaï (Lév. 25:1 à 27:34), Dieu ordonne à Son peuple un arrêt d’une année entière…

Cette loi se nomme la Chémita, année de repos de la terre tous les sept ans. Le sol lui-même doit faire son Shabbat, comme si le Créateur voulait graver dans chaque motte de terre une leçon céleste pour Son peuple : « Ce n’est pas le pain qui te fait vivre, mais Ma parole. »

“Pendant six années tu ensemenceras ton champ […] mais la septième année sera un shabbat […] tu n’ensemenceras point ton champ.” – Lévitique 25:3-4

La Chémita n’est pas un caprice agricole. Cette mitsva [loi] exceptionnelle exige un abandon complet entre les mains de Dieu. C’est une yéshiva [école] de confiance. Elle enseigne aux enfants d’Israël à respirer la foi, à semer dans l’invisible et à moissonner l’impossible.

Car voici la promesse que Dieu scelle en réponse à l’observation de ce commandement redoutable :

“Je vous enverrai ma bénédiction dans la sixième année, et elle donnera une récolte suffisante pour trois années.” – Lévitique 25:21

C’est un authentique miracle tangible que La Torah promet ici.

La vraie source

« Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle » — Jean 6:27, car « Pourquoi travailler pour ce qui ne rassasie pas ? Ecoutez-moi donc [en faisant la Chémita], et vous mangerez ce qui est bon, Et votre âme se délectera de mets succulents. » — Esaïe 55:2

Que tous ceux qui tremblent à l’idée de manquer, entendent ! Ce n’est pas dans le labeur effréné que le cœur trouve la paix, mais dans l’obéissance simple, nue, entière. Comme un nourrisson suspendu au souffle de sa mère, ainsi l’âme qui s’en remet à Dieu. Car pour un agriculteur israélite, cela revient à se couper volontairement de toute source de revenu pendant un an, pour ne s’en remettre qu’au Père.

« Ce qui me nourrit, leur expliqua Yéshoua, c’est d’accomplir la volonté de celui qui m’a envoyé » — Jean 4:32

Imaginez aujourd’hui un informaticien fermant son ordinateur pour une année sabbatique, pas parce qu’il aurait fait un burn-out, mais par foi. Voilà la Chémita : une protestation contre l’illusion de l’autosuffisance. Une proclamation silencieuse : Dieu est Roi, même sur mon revenu. 

Le Rav Eliahou Hassan témoigne dans son livre La Paracha qu’en Erets Israël, les témoignages abondent : chaque agriculteur qui honore la Chémita voit la bénédiction couler sur ses sillons.

L’étude de la Torah : une Chémita quotidienne pour l’âme

Mais ne limitons pas ce joyau à un cycle septennal qui ne concernerait que la terre. Le Sforno [un sage d’Israël du 15e/16e siècle] et d’autres sages expliquent que cette année particulière doit être entièrement consacrée à Dieu : étude de la Torah, prière, actes de bonté. Comme le Chabbat, c’est un temps mis à part.

Mais allons plus loin encore : Le Maître de la moisson a semé en cette loi un principe éternel : chaque jour, l’âme a droit à sa Chémita, « car vous, vous êtes le champ »— 1 Cor. 3:9

Chaque heure volée au vacarme quotidien pour méditer la Torah est un acte de foi qui s’inscrit dans la lignée prestigieuse de cette année de repos agricole. Car en vérité, la Torah :

“Ce n’est pas une parole sans valeur pour vous : c’est votre vie !” – Deutéronome 32:47

Étudier la Torah et prier quotidiennement avec fidélité, constance et assiduité, c’est s’arracher aux idoles du productivisme. C’est dire : “Je Te fais confiance, Ô Roi des rois. Voici mes minutes les plus précieuses : elles sont pour Toi.”

L’étude quotidienne devient une forme moderne de Chémita : une mise à part régulière où l’on cesse les “activités productives” pour consacrer un espace de notre temps à Dieu.

Et Dieu répond. Il se manifeste dans l’intime. Il illumine l’esprit. Il protège. Il bénit.

Cette analogie est simple, mais puissante : comme l’agriculteur de la Torah, nous abandonnons quotidiennement une partie de notre “gagne-pain” pour honorer le Créateur par l’étude et la prière — et c’est précisément là que Dieu agit.

« Celui qui suspend son ouvrage pour l’étude et la prière sanctifie le temps et attire la Présence divine sur son champ intérieur. »

Ainsi, ce principe ne vaut pas uniquement pour les agriculteurs, ni seulement tous les sept ans. Cette pluie de grâce se déverse aussi sur chaque baal techouva [revenant à Dieu], chaque talmid [élève] fidèle, chaque âme qui réserve à la Torah un coin de sa journée, une sainte portion de son temps quotidien.

C’est un principe valable pour chacun, chaque jour : mettre Dieu en premier, sanctifier du temps pour Sa Torah, c’est expérimenter la Chémita spirituelle de nos âmes.

Une histoire vraie exceptionnelle nous aidera à ancrer ce principe spirituel fondamental.

Une simple cassette, une vie sauvée : le miracle de la sirène

Il y a des histoires que même les sceptiques ne peuvent effacer.
Car elles transpirent la main de Dieu.

Un homme d’affaires londonien, gestionnaire d’usines, assidu à l’étude quotidienne du Daf Hayomi [feuillet journalier du Talmud], décida un jour de ne pas manquer sa leçon, malgré une urgence professionnelle. Il emporta donc une vieille cassette d’un cours de Guemara enregistré… 25 ans plus tôt, à Jérusalem.

Sur la route, à bord de son véhicule lancé à vive allure, il tenta un dépassement risqué. Soudain, une sirène retentit dans l’habitacle : il se ravisa aussitôt et se rabattit… Juste avant qu’un camion gigantesque ne surgisse à toute vitesse en sens inverse.

S’il n’avait pas obéi à cette sirène, il aurait été tué.

Mais là où le frisson devient feu divin, c’est dans la source de cette sirène… Pris de stupeur, il constata que cette sirène… n’était pas un effet sonore moderne, mais un bruit réel, venant de la cassette audio enregistrée 25 ans plus tôt, à Jérusalem, lors du cours ! C’est ce jour précis, cette page précise : Dieu avait tout orchestré à l’avance pour le sauver.

“Ne l’abandonne pas, et elle te gardera ; aime-la, et elle te protégera.” – Proverbes 4:6

Une simple étude… et une vie sauvée

Voilà ce que vaut un feuillet de Torah. Voilà ce que coûte un instant d’étude. Ce n’est pas une dépense, c’est un bouclier béni.
Le ciel ne protège pas seulement l’âme dans l’au-delà. Il veille sur le corps, ici, maintenant.

« Celui qui se consacre avec fidélité à l’étude de la Torah attire la protection divine dans tous les domaines. »

Ce n’est plus seulement un miracle. C’est une démonstration de puissance. Une prédication silencieuse. Une cassette ancienne devenue messagère céleste… et jusque sur ce site web, pour toi, lecteur !

« Notre Dieu est au ciel, Il fait tout ce qu’il veut. » — Psaumes 115:3

L’étude fidèle attire le miracle : un cercle vertueux céleste

Ce que cet homme a vécu n’est pas réservé à une élite. C’est la loi spirituelle éternelle, comme l’enseigne le Rav Hassan :

« Les commandements pratiqués avec dévouement nous protègent. »

Ce n’est pas une fable pour enfants, ni un conte moderne. C’est une vérité vivante, ancrée dans les Écritures :

“Car [la Torah], ce n’est pas une parole sans valeur pour vous : c’est votre vie !” – Deutéronome 32:47

Et voici le cercle que l’on voit naître :

• Étude → Foi
• Foi → Protection
• Protection → Miracle visible
• Miracle → Foi renforcée
• Foi → Étude plus fervente

Ce n’est plus une spirale, c’est une ascension.
Chaque tour du cercle nous élève davantage vers le cœur du Père.

« Une cassette enregistrée 25 ans plus tôt, utilisée par Le Grand Chef d’Orchestre Céleste pour sauver aujourd’hui. Telle est la symphonie de Dieu. »

Ce récit est loin d’être simplement un “miracle” à admirer de loin : il révèle une dynamique spirituelle profonde. Celui qui s’attache chaque jour à la Torah, malgré les défis, manifeste une foi concrète. Et Dieu, en retour, honore cette fidélité.

Mais ce que Dieu offre à l’homme fidèle n’est pas réservé au peuple d’Israël seul. Car celui qui se greffe à la vigne du Messie entre lui aussi dans ce cercle de lumière…

Du particulier à l’universel : Israël, les nations et la Torah vivante

Un “champ” mis en repos chaque jour

Nous l’avons bien compris maintenant : ce n’est pas seulement la terre d’Israël qui est invitée au repos.
C’est chaque cœur, chaque conscience, chaque vie.

Quand un homme ou une femme décide de consacrer ne serait-ce qu’un fragment de sa journée à la Torah, il laisse en jachère son “champ intérieur” pour y accueillir la rosée céleste. Ce choix n’est jamais perdu.

“Il nous fait reposer dans de verts pâturages, Il nous dirige près des eaux paisibles.” – Psaume 23:2

L’agriculteur qui obéit à la Chémita renonce à produire pour un temps, et découvre que c’est Dieu qui fait croître.
De même, l’homme de foi qui suspend ses activités pour étudier, récolte une paix et une abondance que le monde ne peut ni donner ni ôter.

« Là où l’homme s’arrête, Dieu commence. »

Voir Dieu dans nos vies : le fruit de l’étude vivante

Lorsque l’on s’attache à la Parole avec régularité, même au prix de sacrifices, Dieu devient visible, palpable. L’œil du cœur Le contemple.

“Les commandements de l’Éternel sont purs, ils éclairent les yeux.” – Psaume 19:9

Ce que l’œil de chair ne perçoit pas, l’œil de l’âme le reconnaît. Celui qui s’attache à la Torah découvre, dans son quotidien, la main de Dieu à l’œuvre — une protection subtile, une paix nouvelle, une sagesse inspirée.

Des coïncidences deviennent des providences.
Des hésitations deviennent directions.
Des faiblesses deviennent portes ouvertes à la puissance d’en haut.

Et combien, en Israël comme parmi les nations, peuvent témoigner de délivrances, de réponses, de guérisons survenues… au détour d’un verset, d’un mot, d’un moment d’étude.

Une foi fortifiée par l’évidence

La finalité du miracle n’est pas la surprise ou la sensation. Elle est dans la transformation.

En voyant cette intervention parfaite, la foi du directeur d’usine fut intensément renforcée. Son âme sut, de manière indélébile, que son attachement à la Torah avait produit une réponse divine exacte dans le temps et l’espace.
“Dieu m’a vu. Dieu m’a parlé. Dieu m’a sauvé.”

Ce genre de foi ne s’éteint pas. Elle brûle plus fort à chaque miracle. Elle entre dans le cycle béni :

• Fidélité → Intervention divine
• Intervention → Louange
• Louange → Nouvelle fidélité accrue

C’est le secret de ceux qui, sans bruit, transforment leur vie en sanctuaire quotidien.

Du particulier à l’universel : pour Israël et pour les nations

Et maintenant, portons notre regard au loin, vers les nations appelées à la bénédiction.

Si Dieu agit ainsi pour le fidèle d’Israël, qu’en est-il des nations qui viennent s’abriter sous les ailes de la Shrina (présence divine) par la foi en Yéshoua et qui se vouent à l’étude de la Torah ?

Par la grâce de Dieu, là aussi les témoignages abondent, et les nations bénéficient des mêmes miracles…

“Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui.” – Jean 14:23

Quelle promesse ! Car le Dieu d’Israël est fidèle à Son alliance. Et par le Messie Yéshoua, les nations sont greffées à l’olivier de la promesse, recevant la sève vivante de la Torah, la faveur du Père et Ses célestes bénédictions.

« La Torah devient lumière, non fardeau, pour ceux qui l’étreignent avec foi. »

Elle n’est plus une loi étrangère, mais une sagesse incarnée. Par elle, les nations glorifient le Dieu d’Israël, non en remplaçant Son peuple, mais en s’unissant à lui.

Mais la Torah ne se limite pas à éduquer. Elle garde. Elle sauve. Elle révèle. Elle élève…
Et à travers la Chémita, Dieu veut nous apprendre une dernière leçon qu’on oublie parfois trop vite : l’essentiel, c’est Lui.

Quand la Torah devient refuge et source de miracle

La bénédiction d’un cœur mis à part : la Chémita de l’âme

La Torah ne se contente pas d’ordonner : elle révèle un chemin de bénédiction.

Paraphrasons Paul :  « Dieu se met-il en peine de la terre, ou parle-t-il uniquement à cause de nous ? Oui, c’est à cause de nous qu’il a été écrit que la septième année sera un shabbat pour la terre […] » — 1 Cor. 9:10

Le Sforno, maître exégète d’Israël, écrivait :

« Que toute cette année dénuée de travail agricole soit dédiée à Son service… comme pour le Shabbat de la création. » – Sforno sur Lévitique 25

La Chémita arrache l’homme au rythme tyrannique de la productivité et le plonge dans le silence sacré de la Présence.
De même, chaque moment consacré à l’étude de la Torah est une “mini-Chémita”, un sanctuaire dans la journée.

“Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant.” – Psaume 42:3

Chaque jour, un choix : produire ou se sanctifier

À chaque aurore, une question nous attend : va-tu bâtir ta propre sécurité, ou t’abandonner à celle du Ciel ?

Le croyant qui suspend son activité pour ouvrir un livre de Torah, c’est un homme qui a choisi la bonne part. Il ne s’agite pas, ne regarde pas avec inquiétude son compte et ses factures, mais il regarde vers son Père.

Quand nous décidons — contre toute logique utilitaire — de consacrer du temps, avec assiduité et constance, pour étudier et observer la Torah, nous posons un acte prophétique. Nous crions à Dieu : “Je Te fais confiance pour mon pain, ma protection, ma direction.”

Et en retour, le Ciel répond. Souvent de manière subtile. Parfois, de façon éclatante.

“L’Éternel ordonnera à la bénédiction d’être avec toi dans tes greniers et dans toutes tes entreprises.” – Deutéronome 28:8

Et cette bénédiction, comme un fleuve secret, inonde les lieux cachés de notre vie : nos relations, nos projets, nos combats invisibles.
Car Dieu n’oublie aucun instant offert avec amour.

Chaque étude est une graine semée dans le champ de notre âme. Chaque prière liée à cette étude est de l’eau répandue sur ce terrain fertile.
Et au temps fixé par le Maître du champ, la moisson éclatera, glorieuse et abondante.

Une protection surnaturelle pour ceux qui aiment la Parole

L’histoire de la sirène le prouve : ce n’était pas un hasard heureux, mais un rendez-vous divin minuté depuis les cieux.
Un bruit enregistré vingt-cinq ans plus tôt, à Jérusalem, retentissant au moment exact où une vie était en jeu… Qui, sinon Dieu, pouvait orchestrer un tel ballet de circonstances et d’éléments ?

« Celui qui réside dans les cieux savait d’avance ce qui se passerait 25 ans plus tard… »

À chacun qui doute, ce miracle lance un appel silencieux mais puissant :

“Fais-Moi confiance. Mets Ma Torah au centre de ta vie. Et Je prendrai soin du reste.”

Car c’est là le cœur battant de la Chémita : abandonner ce que l’on croit essentiel, pour découvrir que l’essentiel, c’est Lui.

Quand la Torah devient refuge et bouclier

“Personne ne peut les ravir de la main de mon Père.” – Jean 10:29

La Torah, loin d’être un fardeau, devient un abri. Un rempart. Une torche dans la nuit.

Celui qui, chaque jour, cherche la face de Dieu à travers l’étude et la prière, ne marche plus seul.
Il est tenu, protégé, porté. Il bâti sur du Roc. Il bâti sur Le Roc, celui constitué des paroles du Messie et de la Torah de son Père.

Et si l’ennemi s’approche, si la tempête se lève, la voix de l’Éternel précède les éclairs.
Il garde Ses enfants comme la prunelle de Son œil.
Ce n’est pas une question de mérite humain, mais de grâce, à cause de l’amour infini du Messie Yéshoua.

Le miracle de la Chémita : révélateur de la puissance divine

Ce repos ordonné n’est pas une pause vide. Il est une invitation à contempler Celui qui sauve, délivre et accomplit des prodiges.

Car le commandement de la Chémita agit comme un miroir prophétique : il révèle qui est véritablement notre source. En laissant la terre en repos par obéissance, nous laissons Dieu montrer Sa puissance et Sa gloire.

Ce repos symbolise le retour à l’essentiel, à l’humilité, à la dépendance joyeuse envers le Créateur.

“C’est Lui qui délivre et qui sauve, qui opère des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre.” – Daniel 6:27

Le monde moderne veut courir. Dieu veut que nous nous arrêtions.
Le monde exige rendement. Dieu offre repos.
Et dans ce repos… Il agit.

La foi vivante, la Torah vivante, le Messie vivant

Voici donc le secret de la vie bénie : plonger quotidiennement les regards dans la Torah vivante : « celui-là sera heureux dans son activité. » — Jacques 1:25

“Car l’amour de Dieu consiste à garder Ses commandements. Et Ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre émouna (foi).” – 1 Jean 5:3-4

Là où beaucoup opposent foi et Torah, le disciple de Yéshoua comprend que la vraie foi se révèle dans l’amour des commandements.

« Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. » — 1 Jean 3:22

Si la grâce est un fleuve, la Torah en est le lit.

Une prière pour Israël et les nations en Yéshoua

Que l’Éternel accorde à Son peuple, et à tous ceux des nations qui se greffent par l’Évangile, des temps de Chémita intérieure, pour se détacher de l’agitation, des urgences factices, et se tourner vers Sa Torah, source de vie, de paix et de miracle.

“Puisqu’il m’aime, je le délivrerai ; Je le protégerai, puisqu’il connaît mon Nom.” – Psaume 91:14

Que nous soyons trouvés fidèles dans l’étude, fervents dans l’amour, persévérants dans la prière, joyeux dans l’obéissance.

“Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !” – Matthieu 24:46

Par les mérites du Messie d’Israël, les nations ont part à la vie éternelle, peuvent goûter à la lumière de la Torah et glorifier le Dieu vivant aux côtés d’Israël, Son peuple.

N’est-ce pas là une merveilleuse nouvelle ?

Paix et bénédiction sur l’Israël de Dieu, par les mérites du Messie.

Amen vé amen !