La Loi de Dieu : source du bonheur dans le malheur – Paracha Ki Tétsé (Deut. 21:10 à 25:19)

par | Sep 1, 2017 | 10 commentaires

« Venez, mes fils, écoutez-moi! Je vous enseignerai la crainte de l’Éternel. » (Psaume 34:12)

Chers lecteurs, à chaque Paracha, son lot de bénédictions et de précieux conseils spirituels, et c’est toujours avec la même joie que nous plongeons nos regards dans la « loi parfaite, la Torah de liberté » (Jacques 1:25).

Ce seul fait est déjà un miracle en soi :

Existe-t-il un seul livre dont nous relisons les mêmes pages chaque année, et qui soit capable de s’embellir à ce point à chaque lecture, de façonner notre coeur, de renouveler notre intelligence, de nous rendre meilleur, de nous faire voir le Divin dans nos vies et de nous procurer une allégresse croissante qui semble sans borne ?

Analysons ensemble une belle pépite déposée dans le Saint Texte de la Torah.

« Lorsque tu iras à la guerre contre tes ennemis, si l’Éternel les livre entre tes mains, et que tu leur fasses des prisonniers, 11 peut-être verras-tu parmi les captives une femme belle de figure, et auras-tu le désir de la prendre pour femme. » (Deutéronome 21 :10-11)

Ici, la Torah autorise le fait qu’un enfant de Dieu puisse prendre une femme étrangère dans le seul contexte de la guerre.

Cette loi pose quelques graves questions :

Paul dans la Nouvelle Alliance, ne nous met-il pas en garde contre le fait de se marier avec des femmes étrangères en dehors du peuple de Dieu ?

Et infiniment plus important : Dieu Lui-même, n’interdit-Il pas clairement ce genre d’union en de multiples reprises dans Sa Torah ?

Et soudainement, Dieu autoriserait l’homme à prendre une femme étrangère uniquement parce qu’il est en guerre et qu’il serait attiré par la beauté d’une femme appartenant au peuple ennemi ?

Et la femme étrangère ? Ne mérite-t-elle aucune considération pour qu’on semble faire si peu de cas de ses propres sentiments ?

Aucun article ne serait assez long pour expliquer la richesse et la sagesse des enseignements que nous livrent ici les sages d’Israël pour résoudre l’énigme et le paradoxe apparent; nous en reparlerons une prochaine fois, la remarque est ici faite pour susciter la réflexion de chacun.

Revenons à notre texte. Après nous avoir donné cet énigmatique commandement de la « femme belle de figure », regardons la suite des versets :

« Si un homme, qui a deux femmes, aime l’une et n’aime pas l’autre, et s’il en a des fils » (verset 15)

Puis : « Si un homme a un fils indocile et rebelle » (verset 18)

et enfin : « Si l’on fait mourir un homme qui a commis un crime digne de mort » (verset 22)

Rachi, au sujet de la juxtaposition de tous ces versets, nous enseigne, à son habitude, des choses fabuleuses qui nous ouvrent l’accès à la pépite spirituelle dont il est question dans le titre de notre étude.

Rachi dira :

« S’il l’épouse, un jour viendra où il la haïra, et un jour viendra où il engendrera avec elle un fils indocile et rebelle.

Et le fils indocile et rebelle est mis à mort [par le sanhédrin] à cause de ce qui [ne manquera pas d’arriver] un jour, car la Tora a pénétré au plus profond de sa psychologie :

Un jour viendra où il dilapidera le patrimoine de son père et, cherchant en vain à assouvir ses passions, il se tiendra à la croisée des chemins et détroussera les passants.

La Tora dit : « Qu’il meure innocent plutôt que de mourir coupable ! » (Sanhédrin 70a à 71b)

Rachi nous explique enfin l’avant-dernier verset de notre chapitre :

« Et quand il y aura à un homme un péché justiciable de mort » : 

« Le fait que ce paragraphe fasse immédiatement suite à celui sur le fils indocile et rebelle est destiné à nous enseigner que si son père et sa mère s’attendrissent sur lui, il finira mal et commettra des crimes le rendant passible de la peine de mort devant le tribunal ».

De là nous comprenons une autre chose que fait remarquer le Rav Eliaou Hassan.

Regardons le Psaume 3 :

« Psaume de David. À l’occasion de sa fuite devant Absalom, son fils. »

En hébreu, le mot traduit ici par « Psaume » se dit ici « Mizmor » et nous parle d’un chant, d’une mélodie, d’un cantique.

La question est posée : dans une situation aussi triste, grave et dramatique que celle d’un père qui fuit devant son fils rebelle, adultère et meurtrier, comment et où David puise-t-il la force morale pour chanter un cantique ?

Bien des hommes et des femmes auraient vacillé et seraient tombés pour ne plus se relever. On se serait attendu au moins à une amère lamentation et pourtant, David semble faire le contraire.

En réalité, ne perdons pas de vue que David est un véritable adorateur de Dieu, un homme selon le coeur du Père. David aimait ardemment la Loi de Dieu, il la pratiquait avec zèle et l’observait de tout son cœur. C’est là le secret de Sa force morale.

David connaissait les fleuves d’eau vive dont parle Le Messie Yéshoua dans l’Évangile pour la simple raison que ces fleuves de vie jaillissent également de la Torah d’Israël.

Il faut bien avoir à l’esprit que David connaissait parfaitement les enseignements de la Paracha que nous sommes en train d’étudier, notamment les lois au sujet de la femme « belle de figure » dont parle notre nos versets ainsi que les commentaires associés qui était connu de lui.

N’oublions pas que le commentateur Rachi retransmet fidèlement les enseignements qu’il a lui-même reçus de ses maîtres, dont plusieurs étaient très certainement connus du temps de David en raison de la transmission orale, effectuée de génération en génération, de maître à élève, depuis l’époque du don de la Torah sur le mont Sinaï.

David savait donc fort bien que tout homme qui, en guerre, prendrait cette femme étrangère parce qu’elle est « belle de figure » finirait par avoir un fils rebelle qui lui causera beaucoup de chagrin.

David savait aussi que ce fils rebelle, s’il n’est pas sérieusement corrigé, finirait par devenir un meurtrier pour au final trouver lui-même la mort.

Or, qui est Avchalom ? Il n’était autre que le fils que David eut avec Maaca. Et qui est Maaca ? La fille de Talmaï, roi de Gueschur, un des rois des peuplades étrangères contre qui Israël était en guerre.

Maaca, épouse de David, mère d’Avshalom, était donc cette femme « belle de Figure » dont nous parle la Torah.

Comme l’explique le Rav Eliaou Hassan, David savait donc que cette situation apparemment tragique dans laquelle il se trouvait – être en fuite devant son fils rebelle – n’était que le résultat presque obligatoire, inévitable et immuable de du mécanisme spirituel décrit dans notre Paracha au sujet de celui qui prend une femme parce qu’elle est « belle de figure » :

« Voici notre fils qui est indocile et rebelle, qui n’écoute pas notre voix » (Deutéronome 21:20).

Les lois de la Torah sont parfaites et comme le prophète le dit : Dieu veille sur Sa Parole pour l’exécuter.

Dans le Psaume 3, bien que David fuyait devant son Fils Avchalom, il était dans l’incapacité de se lamenter : il était au contraire en train d’adorer; la réaction de David s’éclaire :

David était en train d’expérimenter, de voir et de vivre à la perfection l’accomplissement de la justice divine et de la justesse des mécanismes spirituels que Dieu a mis en place dans Son monde.

David pouvait contempler à quel point les lois spirituelles annoncées par la Torah sont parfaites comme il est dit :

« Les jugements de l’Éternel sont vrais, ils sont tous justes. » (Psaume 19:10)

Ce constat et cette réflexion l’ont rempli d’une profonde euphorie au point de le conduire à adorer L’Éternel son Dieu au lieu de se lamenter.

Et c’est ainsi qu’un cantique sortit du fond de son coeur lorsque les yeux de son esprit s’ouvrirent et contemplèrent la sagesse, l’intelligence et la justice divines qui s’accomplissaient sous ses regards.

Oui, les lois de l’Éternel sont parfaites et véritables, elles réjouissent le coeur.

De cette analyse du Psaume 3, nous pouvons en retirer plusieurs belles et grandes leçons utiles pour notre édification et notre sanctification.

Regardons plus en détail quelques raisons capables d’expliquer cette joie profonde que David expérimentait en un si sombre et tragique moment :

1) L’amour de David pour Dieu est tel qu’il se préoccupait beaucoup plus de l’honneur d’HaShem que de son propre honneur.

En tant que roi choisi par Dieu, sa situation désastreuse aurait pu être une terrible cause de profanation de Son Saint Nom !

Et c’est cela qui préoccupait le plus le Roi David.

Beaucoup parmi le peuple auraient pu se dire :

« Comment Dieu qui a choisi David, peut le laisser dans une si tragique situation ? » ou encore : « Comment un si grand Dieu a pu faire une si grande erreur en choisissant un tel homme pécheur qui se fait poursuivre par son propre fils ? » !

Mais en vérité, David tressaillait de joie, fort bien conscient qu’en raison de son épreuve, le monde saura et comprendra qu’en réalité, la cause profonde de cette situation ne fait au contraire que révéler l’éclatante justice de Dieu :

il était précisément en train de récolter le fruit prophétisé par la Torah : tout homme qui prend une femme étrangère parce qu’elle est belle de figure aura un fils rebelle et s’il le laisse vivre, ce fils deviendra un meurtrier et sera lui-même tué.

Tout s’est accompli à la lettre. David était donc très joyeux, car il comprenait que le nom de l’Éternel ne pourrait pas être blasphémé à cause de cette situation. Il savait que cela tournerait à la Gloire de Dieu.

Il savait qu’un grand bien et un beau témoignage allaient sortir de cette tragique situation et que Dieu finirait au contraire par être exalté et glorifié ! Quelle noble pensée ! Puisse le Dieu d’Israël nous accorder une telle disposition de coeur !

2) Dieu, une fois encore, a ouvert les yeux de David pour lui faire contempler la précision scientifique de Ses lois, de Sa Torah et de Sa justice parfaite : une telle chose procure effectivement une joie parfaite.

Dans son malheur, David tressaillait d’allégresse d’avoir la grâce de voir avec les yeux de sa conscience l’oeuvre et la justice divines s’accomplir sous ses regards.

Quiconque a déjà vécu un événement semblable – c’est-à-dire voir avec les yeux de sa conscience la providence et l’accomplissement certain de la justice de Dieu – connait ce tressaillement intérieur qui résulte d’une joie si profonde qu’elle pousse l’homme au chant de louange à la gloire de Dieu !

C’est ainsi que ces prières de David furent également exaucées :

« Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les merveilles de ta loi ! » (Psaume 119) et encore :

« Enseigne-moi, Éternel, la voie de tes statuts, pour que je la retienne jusqu’à la fin ! ».

En cette occasion, Dieu lui a effectivement ouvert les yeux et l’enseignement de Ses voies par une telle expérience, restera en effet retenu et gravé dans son coeur.

Loin de se plaindre, David a glorifié Dieu. Cette attitude de David est un signe éclatant de son coeur repentant.

David comprenait avec clarté à quel point « Les jugements (Mishpat) de l’Éternel sont tous justes. » (Psaume 19 : 9) et David vivait également avec force ce splendide verset :

« Car le jugement (Mishpat) sera conforme à la justice, Et tous ceux dont le coeur est droit l’approuveront. » (Psaume 94 : 15)

La droiture de son coeur a approuvé le jugement divin et ses genoux se sont pliés devant la grandeur du Roi de tous les rois.

Toutes ces choses ont pénétré le coeur du Roi David et, ce qui aurait du être une triste lamentation capable de précipiter au suicide un coeur vide Torah, s’est transformé pour David en un chant exalté, car son coeur était saturé de la Parole de Dieu et de la connaissance de Ses lois dont il faisait ses délices nuit et jour.

Ainsi, nous comprenons maintenant avec précision pourquoi David se met à chanter pour Dieu alors qu’il est poursuivi et menacé de mort pas son propre fils.

À ce moment-là, aux yeux du monde, David était considéré comme le plus malheureux, mais David était en réalité en train de contempler avec joie la magnificence de Son Dieu, Sa justice, et c’est avec un cantique qu’il recevait la correction de Son Père qui est dans les cieux, conscient des bontés de l’Éternel et heureux de recevoir Son instruction.

Au sein du sombre malheur, David contemplait la lumière de Dieu et son obscurité fut dissipée : il vivait pleinement dans toutes les fibres de son être ce verset :

« Je te louerai dans la droiture de mon coeur, En apprenant les lois (Mishpat) de ta justice. » (Psaume 119 :7)

Un autre enseignement et non des moindres est celui-ci : si nous apprenons à nous réjouir dans les épreuves, conscient et confiant que tout ce que Dieu fait est pour notre bien et pour notre instruction, alors les ténèbres se changeront en lumière et la montagne deviendra une plaine, car une telle attitude et chérit dans les cieux et suscite instantanément une immense miséricorde comme il est dit :

« Yéshoua fut dans l’admiration, et il dit à ceux qui le suivaient: «Je vous le dis en vérité, même en Israël je n’ai pas trouvé une aussi grande foi … Puis Yéshoua dit au centenier : Va, qu’il te soit fait selon ta foi. Et à l’heure même le serviteur fut guéri. » (Matthieu 8:10)

Cette pépite de la Torah que nous venons de voir ensemble ouvre un large horizon de méditations et de réflexions spirituelles.

Nous y apprenons la cohérence parfaite et scientifique de la Bible. Nous y voyons aussi à quel point David aimait Dieu, prêt à se réjouir dans le malheur en constatant la fidélité et la fiabilité totale et absolue de la Torah du Maître de tous les maîtres.

David était également très joyeux d’apprendre que le nom de Dieu ne serait pas profané à cause de sa mésaventure, mais qu’au contraire, Son Grand Nom s’en trouverait davantage sanctifié.

Ce qui aurait pu être une occasion de chute et de blasphème pour plusieurs s’est transformé en sujet de gloire et de sanctification du nom Divin grâce à cette attitude d’amour que David sut garder dans l’épreuve par égard au Dieu vivant.

Mais aussi, David a appris la crainte de l’Éternel : ce qu’un homme sème, il le récoltera tôt ou tard.

Aussi, nous pouvons aisément percevoir combien il est important d’étudier la Torah, car ainsi, Dieu nous ouvrira les yeux du coeur dans l’épreuve, et à l’instar de David, il nous fera la grâce de comprendre Ses voies.

Alors, comme David, nous chanterons de joie à la gloire de Dieu, et la vallée des larmes se changera en ruisseau d’allégresse.

À force de persévérance dans l’étude de la Torah, à mesure que nous nous imprégnons du livre de la Vie, plus aucune situation ne nous laissera dans le trouble et dans la confusion.

Tout deviendra clair et limpide, nous percevrons la Main du Seigneur et notre confiance sera telle que, même si notre compréhension des voies de Dieu est parfois difficile, par notre assurance que « tout est pour notre bien », les épreuves et nos chutes les plus terribles se transformeront en élévation et en occasion de louer l’Éternel.

L’angoisse, le trouble, la peur, le doute et la confusion proviennent d’un manque de Lumière. Lorsque la Torah de Dieu illumine notre coeur, toutes les situations deviennent claires et si elles échappent à notre intellect, la confiance en Dieu logée dans notre coeur nous gardera, loué soit-Il.

Que cette méditation puisse porter un bon fruit de vie et de paix dans nos coeurs et nous donner davantage de zèle pour, avec David, étudier la Torah, en fait nos délices et contempler les merveilles du Roi des rois, l’aimer de toutes nos forces, suivre Ses lois parfaites et craindre Son Redoutable et Honorable Nom.

C’est assurément ici Sa volonté : que nous étudions et pratiquions Sa Loi, dans la foi au Fils de Dieu, notre Puissant, Fidèle et Juste Messie Yéshoua, que Son nom soit élevé sur toute la terre, car c’est en Lui et par Lui que nous avons un tel accès auprès du Père, ne l’oublions jamais.

« Oui, L’Éternel est grand et très digne de louanges, Et sa grandeur est insondable. […] Il est redoutable par-dessus tous les dieux; » (Psaume 96:4, Psaume 145:3).

Dans le monde croyant, chrétien ou païen, une foule de séminaires de guérison intérieure, de relation d’aide, etc., existe, car une grande souffrance morale, physique et spirituelle paralyse un grand nombre.

Dans ces séminaires et ces rencontres, tout n’est pas forcément mauvais et plusieurs peuvent même y trouver secours et réconfort, mais hélas, cela ne dure pas et il arrive fréquemment que ceux qui les animent, s’ils ne sont pas complètement athées et réfractaires à toute idée de Dieu, ils iront (pour une partie du monde chrétien) jusqu’à déclarer caduque la loi de Dieu et, en tordant de nombreux textes des Évangiles ou des épîtres pauliniennes (pire encore s’ils sont athées), certains useront de leur bouche pour s’attaquer avec véhémence à la loi de Moïse et à tous ceux et celles qui observent la loi de l’Éternel !

Nulle aide sérieuse et durable ne peut venir de tels endroits.

Et, pris aux pièges de telles doctrines et de telles influences, c’est ainsi que des foules d’âmes n’ont plus d’autres choix que de se confier en ces hommes au lieu de se réfugier dans le Rocher de la Torah !

Cette autre profanation du nom de Dieu est heureusement sur le point de disparaître, pour la seule gloire de Dieu comme il est dit :

« Il est temps que l’Éternel agisse : Ils transgressent ta loi. » (Psaume 119:26)

En vérité, nul besoin de courir de séminaire en séminaire, de prophète en prophète et de prendre appui sur « le bras de la chair » en multipliant les réunions de guérison, de relations d’aide, etc.

Comme dirait le prophète Jérémie : « Pourquoi mêler la paille au froment ? dit l’Éternel. » (Jérémie 23:28) ? Ou pourquoi « se creuser des citernes, des citernes crevassées, Qui ne retiennent pas l’eau. » (Jérémie 2:13) ?

À quoi bon chercher de l’aide en dehors de la Torah de Dieu ? Fuyons ceux qui, en annulant la loi divine, se prosternent devant l’esprit d’Antiochus Epiphane, ce tristement célèbre impie en chef, et farouche ennemi de la loi de Dieu !

Prions l’Éternel pour qu’il nous conduise dans Les chemins lumineux de Sa Loi qui « restaurent l’âme » (Psaume 19) et non dans les sentiers arides frayés par les hommes.

Beaucoup cherchent le bonheur et la guérison intérieure ! Dieu la donne sans détour et avec simplicité:

« Heureux tout homme qui craint l’Éternel, Qui marche dans ses voies ! » (Psaume 128).

Or, « la voie de l’Éternel », c’est « la Torah de leur Dieu » (Jérémie 5:4). Et David, en suppliant Dieu de l’éloigner de toute voie du mensonge dira avec raison une prière que nous devrions tous faire : « accorde-moi la grâce de suivre ta loi ! » (Psaume 119:29)

À bientôt pour d’autres dégustations, et excellente méditation devant Celui qui scrute les reins et les coeurs de tout homme !

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10 Commentaires

  1. GINETTE

    Ils ont tout dit , juste une réflexion me vient à propos de la femme belle de figure, comment le tueur de son mari ou fiancé pouvait’il croire qu’elle pourrait l’aimer ? même après 30 jours, la mémoire est plus longue que cela ? ginette

    Réponse
  2. issia

    amen amen amen merveilleux

    Réponse
  3. Berjamin

    Merci infiniment pour cette étude (et toutes les autres, d’ailleurs !) très éclairante.
    C’est vrai, on se régale….
    Quelqu’un a dit un jour, lors d’un cours, qu’en Gématria, le mot gan : jardin, en hébreu (faisant référence au Jardin d’Éden)
    vaut 53. C’est exactement le nombre de parashiot (ou péricopes) que contient la Torah.
    Ce qui revient à dire qu’étudier la Torah c’est comme si l’on se promenait dans le Gan Eden…..

    Je prie l’Éternel qu’Il te bénisse abondamment ainsi que ton équipe, et qu’Il vous donne la force et le courage d’aller de l’avant, afin que le plus grand nombre se promène dans ce jardin des délices, qu’est la Torah.

    AMB.

    Réponse
  4. Elisabeth

    Merci beaucoup Thomas!!! Pense-tu que cela est valable du sens inverse aussi? C’est-à-dire « l’homme beau de figure »? Car si c’est le cas, je crois que cela s’applique pour moi et je glorifie Dieu pour cela. En effet, j’ai trouvé mon mari « beau de figure » et nous avons un fils difficile.
    Shalom

    Réponse
  5. Brigitte DESENCLOS

    Merci Thomas pour, ainsi que vous l’écrivez, « cette excellente dégustation ». J’ai retrouvé Dieu en février 2015 et je vis actuellement mon désert spirituel, mais quel désert ! une merveille, un délice, un régal, apprendre encore et encore sur Notre Dieu et le vivre 24 h sur 24 est devenu ma vie et dès que j’ai l’opportunité d’en apprendre plus sur Ses Ecritures, je suis encore plus dans son amour. Quelle merveilleuse vie et quelle merveilleuse transformation ; je souhaite vraiment du fond du coeur que plus d’êtres reviennent à Dieu pour enfin connaître le véritable amour, la paix, la joie et le bonheur en continu. Merci encore.
    Brigitte

    Réponse
  6. Guéguen olivier

    Merci Thomas, il fut un temps quand moi aussi au sein des parcours ALPHA j’ai cherché la guérison. Ce n’est qu’en étudiant l’hébreu biblique afin de comprendre véritablement le sens des mots que j’ai compris l’indicible bénéfice de cette étude personnelle. Cette étude m’a fait fuir mon église (catholique) et a raffermi ma foi. Dans ma conscience tout est devenu plus vrai et enrichissant. Non, pas besoin de recourir à des séances de renouvellement qui sont en effet dirigées par des personnes dont on ne connaît rien de leur parcours et qui d’ailleurs se gardent bien de nous en faire part. Par contre afin d’approfondir ma foi j’écoute chaque semaine l’étude des parashot de Beit Yeshoua de Belgique ( https://youtu.be/dEFGEVSXhj8), je te transmets le lien afin que tu puisses me dire ce que tu en penses si tu le connais.
    Merci thomas, je prie l’Eternel de t’inspirer pour ton œuvre.

    Réponse
  7. PLANCKEEL

    Très belle lumière que tu me donnes par cette étude concernant la femme belle de figure ! je n’ai jamais fais le parallèle avec David haMelekh, je comprend maintenant, je me parlais encore hier soir avec mon épouse de cette femme étrangère : qu’est ce que notre Maître veut nous apprendre par cette femme belle de figure ?
    Tout ce qui nous arrive en bien ou en mal est toujours le fruit de nos actions, on oublie trop souvent qu’HaShem est vraiment plein d’amour ce qui est vrai, mais qu’il est aussi juste et redoutable! je l’ai vu dans ma vie, j’en ai les séquelles, son amour m’a fait connaître la Torah , c’est merveilleux ! une source inépuisable d’enseignements.
    Sois bénis

    Réponse
  8. Mireille EMAIN

    Merci Thomas pour cette très bonne étude. Oui, combien nous aimerions voir tous nos bien-aimés frères et soeurs revenir à la Thora, à la vérité !! Hachem connait les coeurs .A nous de diffuser les vrais messages !
    Shalom
    Mireille

    Réponse
  9. Thierry Wasserfallen

    Alleluia ! Oui, Gloire à D.ieu ! Car Il est, Il était et sera à jamais. Oui, il veille sur sa parole pour qu’elle s’accomplisse. Merci pour cette étude absolument magnifique (comme les autres d’ailleurs).

    Réponse
  10. Bernardini

    Bonjour Thomas, je suis d’accord avec toi puisque tu dis ce que dit La Parole dit. J’ai été aussi dans cette recherche de prophètes d’enseignants de réunions aussi je ne veux pas juger, mais Dieu m’a fait la grace , par son Esprit de chercher à le connaitre Lui par le moyen de sa Parole et quand je ne suis pas trop au top, je vais puiser à la Source : Yeshoua comme la Samaritaine a du faire aprés sa rencontre avec Jésus. Merci pour cette étude, j’ai bien aimé. Shalom
    Marie-Rose

    Réponse

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