Sans la vraie unité, pas de Messie, pas de guérison, pas de salut ! Paracha Vayera

Genèse 18 à 22

[shareaholic app= »share_buttons » id= »17769253″]

« Si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi. » (Jean 5:46)

Si on nous posait la question : dans la Paracha Vayéra, lors de la destruction de Sodome et Gomorrhe, en quel endroit Moïse a écrit au sujet de Yéshoua (Jésus) ?

Recherchons ensemble ce que Moïse a écrit du Messie et découvrons un nouvel endroit inexploré de notre sublime Paracha.

Rentrons dans la peau de ces deux disciples qui se dirigeaient vers Emmaüs et qui, discutant en chemin avec Yéshoua, eurent le privilège inestimable d’entendre le Maître des maîtres leur expliquer les Écritures comme on peut lire :

« Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait. » (Luc 24:27)

Analysons les deux premiers versets de notre Paracha :

« L’Éternel lui apparut parmi les chênes de Mamré, comme il était assis à l’entrée de sa tente, pendant la chaleur du jour. 2 Il leva les yeux, et regarda : et voici, trois hommes étaient debout près de lui. »

vayera paracha tois anges abrahamCertaines interprétations chrétiennes voient ici une allusion au concept de Trinité, Dieu en 3 personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Il n’est pas ici question de débattre de la conception chrétienne de la trinité dont il y a beaucoup à dire (par exemple, Dieu n’est pas une « personne »).

Au temps de Dieu, le sujet sera traité en profondeur, s’Il le veut bien.

La Torah écrite et les Maîtres d’Israël enseignent que ces 3 personnes sont des anges.

Nous retiendrons ici le commentaire de Rachi, qui nous donne une explication fidèle à l’Écriture, les anges pouvant être des personnes comme il est dit :

« N’oubliez pas l’hospitalité; car, en l’exerçant, quelques-uns ont logé des anges, sans le savoir. » (Hébreux 13:2). Dans ce verset, précisons que l’auteur de l’épître aux Hébreux, versé dans la tradition juive, parle ici très probablement de ces 3 anges reçus par Avraham, d’autant plus qu’il est connu qu’Avraham pratiquait l’hospitalité de toutes ses forces, son trait de caractère principal étant le Hessed (la bonté).

Ainsi, voyant de loin arriver les 3 mystérieux invités de notre Paracha, Avraham se précipita au-devant d’eux pour exercer l’hospitalité.

Également, si nous allons chapitre 19 de Genèse, nous voyons que la Torah écrite nous parle d’anges : « Les deux anges arrivèrent à Sodome sur le soir; »

Selon la Torah et l’enseignement des sages, c’est-à-dire selon « ceux à qui les oracles ont été confiés » (Romains 3), les anges sont des manifestations de la volonté divine, ils sont envoyés pour effectuer des tâches ou des missions bien spécifiques.

Par exemple, l’ange nommé Raphaël est l’ange de la guérison, et Gavriel, celui qui exécute les jugements sévères de l’Éternel sur les impies.

Sur cette partie du verset « Et voici trois hommes », Rachi explique une chose très intéressante :

« L’un pour annoncer la bonne nouvelle à Sara, un autre pour détruire Sedom, et un troisième pour guérir Avraham.

Car le même messager n’est jamais chargé de deux missions différentes (Beréchith raba 50, 2).

La preuve en est que, dans tout le présent chapitre, on parle d’eux au pluriel : « ils mangèrent » (verset 8), « ils lui dirent » (verset 9).

Il est écrit, en revanche, à propos de la bonne nouvelle : « je reviendrai vers toi » (verset 10), et au sujet de la destruction de Sedom : « car “je” ne pourrai rien faire avant que tu n’y sois arrivé » (infra 19, 22).

Quant à Rafael qui a guéri Avraham, il s’en est allé pour sauver Lot, ainsi qu’il est écrit : « lorsqu’ils les eurent conduits dehors, il lui dit : sauve ta vie ».

D’où il résulte que c’est le même ange qui les a sauvés [la mission de guérir et celle de sauver étant de même nature]. » (Beréchith raba 50)

C’est à partir de ce commentaire que nous pouvons commencer à percevoir le Mashia’h.

Rappelons en effet que de la descendance de Lot, sortira le Messie : de Lot est issue le peuple Moabite d’où provient Ruth qui engendrera le Roi David et de qui provient celui que l’Évangile nomme « Le fils de David », notre bien-aimé Messie Yéshoua !

Le Rav Raphaël Sadin, en s’appuyant sur le commentaire de Rachi, explique une chose simple, mais formidable :

Rachi nous dit que l’ange qui sauva Lot est le même ange qui a guéri Avraham. En effet, le seul ange qui avait pour mission de guérir et de sauver est précisément celui qui soigna Avraham et qui, dans le cadre de son périmètre d’intervention sauva aussi Lot.

Avraham et Lot étant tous les deux directement impliqués dans l’engendrement du Messie, l’un ayant été guéri et l’autre sauvé, nous apprenons que le Messie portera en Lui-même la dimension de guérison et de sauvetage du monde. Fin de remarque du Rav Sadin.

Le Messie, comme nul autre, est donc celui qui sauvera et guérira, ce qui apparait effectivement de manière éclatante au travers de l’Évangile.

Continuons et explorons cette notion de guérison pour en découvrir un aspect souvent oublié.

Dans la Guemara (commentaire de la Torah), le Rav Raphaël Sadin nous explique que le mot « guérison » est très souvent traduit par un mot hébreu qui fait référence à quelque chose qui circule, tel un fleuve, afin de nous apprendre que la guérison est liée à la notion de continuité, de circulation, contrairement à la maladie qui est considérée comme un arrêt de la circulation :

Un organe s’arrête, s’isole et cesse d’être en lien, en relation avec le reste du corps.

Le monde est malade du manque de lien, d’unité. Chacun se pose comme un petit monde absolu face aux autres.

L’autre devient un rival et la guerre naît, les médisances, les calomnies, les diffamations pleuvent alors…

On casse ainsi l’harmonie, la cohésion universelle du monde et c’est ainsi que la souffrance et la maladie spirituelle, morale puis physique, se propagent et grandissent dans le monde.

Ce que nous dit ici le Rav Raphaël Sadin est formidable. Comprenons cette simple, mais formidable idée au travers d’une parabole :

imaginez être dans une salle obscure et insonore, une petite lumière éclaire suffisamment pour vous laisser entrevoir qu’une main, munie d’un scalpel, s’approche dans votre direction pour vous faire une énorme entaille sur le corps.

Si vous isolez ce moment, sans aucune autre connaissance de la situation, alors la scène devient terrible et se transforme en trauma. Pourquoi ? Tout simplement parce le lien est absent, rompu, nous n’avons qu’une vision extrêmement partielle de la scène qui devient alors  souffrance et confusion.

Mais si je replace la même scène dans un contexte plus large, dans une pièce sonorisée et éclairée, alors je vois, j’entends et je comprends qu’il s’agissait, en vérité, d’un chirurgien qui s’approchait avec bienveillance dans l’objectif de m’opérer pour me sauver d’un mal grave.

Soudainement, la paix, la confiance et la joie illuminent mon coeur car le lien avec l’ensemble de la scène est rétabli, l’événement n’est plus isolé, tout devient clair, compréhensible. La situation qui auparavant était sombre et angoissante, devient maintenant une source de réconfort et d’espoir : le désagrément de l’intervention chirurgicale est temporaire, le docteur un expert, et l’issue assurée : la guérison et la vie.

La lumière et la compréhension rétablissant le lien, la même situation change du tout au tout.

Il en est de même spirituellement !

Lorsque des individus ou des groupes d’individus s’isolent pour des motifs impurs, par orgueil et par désir de domination, par soif d’honneur, etc., ils empêchent l’unité avec d’autres individus/groupes, ils contribuent ainsi à paralyser le fonctionnement du corps des croyants, bloquent la circulation de la vie, et alors le mal et toutes sortes de maux apparaissent, le discernement fait défaut et c’est le trouble et la confusion.

Pour résumer ce qui vient d’être dit, le Rav Raphaël Sadin ajoute : le concept de Messie, c’est l’individu qui est lié avec la totalité et la totalité qui est liée avec l’individu !

Ce que dit ici le Rav est fameux, et correspond en tout point aux enseignements forts et puissants du Messie en Jean 17 :

« Père saint, garde en ton nom ceux que tu m’as donnés, afin qu’ils soient un comme nous […] afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. 22 Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un,- 23 moi en eux, et toi en moi,-afin qu’ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé. »

La guérison consiste donc à rétablir le lien, le flux, la circulation, le lien, l’unité : dans le corps et l’âme de chacun en particulier ainsi que dans le corps et l’âme collective du peuple de Dieu.

Lors de son premier passage sur cette terre, le Messie Yéshoua, en guérissant corps et âmes, manifestait cette réalité qui devait s’étendre non plus à l’individu, mais à l’entité collective, c’est-à-dire au corps et à l’âme de l’assemblée d’Israël premièrement, pour ensuite s’étendre à l’humanité tout entière par le processus miraculeux de la greffe sur Israël (Romains 11).

Mais concrètement, comment atteindre cette unité, source de guérison et surtout de quelle unité parle-t-on ?

Il y a en effet la véritable unité, celle préconisée par l’Écriture et il y a la fausse unité que l’on peut qualifier en général d’œcuménisme : un mélange spirituel dont le ciment n’est plus doctrine de Dieu, mais l’iniquité et le compromis.

Sous couvert d’unité et d’amour, l’erreur doctrinale et l’idolâtrie sont placées sous la même bannière.

Mais l’Unité authentique, celle désirée par le Dieu d’Israël et Son Mashia’h, est celle où règnent l’amour, le désir de sainteté et le respect de la Torah d’Israël et du peuple juif.

Lorsque la Doctrine divine et l’amour du peuple prunelle de l’oeil de Dieu constituent le ciment d’une communauté, l’Unité véritable apparaît naturellement.

Pour tendre vers cette unité, nous devons absolument réformer nos voies et présenter au monde le vrai Messie d’Israël nommé Yéshoua : un juif fidèle observateur de la Torah et de la tradition juive, amoureux de son peuple et respectueux de ses coutumes.

Il faut faire disparaitre cette image d’un Jésus paganisé antinomiste qui aurait rejeté et abandonné le peuple juif et sa riche tradition.

Il est urgent d’abandonner les doctrines laxistes et l’esprit humaniste et libéral influencé et souillé par l’esprit de Rome et du conseil de Nicée.

Regardons maintenant un verset de notre Paracha pour qui conclura et confirmera avec beauté ce qui vient d’être dit :

« Le soleil se levait sur la terre, lorsque Lot entra dans Tsoar. » (Genèse 19:23).

Parce que Lot a été sauvé de la ruine de Sodome, et parce que de Lot sortira le Messie, la Torah nous enseigne que « Le soleil se levait sur la terre ». 

Tsoar est un mot hébreu qui signifie « insignifiant, petitesse » selon le théologien Strong. Mais aussi, Tsoar est un mot hébreu qui peut être rapproché d’un autre mot, le mot « Tsohar » (la fenêtre de l’arche de Noé).

En hébreu, ce mot Tsohar fait aussi référence à une source de lumière.

Effectivement, ce mot hébreu, selon La Torah, nous parle d’une lumière qui brille de toute sa force, comme en plein zénith ainsi que nous le lisons ici : « Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim, Si tu rassasies l’âme indigente, Ta lumière se lèvera sur l’obscurité, Et tes ténèbres seront comme le midi (Tsohar). » (Esaïe 58 : 10).

De là, nous apprenons que celui qui se fait petit à ses propres yeux (Tsoar), verra le soleil de la gloire se lever sur la terre de son cœur (Tsohar).

L’humilité attire la grâce et la faveur du Dieu vivant (Proverbes 3:34) et le coeur humble attire l’éclat du divin sur son être comme il est dit : « Quand le visage du roi s’éclaire, c’est un gage de vie » (Proverbes 16:15); un tel homme brillera de mille feux dans le royaume à venir.

C’est bien ce qu’exprime, une fois encore et avec beauté, le Messie Yéshoua :

« C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux. » (Matthieu 18)

Yéshoua, notre Messie, a incarné avec magnificence cette vérité :

Lui qui habitait dans la gloire et une parfaite sainteté auprès du Dieu d’éternité, auprès du Père, Il a accepté de descendre humblement dans les poubelles de ce monde où règnent corruption, mensonge et souffrance.

Il a abandonné la gloire et s’est abaissé à l’extrême dans le seul but de sauver notre âme parce qu’il est tout amour.

L’exemple le plus parfait d’humilité se découvre en regardant l’oeuvre et la vie du Messie.

« Le soleil se levait sur la terre, lorsque Lot entra dans Tsoar. », ou lu autrement : le processus et la lumière de la délivrance se levaient, lorsque Le Mashia’h (Lot) s’est abaissé et a quitté son rang et sa position célestes pour nous sauver !

Par son abaissement, quoique temporaire, une lumière infinie s’est levée et se lèvera, sur et dans le cœur du peuple de Dieu, comme il est dit :

« Ce peuple, assis dans les ténèbres, A vu une grande lumière; Et sur ceux qui étaient assis dans la région et l’ombre de la mort La lumière s’est levée.» (Matthieu 4:16)

« L’Éternel, leur Dieu, les sauvera en ce jour-là, Comme le troupeau de son peuple; Car ils sont les pierres d’un diadème, Qui brilleront dans son pays. 17 Oh! quelle prospérité pour eux! quelle beauté ! » (Zacharie 9)

Concluons par une question qui trouvera sa réponse, si Dieu permet, dans un futur montage vidéo inédit qui parlera entre autres, du véritable Évangile :

sacrifice ligature isaacEst-ce sans raison que nous voyons, dans la même Paracha, beaucoup d’amour et d’hospitalité qui s’entremêlent avec de nombreuses manifestations de la grande colère de Dieu et de Sa terrible rigueur ?

Nous y voyons l’hospitalité incroyable et inouïe d’Avraham dont le zèle pour servir ses invités est hors-norme (il fait préparer, par sa femme Sarah, une quantité de nourriture pour un régiment alors qu’ils ne sont que 3).

On voit aussi l’intercession célèbre et formidable d’Avraham pour éviter la destruction de Sodome.

On voit également l’incroyable et insondable amour de Dieu dont témoignent Avraham et Isaac lors du célèbre épisode de la ligature d’Isaac (le sacrifice d’Isaac).

Puis, d’un autre côté, apparaît la destruction terrible de Sodome et Gomorrhe, le renvoi d’Agar et d’Ismaël, l’ordre de sacrifier Isaac…

En somme, une Paracha qui élève le paradoxe à un très haut niveau en mêlant inextricablement la bonté extrême du don de soi et de la vie, avec la rigueur extrême de la destruction, de la rigueur et de la mort.

Pourquoi ?

Que l’Éternel, le Dieu tout bon et tout parfait, nous aide à marcher dans l’unité véritable et l’amour de l’Éternel, loin de tout orgueil et de tout esprit de parti, de domination et de malice, mais uni dans l’amour de la Torah d’Israël et du peuple de l’Éternel.

Que l’Éternel nous aide à nous rendant humbles comme les petits enfants, regardant notre prochain comme étant supérieur à nous-mêmes, sans jamais nous glorifier d’autre chose que d’avoir ce privilège inouï et incompréhensible de pouvoir connaitre et marcher avec le Créateur de l’Univers, par la connaissance stupéfiante de son Fils Yéshoua, le Messie de l’Univers.

« Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. » (1 Pierre 5:5)

Amen vé amen.

Thomas.

▼ Réagissez à cet article en laissant un commentaire ! ▼

  • Note importante relative aux articles et vidéos faisant intervenir à la fois des juifs, des rabbins, des chrétiens et des pasteurs : Si vous avez une interrogation ou une incompréhension à ce sujet, nous vous renvoyons au volet concerné qui explique en détail notre position. Cliquez ici : F.A.Q - Rencontrer Dieu
  • Note sur les commentaires sur ce site et ailleurs (YouTube, etc.) : les commentaires ne sont publiés que s'ils sont conformes à La Politique De Modération du site : Lire la politique de modération

Veuillez citer la source lors de toute copie partielle ou complète des contenus de ce site web, ainsi que le rappellent justement les maximes des pères (Pirqé Avot) : « Quiconque cite l’auteur d’une parole amène la délivrance dans le monde ». Pour le reste, c’est entre vous et Dieu qui sonde les cœurs et qui rendra à chacun selon ses œuvres.

▼ Réagissez à cet article en laissant un commentaire ! ▼

Dernière vidéo publiée :

Esaü & Edom : Un code biblique pour désigner Rome, l’Europe, la chrétienté et le monde occidental ?
Esaü & Edom : Un code biblique pour désigner Rome, l’Europe, la chrétienté et le monde occidental ?
previous arrowprevious arrow
next arrownext arrow
Shadow

Derniers articles de la zone « Blog » (billets d’humeurs, actus, etc.) :

Guerre d’Israël 5784 – Communiqué 04 : le monde entier est pire qu’un cactus, il est ‘Hamas
Guerre d’Israël 5784 – Communiqué 03 : Le retour du Djihadisme de la mort, une menace mondiale ?
Guerre d’Israël 5784 – Communiqué 01 : Appel à la mobilisation des coeurs
previous arrowprevious arrow
next arrownext arrow
Shadow

Rejoindre le canal WhatsApp du site RencontrerDieu :

Dates et horaires de la fête ou du jeûne du moment (en cours ou à venir prochainement) :

Jeûne d’Esther

Entrée le Jeudi 21 Mars 2024 à 05:16 (PARIS)
Sortie le Jeudi 21 Mars 2024 à 19:44

Fête de Pourim

Dimanche 24 Mars 2024

Dernier article écrit publié :

Comment observer les 613 commandements de la Loi de Moïse ? Est-ce possible ? Preuves scripturaires et sagesse des sages.
Comment observer les 613 commandements de la Loi de Moïse ? Est-ce possible ? Preuves scripturaires et sagesse des sages.
Shadow

Découvrez notre Plateforme d'Étude de la Torah :

Pour les convertis à Dieu qui veulent aller plus loin et étudier en profondeur la Torah d'Israël à la lumière de l'Alliance Renouvelée.


Pépite de vérité à la une actuellement :

protection dieu contre covid vaccin et complots

Nous recommandons notre partenaire, la librairie juive hébraïque Ness :

Nous recommandons notre partenaire, la librairie juive hébraïque Ness :

1 Commentaire

  1. GINETTE

    Dans cette étude où l’alliance renouvellée est mêlée étroitement à la Torah , on distingue la Loi entière , son coeur le moussar et sa structure la Torah , je me l’imagine comme un beau fruit d’Israël , si satisfaisant , comblant nos vies en nous préparant à notre vie future, comme un apprentissage, d’un devoir divin, quel sera-t-il ? l’Eternel seul le sait, et notre Maître bien aimé qui nous a dit, « je dois aller vous préparer une place » Quelle que soit cette place je l’attends avec impatience et joie ! merci Ami Thomas

    Réponse

Poster le commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Tweetez
Partagez
Enregistrer