Comment vaincre la mort ? Dieu nous en montre le chemin

par | Jan 7, 2012 | 3 commentaires

Woody Allen, le réalisateur bien connu a dit un jour :

« Tant que l’homme se saura mortel, il ne sera jamais vraiment décontracté ».

Voilà un constat qui frappe par son réalisme. La plupart d’entre nous refusons de penser à la mort chaque jour, mais elle arrive à grands pas.

Un homme a dit un jour : « La souffrance et la mort pourraient bien être le mégaphone par lequel Dieu essaie de se faire entendre d’une humanité sourde et plongée dans les ténèbres. »

Aucun homme ne peut éviter l’échéance fatale et tous sont confrontés au sombre ennemi de la mort. Mais La Bible fait une promesse inouïe pour ceux qui s’attachent à Dieu : « Je les rachèterai de la puissance du séjour des morts, Je les délivrerai de la mort. O mort, où est ta peste ? Séjour des morts, où est ta destruction ? » – Osée 13.14

Notre bien le plus précieux, notre vie, nous sera tôt ou tard ôté. Dès lors, les moments de bonheur, court ou long, ne sont-ils pas que des instants volés dans une situation de survie ? Comment être vraiment heureux face à la puissante fatalité de la mort qui prendra chacun ?

Cette situation de malaise se vérifie dans les hôpitaux quand, la médecine parvenant aux limites de ses possibilités, les soignants se trouvent devant un choix difficile à faire : celui de l’acharnement, ou celui de l’abandon…

Dans ces moments de grand désarroi où la vie semble ne pas peser plus « qu’un souffle au creux d’une balance», quand la science et l’affection des proches se révèlent impuissantes, face au désespoir ou au fatalisme.

On comprend pourquoi beaucoup refusent de regarder cette réalité en face : cette sombre vérité nous écrase et l’inconnue de la mort en terrorise plus d’un.

Une seule alternative se présente qui se révèle si douce à la pensée et à l’âme : c’est le recours à Dieu qui seul, est plus grand que la vie elle-même. Partez du constat que Dieu existe et laissez votre âme aspirer à la seule chose qui ait un sens véritable :

Dieu est le seul à venir apporter une lumière d’espérance merveilleuse dans les plus épaisses ténèbres de la mort. Sans Dieu, la perspective de la mort peut rendre fou et désespéré quiconque commence à y réfléchir sérieusement.

Du problème individuel, aux luttes internationales, la seule espérance qui tiennent la route et qui soit légitime, est celle de Dieu, une espérance pour la vie et pour l’au-delà. Là où il n’existe pas de réponse au drame de la mort, il est inévitable que le désespoir et l’absence d’un but ultime rongent la vie.

L’un des refrains les plus fréquemment entendus dans la bouche de ceux qui ont atteint les plus hauts sommets de la réussite, c’est celui du vide qui continue de hanter leur vie malgré tout leur succès. Il y a aussi le refrain du désespoir face à la mort qui viendra leur enlever les richesses éphémères accumulées ici-bas.

On se souvient peut-être d’Aristote Onassis, le célèbre armateur grec, qui fut un des hommes les plus riches du monde. Un journaliste a écrit à son sujet :

« Aristote est mort à Paris à 69 ans. Sans doute, bien des gens l’ont envié pour ses richesses et sa puissance. Mais à quoi cela lui sert-il maintenant ? Il a dû lui-même confesser que son existence et tous ses efforts se terminaient sur un échec. Au début de la maladie qui devait l’emporter, il a confié à un ami :

« J’ai été, en fait, une machine à faire de l’argent. On pourrait croire que j’ai passé la vie dans un tunnel d’or, le regard fixé sur la sortie qui me conduirait à une totale satisfaction et au bonheur. Mais il n’y a pas de fin à ce tunnel. Il ne reste rien après la mort ».

Un tunnel qui n’a pas de fin. On n’y avance, joyeux, insouciant, on pense ne pas avoir besoin de Dieu, et plus on avance, plus on s’enfonce dans la nuit pour s’apercevoir enfin qu’il n’y a pas d’issue pour en sortir. La mort viendra chercher chacun d’entre nous ainsi que tous nos proches et peu importe ce que fut notre vie, elle prendra fin et nous terminerons seuls face à la mort.

La mort engloutira tous les espoirs et tous les souvenirs joyeux ou non de la vie de chacun. La mort est un ennemi trop fort pour l’homme. C’est le sujet de cette vidéo qui, après avoir dressé ce constat lucide quant à la mort, parle de l’unique moyen de pulvériser cet adversaire.

La Bible parle de la mort comme d’un ennemi. Cela signifie que quand on dit : « la mort fait partie de la vie », ce n’est pas vrai, c’est une fausse consolation et un mensonge.

La Bible nous dit que le dernier ennemi, la mort, sera détruit un jour. Pas par la science, qui même dans ses utopies transhumanistes, ne peut que prolonger l’existence de quelques années. Dieu seul peut détruire ce redoutable opposant à la vie.

Songez à la simplicité de cette assertion :

Si la mort est pour l’homme un ennemi, et avec elle, tout ce qui menace sa vie (la liste est longue…), c’est parce que Dieu a cessé d’être pour lui un ami.

Avoir Dieu pour ami… Et certainement l’expérience la plus extraordinaire qu’un homme puisse faire sur cette terre. Si extraordinaire, que certains sont tentés de sourire comme s’il s’agissait d’un rêve irréalisable. Continuez donc de sourire, car ce rêve est réel et il est à porter de votre main.

Dans ce modeste article, nous n’invoquerons pas toutes les preuves très nombreuses qui accréditent et certifient l’existence du Dieu de la Bible, des rubriques dédiées sont consacrées et nous vous y renvoyons au besoin.

La Bible nous laisse entendre qu’il est possible que Dieu soit avec nous et pour nous. Et elle fait simplement remarquer que si Dieu lui-même nous devient favorable, aucun ennemi ne pourra l’emporter sur nous, pas même la mort.

Que faut-il donc faire ? C’est précisément à ce moment qu’intervient la bonne nouvelle que Dieu annonce à tous les hommes. Cette bonne nouvelle s’appelle l’Évangile et c’est elle que le Messie, il y a plus de 2000 ans, a ordonné à ses suiveurs de diffuser pour le bien d’une humanité souffrante et trompée par les mensonges de l’homme et du diable.

Oui, l’Évangile est une bonne nouvelle, la plus merveilleuse de toutes. Ce n’est pas une religion ; mais si nous voulions pourtant l’appeler ainsi, il faudrait ajouter que, de toutes, c’est la seule qui puisse se résumer en quelques simples : pleine manifestation de Dieu sur terre parmi les hommes.

Ce qui fait la spécificité de l’Évangile, c’est qu’il révèle que Dieu aime à ce point Sa créature que, pour la sauver de la misère dans laquelle elle s’est mise toute seule, il n’a pas hésité, dans un sens, à se dépouiller d’une partie de Ses attributs divins pour se manifester en chair aux hommes : c’est ainsi que cet illustre personnage nommé Jésus (Yéshoua en hébreu), connu sous le nom de « Fils de Dieu », est né d’une femme, comme chacun des humains, de façon à en être tout proche, à partager leur misère, leur faiblesse physique…

Il a eu faim ; il a eu soif, il était fatigué. Il a même été tenté ; mais contrairement à tous les humains de l’histoire, lui n’a point succombé à la tentation ni au péché. Il n’y avait aucune faute en lui.

Ses contemporains l’on vu vivre une vie parfaite, une vie de don de soi pour les plus petits. Ils l’ont vu guérir des malades, délivrer des gens possédés de démons, commander à la mer et au vent, marcher sur l’eau. La réalité, la puissance, l’impact et la portée des miracles qu’il accomplissait pour soulager  et sauver les hommes de leur misère furent tels que de nombreuses traces et preuves existent aujourd’hui encore dans la littérature historique la plus fiable.

Deux fois ils l’ont vu nourrir des milliers d’hommes et de femmes avec tout juste quelques misérables petits pains et quelques poissons. Et ils n’ont cessé de se demander : « qui donc est celui-ci pour rendre la vue aux aveugles, faire parler les muets, être obéit des éléments déchaînés… ? »

Ils se sont dit qu’il devait être un grand prophète, et même peut-être le Messie promit depuis si longtemps par les prophètes. Mais, même après l’avoir vu ramener des morts à la vie, dont un certain Lazare décédé depuis trois jours, même ses apôtres, les plus proches de lui… Oui, même eux n’ont pas vraiment compris qui il était, hormis durant quelques instants de lucidité trop passagers !

Aussi se trouvèrent-ils tout tristes, déconfits, déconcertés, quand il fut crucifié et mis dans un tombeau. Il a fallu que Jésus (Yéshoua) leur apparaisse vivant, trois jours après, pour qu’ils se souviennent qu’en même temps qu’il leur parlait de sa mort, Jésus leur annonçait qu’il sortirait vivant du tombeau.

Alors, tout cela étant devenu réalité, plus aucun doute n’était possible, il était bien Dieu manifesté parmi les hommes, venu subir la mort pour communiquer la vie à tous ceux qui croiraient en lui.

Mais la grande question se pose : Pourquoi Jésus est-il mort ? Pourquoi a-t-il tant souffert ?

Pour répondre à cette question essentielle, il nous faut intégrer que le but suprême de sa venue sur terre fut de nous amener à Dieu ! Mais quel était l’obstacle ? Nos péchés, bien sûr ! Notre égoïsme, notre impureté, notre haine, notre cupidité, notre mesquinerie, notre orgueil, et toutes les autres fautes qui entachent nos vies et qui empêchent le monde de tourner.

Ces péchés s’élevaient comme un grand mur entre nous et Dieu. Nous ne pouvions voir de l’autre côté. Nous n’étions même pas sûrs qu’il y ait un autre côté, et qu’il ait quelqu’un de cet autre côté. Car nos fautes, dit le prophète Ésaïe, placent un écran spirituel entre nous et Dieu et cet écran obstrue  véritablement notre perception du divin :

« Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face » (Esaïe 59:2)

Mais Jésus a souffert sur la croix pour abattre ce mur de péchés. Il y est parvenu en acceptant que le mur tombe sur lui. Lui, le juste, a pris notre place, à nous les injustes ; il a payé notre dette, porté notre fardeau, purgé notre peine.

Il l’a fait pour que nous puissions être pleinement pardonnés par Dieu, sans que rien ne porte atteinte à sa justice, justice qui ne pouvait pas passer sur nos péchés, car tout comme la bonté est inhérente à la nature de Dieu, sa justice aussi comme le dit le verset en Exode 34:7 : « Dieu ne tient point le coupable pour innocent ».

Pour que le pardon divin soit parfait, la Justice divine devait aussi être satisfaite et seul un parfait innocent candidat volontaire pour prendre sur Lui la sanction qui nous revenait pouvait satisfaire la justice divine. Ce candidat est le Messie Yéshoua (Jésus).

Il suffit de recevoir Jésus dans sa vie par la foi pour être pardonné et être déclaré justifié devant Dieu et commencer à expérimenter une nouvelle vie surnaturelle avec Dieu qui commence par un changement dans le coeur. Jésus m’a-t-il aimé personnellement ? Oui, sa croix le prouve. Il s’est donné à la mort pour toi, pour moi, pour nous tous.

Mais voilà, peut-être faites-vous partie de ces personnes qui peuvent répliquer : « tu me parles tout le temps d’un sauveur, mais je n’ai que faire de quelqu’un qui paie à ma place. Si j’ai fait quelque chose de mal et s’il y a un Dieu, je répondrai moi-même de mes actes devant lui ».

Devant une telle pensée qui paraît légitime, il faut bien faire attention. Lorsque tu commets des fautes, la justice humaine te punit. En France, tu serais jugé selon le droit français, en Angleterre selon le droit anglais, mais devant Dieu tu seras jugé selon le droit de Dieu.

La justice de Dieu est bien plus forte que celle des hommes. Et que dit-il, ce droit de Dieu ? Il dit que personne n’est juste, pas même un seul. Il dit que dès notre jeunesse, nos pensées sont mauvaises et tournées vers le mal. Il dit que même notre justice est comme un vêtement souillé. Il dit que l’on est tous pêcheurs et privés du ciel. Il suffit de regarder notre monde pour s’en convaincre. Pourquoi notre cœur est-il si malade ? C’est la conséquence de notre rejet de celui qui est la source de la vie. Le poison du mal a infecté le coeur de toute l’humanité.

Par exemple, qui peut prétendre avoir aimé son prochain comme lui-même ? Notre Dieu, dans sa justice, devait nous condamner à cause de nos péchés, et de notre nature corrompue. Mais voilà, à cause de son amour et pour satisfaire sa justice, il a envoyé son Fils Yéshoua, pleine manifesté de Dieu sur terre, et d’une certaine façon, Dieu s’est livré lui-même en rançon pour tous.

C’est le grand mystère de l’incarnation : Dieu le Père qui devient Dieu le Fils parmi les hommes tout en restant Dieu le Père dans le ciel. Il n’y a que Dieu pour réaliser une telle prouesse !

Par le sacrifice de Jésus et par sa résurrection, la mort a été engloutie, elle a perdu son aiguillon nous dit la Bible. Un des trésors impérissable d’un chrétien, c’est d’avoir dans le coeur cette conviction sûre et certaine que l’affirmation biblique, affirmant que rien ne pourra le séparer de l’amour de Dieu, pas même la mort, est pour lui.

Mais cette foi n’est pas chimérique, aveugle et sans effet palpable. Les miracles de la puissance de Dieu dans la vie de celui qui place sa foi en Jésus sont nombreux et réels, car Jésus et bel et bien vivant, ressuscité, au ciel à la droite de Dieu, et il envoie son Esprit à quiconque le reçoit comme Sauveur et Seigneur. La faveur de Dieu est sur la vie de quiconque se repent de ses péchés, reconnait sa nature pécheresse et croit en cette bonne nouvelle, tout en étant décidé de poursuivre le bien en cheminant désormais auprès de Dieu et en découvrant ses merveilleux enseignements.

Chers lecteurs, vous avez lu la bonne nouvelle. Dieu sauve celui qui croit au Seigneur Jésus. Quand je reçois une bonne nouvelle, je la crois et je m’en réjouis. Ou alors je ne la crois pas, et elle me laisse froid. « Croyez l’Évangile » : c’est la parole du Seigneur rapportée par les évangélistes (Matthieu, Marc, Luc, Jean) qui ont écrit ces quatre livres de la Bible concernant la personne et la vie de Jésus.

Il est le fils de Dieu, il est aussi l’homme parfait, plein de grâce, qui a répandu bien fait sur bien fait. Croire l’évangile, c’est croire en Jésus mort pour nos péchés, croire en son triomphe sur la mort par sa résurrection. J’ai accepté qu’il a été mon substitut en prenant à la croix la condamnation que je méritais à cause de mes péchés. Maintenant, Dieu donne gratuitement une place dans son ciel à tous ceux qui croient, car il en a fait ses enfants bien-aimés. Rien de moins !

C’est ce que ce Prince de la paix a déclaré : « La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. » (Jean 6:40)

Ce dont l’homme a besoin, et ce que Jésus lui propose, ce n’est pas un christianisme d’imitation qui consisterait à calquer sa conduite sur celle d’un de ses disciples, si fidèle soit-il. Le christianisme authentique résulte du changement intérieur que produit chez un homme la rencontre personnelle avec le Christ (Messie).

Lorsque l’idée fait place à une personne et que l’homme comprend qu’il est vraiment pécheur et loin de Dieu, son coeur s’en retrouve bougé et changé. Alors l’homme comprend la nécessité d’un sauveur et peut comprendre l’amour de Dieu et sa justice dans l’acte incroyable qu’il a accompli en Jésus sur la croix.

Chacun peut alors décider de demander pardon pour ses fautes, de se tourner pleinement vers Dieu, et de recevoir Jésus dans son cœur. Cette foi amène à une transformation de jour en jour dans le cœur de celui qui croit. Cette foi-là amène celui qui croit à agir par conviction et non par religion.

La vie du croyant emprunte alors une nouvelle direction : elle tourne le dos à certains objectifs et à tout ce qui est mal pour suivre d’autres objectifs en accord avec la volonté de Dieu et à tout ce qui est bien. Une véritable relation surnaturelle s’installe avec Dieu et par sa parole dans la Bible, nous apprenons à le connaître et à vivre cette vie divine. Le voile qui était sur le cœur est ôté.

Vous pensez peut-être que certains vices ou certaines obsessions vous disqualifient ? Là n’est pas le problème. Dieu vous prend comme vous êtes et vous changera par son Esprit. Ce qui compte, c’est votre foi en Jésus et votre désir de vous tourner vers lui. Grâce à cette foi, Dieu agira au plus profond de vous pour transformer votre cœur en vous donnant la victoire.

C’est un miracle qui découle de la bonne nouvelle. Cette foi en Jésus, permet d’expérimenter la vie divine ici-bas et pour toujours, car de manière certaine, celui qui croit avec son cœur sera vainqueur de cet ennemi temps redoutable : la mort.

Dieu ne s’imposera jamais, il vous a donné le libre arbitre. Vous pouvez faire le choix de le rejeter et de continuer à vivre dans le péché, mais la mort arrivera tôt ou tard et elle vous conduira dans un endroit conforme à votre choix, qui se traduira par une absence totale de Dieu. Cet endroit s’appelle les ténèbres, l’enfer. Voilà la vérité.

Le Diable et ses démons sont une réalité, les témoignages ne manquent pas à ce sujet et quant à eux, ils ont déjà fait leur choix et vous détesteront toujours pour ce que vous êtes : une créature de Dieu.

Bien des gens rejettent Dieu, s’imaginant que de par son existence, il stopperait définitivement et immédiatement le mal. Une telle vision est purement humaine et démontre la vision obscurcie par le péché que l’homme a de Dieu. En effet, si Dieu agissait comme une telle pensée le suggère, Dieu ne serait qu’un dictateur cherchant à imposer sa dictature. Dieu ne veut pas de robots c’est pourquoi il nous a créés avec le libre arbitre. Dieu est certes au contrôle et finira par stopper ce mal ambiant, mais pas sans avoir permis à toute l’humanité de faire le choix de vivre avec ou sans lui.

Les choses sont simples : Dieu est lumière et en dehors de lui ce sont les ténèbres.  Le monde prend à la légère et rigole avec la notion d’enfer, quelle inconscience ! Certains vont même jusqu’à dire que l’enfer est sur terre. D’autres encore n’ont aucune conscience de ce que signifie l’enfer et s’en moquent. Mais l’enfer est bien une réalité et ne pas en parler n’y changera rien au contraire ! L’enfer n’est que la conséquence du choix conscient de chacun de ne pas venir à la lumière de Dieu dans le seul but de continuer à vivre dans le péché et sans Dieu.

L’enfer existe bien : c’est un endroit où il n’y a plus aucune présence de Dieu et qui se caractérise par tout ce qui est contraire à sa nature divine. Savez-vous que sur terre, c’est uniquement la présence de Dieu qui vous permet de profiter de tout ce qu’il y a de bon, de positif et d’éprouver joie et bonheur ? C’est ce que l’on appelle être sous la grâce. En enfer, il n’y a plus aucune présence de Dieu. Il n’y a donc que mal, tourment et souffrance dans ce lieu. Les nombreux témoignages de personnes ayant expérimenté l’enfer lors d’une mort clinique avant réanimation font froid dans le dos.

« Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme seigneur, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé » (Romains 10.9).

N’attendez plus pour faire le pas de la foi, vous avez tout à y gagner. Cet article n’a pas pour but de vous amener à une quelconque religion et encore moins à une quelconque secte, mais à Dieu seul.

Faites votre propre expérience avec un Dieu vivant qui vous aime tellement qu’il a payé le prix de votre liberté à votre place ! Vous pouvez faire cette simple prière avec un cœur entier et sincère, à haute voix, pour rentrer dans cette grande famille de Dieu :

« Dieu, je te demande pardon pour toutes les fautes que j’ai pu commettre dans le passé. Je te demande pardon pour tous les mauvais actes, les mauvaises paroles et les mauvaises pensées que j’ai pu avoir par le passé. Je veux me détourner de tout ce qui est mal et me tourner vers toi. Je vois qu’effectivement je suis pécheur. Je crois que Jésus est ton fils et qu’il est venu sur la terre par amour pour moi afin de prendre mes fautes sur la croix.

Je crois qu’il s’est livré lui-même pour moi et a été jugé à ma place sur cette croix. Il a payé le prix de mes fautes par amour pour moi. Je crois qu’il a été enseveli et qu’il est ressuscité d’entre les morts le 3e jour par ta puissance.

Dieu, je te remercie de ce que, au nom de Jésus, je reçois maintenant le pardon de mes péchés et ton Saint-Esprit dans mon cœur. Jésus, aujourd’hui, je te reçois dans mon cœur comme Sauveur et Seigneur. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Merci pour ton amour incroyable qui me dépasse et que j’ai peine à comprendre.

Fais de moi celui que tu veux que je sois. Je remets entre tes mains tous les domaines de ma vie. Aide-moi à mener cette nouvelle vie avec toi et à manifester pleinement ton amour dans mon cœur afin que je puisse à mon tour répandre autour de moi cet amour. Dieu, merci de m’accompagner tout le long de cette vie par ta puissance et ton amour. Amen !! »

Maintenant, procure-toi une Bible et apprend à connaître Dieu en commençant par lire l’évangile de Matthieu par exemple, puis tout le Nouveau Testament à partir du livre des actes !

Et crois-le : si tu as fait la prière sincèrement, toutes les promesses que Dieu fait dans la Bible t’appartiennent et tu pourras les expérimenter !! Une seule condition : persévére sur ce chemin et n’hésite pas à revenir sur ce site pour nourrir ta foi si besoin !

Article de Thomas inspiré de plusieurs « paroles du jour » provenant du livre/calendrier « bonne semence 2011 ».

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3 Commentaires

  1. Frei

    Bonjour !

    Vous écrivez :

    Faites votre propre expérience avec un Dieu vivant qui vous aime tellement qu’il a payé le prix de votre liberté à votre place !

    Dans la bible, je lis que Jésus est mort « POUR » sauver les pécheurs

    Mais je n’ai pas trouvé qu’il est mort « à la place » des pécheurs !

    La question :

    « Jésus est mort pour moi » ou Jésus est mort à ma place » ?

    Veuillez me répondre avec des textes bibliques à l’appui, merci !

    Réponse
    • RencontrerDieu.com

      Réponse: les deux sont vrais.

      Pour ce qui est de « a la place », voici quelques versets :

      « Lui le juste, il a souffert pour des injustes afin de vous conduire à Dieu. » (1 Pierre 3 : 18)

      « Celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu. » (2 Corinthiens 5.21)

      « Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes ; la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Esaïe 53)

      Tout cela parle clairement de substitution. « A la place » dans le sens de ces versets: le jugement qui devait tomber sur nous est tombé sur lui.

      Réponse
  2. ella

    A cause de la résurrection de Christ nous aurons droit à cette résurrection, lors de son retour, pour ceux qui sont mort dans l’espérance de notre Seigneur Jésus-Christ : 1 Corinthiens 15: 51-53 et 1Thessaloniciens 4: 16
    Pour l’instant ceux qui meurent, dorment Ecclésiaste et Ps 104 :29-30 et Hébreux 11 : 39-40 car pour l’instant nous sommes encore des mortels jusqu’à ce Jésus – Christ revienne , car Dieu est les seul qui possède l’immortalité 1Tim 6: 15-16

    Réponse

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