Le Nouvel An : une tradition agréable à Dieu ?

par | Jan 28, 2016 | 23 commentaires

Dernière mise à jour : 31/12/2023

Introduction

« Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l’esclavage des rudiments du monde. » (Galates 4 : 3)

Qu’y a-t-il de mal à célébrer le Nouvel An ?

Après tout, les chrétiens ne doivent-ils pas « marcher en nouveauté de vie » (Romains 6 : 4), et n’est-ce pas ce que célèbre, d’une certaine façon, le Nouvel An avec ces fameuses « nouvelles résolutions » ?

À moins qu’il ne soit déconseillé de coudre « une pièce de drap neuf à un vieil habit » puisque « le morceau qu’il en a pris n’est pas assorti au vieux. » (Marc 2:21; Luc 5:36)

Cette étude a pour objectif de nous faire entendre le conseil de Dieu sur cette tradition mondaine; les quelques recherches faites à ce sujet pourraient vous surprendre.

Ce sujet n’a pas pour vocation à causer des divisions (bien qu’il puisse le faire), mais de contribuer à l’édification du corps du Messie (la véritable Église, les vrais croyants) en rappelant aux enfants de Dieu les nombreuses mises en garde de l’Écriture concernant les festivités du monde.

Pour le croyant, les versets de l’Écriture qui l’encourage à le préserver de l’esprit de ce monde, de ses coutumes et de ses pratiques sont nombreux.

Bien qu’ils soient dans le monde pour rendre témoignage de Dieu, publier Ses merveilles par l’annonce de la Bonne Nouvelle (Évangile) et faire connaître la Saine Doctrine (Torah) aux âmes « sans espérance et sans Dieu dans le monde » (selon Éphésiens 2:12), cependant, les croyants « ne sont pas du monde » (Jean 17:16).

Le mélange qui consiste à craindre l’Éternel tout en allant « d’après la coutume des nations » (2 Rois 17:33) ne mène à rien de bon et n’a jamais fait pas bon ménage.

Et si L’Esprit saint rattache le fait de suivre les coutumes des nations au fait de craindre « d’autres dieux » puis de se livrer à un culte idolâtre, ce n’est certainement pas sans raison selon qu’il est dit :

« … ils craignirent d’autres dieux [à cause fait qu]’ils suivirent les coutumes des nations … [résultat :] Ils servirent les idoles dont l’Eternel leur avait dit : Vous ne ferez pas cela. » (2 Rois 17:8,12)

Ainsi, que le croyant ne s’imagine pas qu’en imitant quelques « coutumes des nations » apparemment inoffensives mais sans fondement scripturaires, il s’en sortira indemne. Car la vanité attire la vanité et comme l’eau, elle s’infiltre partout où il y a une brèche selon qu’il est dit :

« Ils allèrent après des choses de néant … [selon] les nations qui les entouraient et que l’Eternel leur avait défendu d’imiter. » Résultat : « ils ne furent eux-mêmes que néant » (2 Rois 17:15)

Ce mélange est d’autant plus nuisible lorsqu’il s’agit de suivre des fêtes païennes dont il est connu qu’elles sont liées de près ou de loin à des divinités païennes (idoles) : ici, il est important de s’en détacher progressivement et avec conviction.

Pour que le libre arbitre puisse s’exercer, il est nécessaire d’entendre ce que dit la Saine Doctrine de manière à ce que chacun puisse juger et faire un véritable choix en vue de la paix selon qu’il est dit :

« Voici ce que vous devez faire : Dites la vérité chacun à son prochain ; Jugez dans vos portes selon la vérité et en vue de la paix. » (Zacharie 8 : 16)

Cette étude sur le Nouvel An est bien entendu loin d’être exhaustive, mais tentera malgré tout d’apporter les quelques éléments principaux que le converti au Dieu d’Israël se doit de connaître au sujet de cette célébration massivement célébrée dans le monde.

Nouvel An : que dit La Torah  ?

Chaque année, le 31 décembre, une large partie du monde fête abondamment le passage à la nouvelle année et la majorité des chrétiens se joint à la même célébration.

Cependant, quelques-uns d’entre eux à travers le monde ne sortiront pas pour célébrer le jour du Nouvel An. Ils ne feront pas de fête et ne seront pas assis pour l’occasion à côté d’un autre chrétien « traditionnel » attaché aux traditions de ce monde récitant machinalement une prière assortie de toutes sortes de voeux pieux pour la nouvelle année.

Pas plus qu’ils ne seront assis seuls en déprimant à la maison souhaitant faire partie de la fête avec le reste du monde qui accueille le Nouvel An.

Au lieu de cela, ils considèreront ce jour comme tout autre jour. Pourquoi ? Parce que ce sont des disciples du Messie Yéshoua (Jésus-Christ) qui ne l’aiment pas seulement « En paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. »  (1 Jean 3 : 18)

Ils désirent retenir fidèlement et exactement les mêmes vérités, traditions et enseignements que le Messie Yéshoua (Jésus-Christ) a transmis à Ses Apôtres, qui à leur tour, les ont transmis à l’Église sanctifiée (mise à part, consacrée pour Dieu) de l’Alliance Renouvelée qui marche selon la piété (Matthieu 28 : 18-20).

Mais quel problème y a-t-il à célébrer une nouvelle année et souhaiter plein de bonnes résolutions et de voeux les plus sincères ?

Certes, il n’est pas interdit de souhaiter une bonne année civile à son prochain, mais suivre la tradition et célébrer la nouvelle année devient beaucoup plus problématique en regard des origines de cette coutume et de ce que déclare l’Écriture à ce sujet comme nous allons le démontrer.

À cette date, beaucoup de chrétiens aiment proclamer une nouvelle année de grâce (en référence à Luc 4 : 19 et Ésaïe 61), pensant bien dire, sauf que cette année de grâce dont parle le Seigneur fait référence à toute autre chose.

L’année de grâce correspond au jubilé, une année instituée par la Loi de Moïse qui revient tous les cinquante ans et qui présage la délivrance messianique.

 

À cette occasion, les esclaves israélites sont remis en liberté et ceux qui ont dû vendre leur patrimoine héréditaire, le récupère (Lévitique 25.10).

 

Le prophète Ézéchiel appelle le jubilé : « année de libération » (Ézéchiel 46.17).

 

Cette restauration périodique voulue par Dieu, est une belle image de l’ère de grâce dont le Messie proclama l’ouverture dans la synagogue de Nazareth, et qui sera pleinement actualisée pendant le Millénium.

 

Le message de la Bonne Nouvelle, c’est-à-dire l’annonce de la grâce de Dieu en la personne de Jésus et en son œuvre de rédemption, s’adresse tout spécialement aux refoulés et malheureux de ce monde. (1)

Autrement dit : aucun rapport avec un quelconque Nouvel An païen célébré chaque année par le monde.

Le converti à Dieu, correctement informé sur la célébration du Nouvel An selon ce monde, ne désire plus imiter ceux qui adoptent cette tradition, car il ne prend pas à la légère la Voix de son Dieu qui déclare :

« Ainsi parle l’éternel : N’imitez pas la voie des nations (…) Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. » (Jérémie 10 : 2)

Il s’agit ni plus ni moins que d’un commandement biblique.

Partout dans Sa Parole, Dieu décrit les « nations » comme étant celles qui idolâtrent la nature (le soleil, la lune, les étoiles, les arbres, etc.), les idoles faites de main d’homme et tout autres culte, coutume et tradition liés à une divinité autre que le seul vrai Dieu.

Il surnomme ces nations et leurs coutumes, païennes (qui adorent les faux dieux, les idoles, étrangers à l’Alliance de Dieu).

Les croyants avertis savent que Dieu ne prend aucun plaisir aux coutumes, pratiques et traditions qui possèdent des racines païennes (idolâtres).

C’est le même Dieu qui, lorsqu’Il sauva les douze tribus d’Israël du pays d’Égypte et les délivra d’un esclavage brutal, leur ordonna ce qui suit :

« Vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays d’Égypte (le monde idolâtre) où vous avez habité, et vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays de Canaan (le paganisme) où Je vous mène : vous ne suivrez point leurs usages. » (Lévitique 18 : 3)

Pourtant, la grande majorité des chrétiens traditionnels ne voit rien de mal à fêter le Nouvel An, comme si Dieu n’avait jamais parlé à ce sujet. Ils ne voient pas « où est le problème ».

Et ils ne font même pas attention à cela ni ne connaissent l’origine des innombrables fêtes païennes qu’ils observent dont le Jour de l’An tient le flambeau.

Mais n’ayons aucune inquiétude si nous faisons partie de ces croyants mal informés а ce sujet selon qu’il est dit :

« Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais. » (Ecclésiaste 7 : 20)

La voie de la repentance est largement ouverte devant nous et invite chacun à revenir à l’autorité des Saintes Écritures.

Et si « l’amour du monde est inimitié contre Dieu » (Jacques 4:4), heureux celui qui décide de rompre avec son erreur et de sauter courageusement en dehors du « train de ce monde » (Éphésiens 2:2), car c’est alors qu’il devient ami de Dieu.

La Vérité sur le Nouvel An : analyse détaillée

Analysons maintenant cette tradition du « Nouvel  An » plus en profondeur au regard de la Parole de Dieu :

De manière générale, L’Écriture nous montre qu’il existe un culte pieux, celui que l’Éternel a donné dans Sa Loi parfaite et véritable, et un culte impie qui profane, renie, ignore et transgresse les lois de moralité et les ordonnances ainsi que les préceptes et prescriptions du Seigneur.

Ce culte impie va à l’encontre de la Saine Doctrine et la piété biblique données par le Tout Puissant à Son peuple afin qu’il se sépare du péché, c’est-à-dire qu’il cesse de transgresser la loi divine, comme il est dit : « le péché est la transgression de la loi. » (1 Jean 3 : 4)

Paul rappellera à Tite que « La grâce de Dieu nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux Convoitises Mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété. » (Tite 2 : 12) ;

« Pour toi, dis les choses qui sont conformes à la Saine Doctrine. » (Tite 2 : 1)

De la même manière qu’il existe un culte pieux pour honorer le vrai Dieu vivant avec entre autres, des Fêtes (Saintes Convocations) а des dates précises, et un Nouvel An « Kasher » observée à une date précise (durant la fête biblique des trompettes/Shofar) il existe aussi un culte impie ayant ses propres dates et son propre Nouvel An pour vénérer des dieux païens, des idoles et des démons (Osée 4 : 6).

Le Jour de l’An fait partie des célébrations liées à des divinités païennes et c’est en cela que cette célébration pose un immense problème spirituel pour tout croyant qui se respecte.

Bien que Le jour de l’An soit fêté de plusieurs manières à travers le monde, le peuple de Dieu doit savoir que le Nouvel An était la Fête principale des babyloniens d’où elle tire son origine.

Le livre « Babylone », publié dans la collection « Que sais-je ? »,  fait cette déclaration intéressante :

« De toutes les fêtes célébrées à Babylone, celle du Nouvel An appelée Fête de « l’Akitu » était la plus importante. »

La fête babylonienne « Akitu »

Akitu (terme akkadien dérivé du sumérien A.KI.TI) est le nom d’une des fêtes religieuses majeures ayant lieu dans la Mésopotamie antique. Présente dans plusieurs des grandes villes sacrées de cette région, sa version la mieux connue est la grande fête du Nouvel An de Babylone qui avait lieu au début du printemps.

Cette fête est probablement liée au cycle agraire à l’origine, commémorant le retour de la nature (Romains 1 : 25).

Elle est dédiée à la divinité tutélaire de la ville où elle est accomplie.

Le Nouvel An à Babylone revêtait une importance particulière, en tant qu’expression de la puissance du dieu local Marduk.

Le dieu local « marduk »

Mardouk, appelé aussi Bel-Marduk, Bellus-Marduk ou Baal-Marduk, est le plus grand dieu babylonien qui siégeait à Babylone dans le grand sanctuaire.

Marduk finira comme dieu suprême du Panthéon. Il acquiert toute son importance sous le règne de Nabuchodonosor Ier, souverain de Babylone de 1125 environ à 1104 av. J.-C. On lui associe le dragon (Mušhuššu) et la planète Jupiter.

Chaque année au Nouvel An, les dieux de Babylone et de Borsippa viennent lui rendre hommage lors des festivités de l’Akitu qui durent 12 jours à compter de l’équinoxe de printemps ; une grande procession s’organise le neuvième jour sur la voie sacrée.

Le huitième et le onzième jour, les dieux se réunissent dans son temple, le saluent avec crainte, se tiennent agenouillés devant lui pendant que les destins se fixent irrévocablement pour l’année entière.

La suppression de ces solennités, en temps de guerre ou de malheurs publics, était une calamité dont on faisait mention dans les annales de la cité.

Ces festivités du Nouvel An étaient marquées par des rites orgiaques et sexuels.

Nul besoin de préciser combien tout cela est en totale opposition à la pure foi monothéiste de la postérité d’Avraham !

Le dieu des Romains « janus »

En 46 avant notre ère (avant J.-C.), Jules César officialisa le 1er janvier comme le Jour de l’An. Il décréta aussi que le calendrier romain serait désormais solaire et non plus luni-solaire.

Les Romains fêtaient le Nouvel An selon le calendrier julien et dédiaient ce jour à Janus, dieu païen des portes et des commencements.

Le mois de janvier doit son nom à Janus, qui avait deux visages : l’un vers l’avant, l’autre vers l’arrière.

Janvier = Janus.

L’histoire de notre calendrier réunit Jules César, le pape Grégoire XIII, d’où le nom de calendrier grégorien venant apporter quelques changements par rapport au calendrier julien.

Depuis l’Empire romain et le calendrier julien, le Jour de l’An est devenu une tradition dont la symbolique est d’honorer Janus, dieu romain à une tête, mais deux visages tournés l’un vers l’avant qui est l’avenir, et l’autre vers l’arrière qui est le passé.

Le mois de janvier a été choisi en hommage а ce dieu de la transition, vigilant gardien des passages, des portes et des croisements.

À chaque premier de ce mois, ce dieu recevait des offrandes. Les projets commencés ce jour-là étaient promis à un bel avenir et son auteur se gardait ainsi de toute paresse pour cette nouvelle année…

N’est-ce pas ce que nous nous plaisons а faire au travers des bonnes résolutions de début d’année, parfois même dans le nom de Jésus, pour honorer Dieu ?

Dieu est un dieu d’équité et il est certain qu’il pardonne notre ignorance. Mais jamais il ne nous laissera trop longtemps dans l’ignorance et si nous sommes sincères, Il finira certainement par nous révéler la vérité au travers d’un frère, d’une soeur, ou d’un article comme celui que vous lisez en ce moment même…

En effet, en matière de sainte célébration, une des façons d’honorer le seul vrai Dieu est d’observer les Fêtes de l’Éternel consignées dans les Saintes Écritures ; ainsi, indépendamment de notre état de conscience, observer le Nouvel An pour célébrer la transition vers le mois de janvier revient à servir le faux dieu Janus…

Le verdict sans concession de l’Éternel

N’oublions pas cette loi spirituelle :

Matthieu 12 : 30 = « Celui qui n’est pas avec moi (qui ne garde pas la Parole de Dieu dans son coeur) est contre moi, et celui qui n’assemble pas avec moi disperse. »

Prenons conscience qu’en suivant ces fêtes païennes idolâtres, nous cautionnons et entretenons des fêtes idolâtres étrangères à l’Alliance et à l’Enseignement de Dieu.

Suivre le Messie, c’est aussi marcher dans le chemin tracé par Son Père, la Torah d’Israël (Saine Doctrine de l’Éternel), et quitter avec zèle les voies sans issue des cultes païens/babyloniens ;

Le soir du Nouvel An, la fête était célébrée en l’honneur de Janus. En France, le Jour de l’An n’a pas toujours été daté en janvier, mais c’est le pape Grégoire XIII qui, en instituant le calendrier grégorien en 1582, généralise cette mesure à l’ensemble du monde chrétien, notamment pour simplifier le calendrier des fêtes religieuses.

Aujourd’hui encore, le monde fête le Nouvel An ainsi qu’une partie de l’Église se réclamant de Dieu : main dans la main avec le monde, c’est une partie non négligeable du peuple de Dieu qui continue de perpétuer la célébration d’une fête païenne dédiée à un dieu païen.

Pire encore : certains chrétiens vont même insister pour que leurs coreligionnaires les suivent dans cette coutume en l’honneur de Janus selon qu’il est dit :

« Allons après d’autres dieux, – des dieux que tu ne connais point, – et servons-les ! » (Deutéronome 13 : 2)

Et Paul de dire : « Si vous êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes … » (Colossiens 2:20)

Le Seigneur, au travers de la bouche de l’apôtre Paul, n’a-t-il pas dit avec la clarté du cristal :

« Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons ; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons. Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ? Sommes-nous plus forts que Lui ? » (1 Corinthiens 10 : 21)

En effet, « Quel accord y a-t-il entre Christ (Messie) et Bélial ? Ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? »(2 Corinthiens 6 : 15-16)

La Parole de Vie ne nous encourage-t-elle pas à ne pas nous « laisser entraîner par des doctrines diverses et étrangères » ? (Hébreux 13 : 9)

Paul n’insiste-t-il pas lorsqu’il déclare aux Éphésiens :

« Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c’est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l’intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur coeur. » (Éphésiens 4 : 17)

Dans beaucoup de pays, la saison des fêtes de fin d’année est une période de divertissements, d’espiègleries et de fantaisies !

Pourquoi des nations, sensément chrétiennes, perpétuent-elles des coutumes antichrétiennes qui font de la vie un cercle sans fin d’activités sociales, momentanément plaisantes, mais largement vides de sens ?

À vrai dire, les assemblées suivant les coutumes païennes ne font que perpétuer l’erreur antique déjà commise au temps de Moïse, lorsque Aaron et le peuple de Dieu faisaient une fête en présence d’un veau d’or et déclaraient honorer Dieu tout en honorant ce que le Créateur déteste :

« Aaron bâtit un autel devant lui, et il s’écria : demain, il y aura fête en l’honneur de l’Éternel !

Le lendemain, ils se levèrent de bon matin, et ils offrirent des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces.

Le peuple s’assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir. » (Exode 32 : 5-6)

Oui, Aaron et le peuple, bien qu’ils faisaient une fête non prescrite par le Seigneur autour d’un faux dieu, pensaient pourtant vénérer l’Éternel dans leur cœur en disant : « il y aura fête en l’honneur de l’Éternel »

Chers amis, voyez la réponse du Dieu vivant à la vue de cela :

« L’Éternel dit à Moïse : Va, descends ; car ton peuple, que tu as fait sortir du pays d’Égypte, s’est corrompu. Ils se sont promptement écartés de la voie que Je leur avais prescrite. » (Exode 32 : 7)

Il est étonnant que tant de chrétiens intelligents rechignent à se renseigner sur les origines de pratiques clairement antibibliques qu’ils perpétuent année après année sans jamais se remettre en question ni chercher à connaître pourquoi ils suivent et aiment ce que le monde suit et aime.

Il est étonnant qu’ils participent à ces coutumes festives et superstitieuses, dont la figure principale est le diable (ici sous l’identité du démon Janus) sans tenir compte, ou en ignorant leurs origines païennes criantes.

Mais prenons garde : que la connaissance ne devienne pas pour ceux qui ont été éclairés, une arme pour détruire leur prochain à cause de l’ignorance qui est en eux.

Lorsque la connaissance vient, l’orgueil s’invite aussi et nous rend parfois si hautains; repoussons-le, il n’a pas sa part dans cette affaire !

Nous-mêmes faisions partie de ces croyants mal informés ; mais une fois la vérité connue, nous avons fait le choix de suivre Dieu et c’est ainsi que l’abandon de cette célébration païenne, sachant qu’il répond à une ordonnance divine, est devenue une joie, et l’opprobre qui pourrait en découler, un honneur selon qu’il est dit de Moïse :

« … aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché, regardant l’opprobre du Messie comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération. » (Hébreux 11:26)

Et encore, n’est-il pas dit :

« Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. » (1 Jean 3:13). Mais voici la consolation des consolations : « celui qui hait sa vie dans ce monde [en cessant d’aimer ce que le monde aime] la conservera pour la vie éternelle. » (Jean 12:25)

L’erreur est humaine, mais la repentance est divine, et l’Éternel Dieu est toujours disposé à faire grâce à tous ceux qui humblement reconnaissent leur forfait.

Nous encourageons chacun à ne plus accomplir ces paroles de l’Écriture :

« Ainsi ils craignaient (respectaient) l’Éternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. Ils suivent encore aujourd’hui leurs premiers usages : ils ne craignent point l’Éternel, et ils ne se conforment ni à leurs lois et à leurs ordonnances, ni à la loi et aux commandements prescrits par l’Éternel aux enfants de Jacob qu’Il appela du nom d’Israël.

En effet :

L’Éternel avait fait alliance avec eux, et leur avait donné cet ordre : Vous ne craindrez point d’autres dieux ; vous ne vous prosternerez point devant eux, vous ne les servirez point, et vous ne leur offrirez point de sacrifices. » (2 Rois 17 : 34-35)

Mais ils ont préféré le mélange et le compromis et ce sont de telles brèches qui ont fragilisé toute la muraille, qui plus tard, s’est effondrée, laissant l’ennemi aller et venir librement au milieu de l’assemblée, bravant l’ordonnance du Seigneur comme il est dit :

« Garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? » (Deutéronome12 : 30-31)

L’Église dans son état général actuel, à n’en pas douter, irrite et déshonore Dieu en suivant si aisément une multitude de fêtes païennes liées à des idoles païennes telles que Noël, le Jour de l’An, etc.

Et c’est ainsi que cette parole de l’Écriture s’est accomplie au sein de l’Église :

« Israël est devenu gras, et il a regimbé ; Tu es devenu gras, épais et replet ! Et il a abandonné Dieu, son Créateur, il a méprisé le Rocher de Son Salut, ils ont excité Sa jalousie par des dieux étrangers, ils l’ont irrité par des abominations ; ils ont sacrifié à des idoles qui ne sont pas Dieu, à des dieux qu’ils ne connaissaient point, nouveaux, venus depuis peu, et que vos pères n’avaient pas craints (…) Ils ont excité Ma jalousie par ce qui n’est point Dieu, ils M’ont irrité par leurs vaines idoles. » (Deutéronome 32 : 15-21)

Gardons bien à l’esprit que le Seigneur de l’univers semble agir comme dans les temps anciens afin de voir ceux qui l’aiment réellement :

« Ces nations servirent à mettre Israël à l’épreuve, afin que l’éternel sût s’ils obéiraient aux commandements qu’Il avait prescrits à leurs pères par Moïse. » (Juges 3 : 4)

Ne soyons pas si étonnés de voir les mêmes erreurs se répéter :

« Les enfants d’Israël firent ce qui déplaît à l’éternel, ils oublièrent l’Éternel, et ils servirent les Baals et les idoles. La colère de l’éternel s’enflamma contre Israël (…) » (Juges 3 : 7-8)

Oui, si l’église n’a pas ou peu de force aujourd’hui, si il y a tant de séductions, de compromis, de souffrances, de signes, de prodiges et de miracles mensongers comme prophétisés pour la fin des temps (Matthieu 24 : 24), et si beaucoup marchent sur ce chemin spacieux qui mène loin du Royaume, étant égarés eux-mêmes et égarant les autres, c’est tout simplement parce que l’Église, depuis bien longtemps, s’est laissée attiédir par son ennemi juré et a cessé de suivre la voie droite du Tout Puissant.

Malheureusement, les paroles de l’apôtre Paul s’appliquent encore à l’église d’aujourd’hui :

« Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu’on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d’une nourriture solide. » (Hébreux 5 : 12)

Le vingt-troisième chapitre du lévitique nous révèle toutes les Fêtes que les croyants sincères doivent observer (observer = étudier et pratiquer selon l’Esprit de vie).

Elles sont dictées par le calendrier DIVIN, et non par celui de l’homme.

Les chrétiens authentiques connaissent les jours qu’ils doivent observer pour honorer l’Éternel Dieu :

 Pessa’h (la Pâque),  La Fête de Chavouot (la Pentecôte), La Fête de Roch Hachana/des Trompettes, Yom Kippour (fête de l’expiation), La Fête de Souccot (des Tabernacles).

Bien entendu, ces temps marqués par Dieu Lui-même nécessitent étude.

Il est sage de commencer par prier l’Éternel pour qu’il nous guide dans l’étude et la mise en pratique de Ses fêtes.

Nous ne devons pas avoir un esprit religieux, légaliste et étriqué, mais l’Esprit de liberté et de joie afin de connaître la vérité en Dieu, car « le Seigneur c’est l’Esprit ; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. » (2 Corinthiens 3:17).

N’oublions pas que le Messie observait les Fêtes de l’Éternel, ainsi que tous les Apôtres (Matthieu 26 : 17-19, 26-28 ; Matthieu 28 : 20 ou encore 1 Corinthiens 5 : 6-8, etc.).

La majorité des chrétiens traditionnels croient que ces jours particuliers n’existent que pour les Juifs.

Dur à dire, mais beaucoup préfèrent observer aveuglément des fêtes païennes instituées а l’intérieur de calendriers conçus par les hommes au service de démons.

Les chrétiens qui connaissent les Écritures et usent de leur discernement ne s’y laissent pas prendre et savent que ce verset est adressé justement au peuple de Dieu qui désire suivre les dates du calendrier de l’Éternel et non celles des païens :

« L’Éternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël, et tu leur diras : Les Fêtes de l’éternel, que vous publierez, seront de Saintes Convocations. » (Lévitique 23 : 1)

Pour nous qui aimons Dieu et qui désirons Le suivre de tout notre coeur à cause de cet amour extraordinaire manifesté en Yéshoua (Jésus), repentons-nous et fuyons de telles fêtes païennes.

Dieu nous bénira, car il n’est pas un menteur et récompense Ses serviteurs, ceux qui le craignent.

Lorsque nous commencerons personnellement à observer les Fêtes ordonnées par Dieu, nous découvrirons des nouveaux trésors d’intimité avec notre Sauveur : cela fait partie du chemin étroit, mais béni de la sanctification.

La Bible et le monde qui nous entourent commenceront à apparaître tels que Dieu les conçoit.

Les frivolités et les fantaisies des fêtes de fin d’année nous sembleront complètement vides en comparaison avec l’intérêt que nous porterons à cette nouvelle connaissance et à sa mise en pratique dans notre vie.

Nous vivrons encore davantage cette promesse de l’Éternel envers Ses fidèles enfants de lumière :

« Alors tu comprendras la justice, l’équité, la droiture, toutes les routes qui mènent au bien. Car la sagesse  viendra  dans ton coeur, Et la connaissance fera les délices de ton âme ; la réflexion veillera sur toi, l’intelligence te gardera, pour te délivrer de la voie du mal. »(Proverbes 2 : 9-12)

Le temps est venu d’ouvrir les yeux sur ce qui se cache réellement derrière les fêtes de fin d’année.

Pour terminer, rappelons-nous de la façon dont Dieu agréa le comportement du roi Asa et ce qu’Asa fit pour recevoir la faveur de notre Dieu :

« Asa fit ce qui est bien et droit aux yeux de l’éternel, son Dieu. Il fit disparaître les autels de l’étranger et les hauts lieux, il brisa les statues et abattit les idoles. Il ordonna à Juda de rechercher l’éternel, le Dieu de ses pères, et de pratiquer la loi et les commandements. Il fit disparaître de toutes les villes de Juda les hauts lieux et les statues consacrées au soleil. Et le royaume fut en repos devant lui. » (2 Chroniques 14 : 1-4)

« Nous, nous sommes de Dieu ; celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute pas : c’est par là que nous connaissons l’esprit de la vérité et l’esprit de l’erreur. » (1 Jean 4 : 6)

 Et si d’autres « chrétiens » non désireux de suivre la vérité vous jugent et vous critiquent, sachez que ce verset leur est destiné, il est utile pour contrer leur discours :

« Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des Shabbats : c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ. » (Colossiens 2 : 16-17)

Ce verset a souvent été mal interprété en chrétienté : plusieurs ont lu ce verset en croyant qu’il n’était pas important de suivre ce que Dieu Lui-même a pourtant prescrit à Son peuple sans jamais l’abolir (Matthieu 5 : 17).

Le texte grec dit « C’EST l’ombre des choses à venir », ce qui change complètement le sens de la phrase.

Le mot grec pour « ombre » est « skia », qui veut dire « image, projection, esquisse, ombre ».

Ainsi loin d’abolir les fêtes de Dieu, Paul fait simplement une comparaison riche en enseignement. S’il n’y a plus d’ombre, il n’y a plus de corps non plus. Or, dans la bouche de Paul, les deux sont bien présents.

Retenons pour notre étude que dans le contexte historique de l’épître aux Colossiens, certaines personnes non converties pouvaient se moquer des croyants au sujet des Fêtes de Dieu.

Ou encore, entre croyants, certains observaient le Shabbat et les Fêtes de manières différentes par rapport à d’autres frères, et étaient donc jugés par ces derniers sur leur façon de pratiquer ces choses.

Mais en aucun cas Paul ne dit que le Shabbat et les Fêtes ne doivent plus être observés, loin de là !

Paul lui-même dira par exemple en Actes 18 : 21 = « Il faut absolument que je célèbre la fête prochaine à Jérusalem. »

D’autres citeront Galates 4 : 10 pour s’abstenir des Fêtes de l’Éternel : « Vous observez les jours, les mois, les temps et les années ! Je crains d’avoir inutilement travaillé pour vous. » Malheureusement, ils ne vous citeront pas le verset précédent : « Mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore ? »

Comment Paul pourrait-il qualifier de « faibles et pauvres rudiments » les Fêtes de l’Éternel qui sont des jours déclarés Saints par Dieu Lui-même alors que Paul observait avec tant de zèle les Fêtes du Tout Puissant ?

En vérité, Paul montre ici que les rudiments du monde dont il parle concernent les faux dieux que servaient auparavant les Galates. Et que dit Paul ici ?

Que ces Galates retournent à leurs anciens dieux en suivant des rudiments liés aux cultes de leurs ancêtres en observant les jours, les mois, les temps et les années, autrement dit, un calendrier profane non biblique qui dépendait de leurs anciennes divinités ; le Nouvel An traditionnel du monde en fait partie !

En chrétienté, beaucoup suivent encore les rudiments dont parle ici l’Apôtre Paul. Ce sont des rudiments liés aux dieux étrangers. La plupart du monde dit « chrétien », il faut le dire, suit de nombreuses traditions païennes des dieux étrangers avec Noël, le sapin, etc. avec un autre calendrier marqué par des temps, des mois et des années non bibliques qu’ils observent.

Le calendrier grégorien est un calendrier non biblique jalonné de traditions païennes.

Certes, nous ne pouvons pas nous détacher de ce calendrier dans la vie courante, et nous sommes évidemment autorisés à l’utiliser tant que nous qu’il reste un outil pour travailler ou dialoguer et que nous ne commençons pas à suivre les célébrations païennes inscrites dans ce calendrier profane.

Mais par contre, nous sommes invités à nous tourner progressivement vers le calendrier de Dieu rythmé par Ses propres fêtes mentionnées dans La Torah.

Beaucoup suivent les préceptes de l’Empire romain, mélangeant des traditions païennes avec un peu de
Bible par-ci et par-là… Il convient d’u mettre un terme.

C’est suivant cette grille de lecture qu’il faut interpréter ce que l’apôtre Paul écrit « dans toutes ses lettres, où il parle de ces choses, dans lesquelles il y a des points difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme celui des autres Écritures, pour leur propre ruine. » (2 Pierre 3 : 16)

Ainsi, Paul ne dénonce pas ceux qui veulent suivre La Torah (Enseignement) de YHWH (L’Éternel) révélée à la lumière du Messie Yéshoua/Jésus, au contraire, il les encourage et dénonce justement ceux qui les jugent et s’attriste de voir encore tant de croyants rester attachés aux rudiments de ce monde.

Il y aurait encore beaucoup à dire.

Nous espérons que cette étude convaincra ceux qui aiment Dieu et qui, étant mues par l’amour de la vérité, sont prêts à suivre la parole de l’Éternel dans l’amour mais sans aucun compromis comme il est dit :

« Car l’Éternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le coeur est tout entier à lui. » (2 Chroniques 16:9)

Qu’il en soit ainsi pour tous ceux qui liront avec droiture de coeur cet article, amen vé amen.

Documents annexes :

dieu janus jour anVoici une illustration du faux dieu païen Janus. Depuis toujours, l’homme a le besoin de se représenter des divinités païennes (provenant de son propre culte), alors que Dieu le Créateur de toute chose ne demande aucune représentation de Qui Il est, car Il est indescriptible.

Mais par amour envers nous, c’est Lui-même qui se révèle à l’homme par Son Fils unique Yéshoua, si nous décidons de Le suivre de tout notre coeur. Jean 14 : 9 = « Yéshoua lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?» Pour voir, il faut d’abord croire. C’est un choix. Celui qui croit verra le Père au travers du Fils.

 

 

idole jour anVoici l’exemple que doit suivre le croyant : détruire toutes les idoles païennes dans sa vie, qui représentent aussi les habitudes au service du monde qui vont contre l’autorité divine.

Pour discerner ce qui ne plaît pas à Dieu, il faut reconnaître ce qui va contre Son Enseignement, mais aussi enquêter sur l’origine de nos pratiques, et s’en détacher, les retirer (ou les détruire) de notre coeur, de notre être, notre corps, notre maison…

Car nous appartenons à Dieu, si du moins, nous reconnaissons Lui appartenir.

« Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous?» (1 Corinthiens 3 : 16) Laissons-Lui alors toute la place, suivons Sa parole et saisissons ses promesses par la foi !

La grâce de Dieu déployée en Yéshoua produira alors en nos coeurs la joie du Saint-Esprit.

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  1. d’après le pasteur et docteur en théologie Vernon McGee, traduit par le pasteur Jacques Iosti[]

23 Commentaires

  1. GINETTE

    Que c’est compliqué d’être les vilains petits canards 🙂 il y a à peut près 50 ans j’ai mis en application toutes ces modifications (calendrier divin) au lieu du calendrier mondain, ça m’a valu des moqueries et des accusassions de sectarisme, et comme j’avais 4 enfants , je devais les mettre à l’abri des (bonnes âmes) qui voulaient les gâter quand même, !!! dur-dur! et la pression du nombre est difficile à supporter , grâce à l’Eternel j’en suis sortie.

    Réponse
  2. Marie

    Bonjour Thomas,

    je cherche une étude sur le nouvel an biblique et notamment les « différents nouvels ans  » fêtés par les communautés juives. Si tu as quelques propositions, merci d’avance

    Réponse
  3. issia

    amen.sois benie

    Réponse
  4. isabelle

    Pour moi il est évident que l’anniversaire a des origines idolâtre, en ce que la cérémonie bougie en plus lorsqu' »on te chante
    « Joyeux anniversaire » c’est toi qu’on célèbre et non Elohim.
    Jean baptiste disait :

    Jean: 3.30 Il faut qu’il croisse, et que je diminue.

    Nous sommes nés dans une nation qui a des traditions idolâtres et il n’a pas été très long pour nous et nos enfants de nous rendre compte que nous faisions fausse route.
    Il nous a fallu que nos enfants soient grands pour nous affranchir de toutes les fêtes païennes qui nous rendaient esclaves.
    Ne pas fêter ses fêtes ne signifie pas ne pas prendre soin de nous et de nos enfants mais juste ne pas y ajouter de levain.

    Jean: 8.36 Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.

    Réponse
  5. Philippe

    Après l’étude sur Noël, un grand merci à vous Thomas et Yannick et à notre D.ieu qui vous conduit dans le partage de vos convictions en toute droiture et simplicité de coeur.
    C’est un combat contre l’ignorance et les strates de traditions que nous supportons trop passivement, se conformer est tellement plus « confortable »! Pour ma part, je n’ai jamais été à l’aise et je ne m’y conformais pas, mais je manquais de repères précis. Alors encore merci de nous les proposer. Après, je reprendrais : que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent.

    Réponse
    • RencontrerDieu.com

      Un grand merci à toi Philippe pour ton commentaire encourageant et motivant pour persévérer au mieux dans les voies droites de l’Eternel. Que Sa Bonne et Puissante Main garde tous tes sentiers, à bientôt pour de nouveaux partages 😉
      Thomas.

      Réponse
    • weiss dominique

      merci pour ces bons enseignements voila ce que mon cœur cherchait depuis longtemps je suis chrétienne des assemblées de DIEU et jamais je n y ai trouve ma place mais depuis que je suis les parachas de Luc Micciche et les cultes de l eglise de beth yechoua je revis jamais je n ai aime les fêtes de noël jour, de l an et tout le reste je me disais il y a toujours quelque chose qui cloche ce n est pas normal j essaie de faire le sabbat le vendredi et désire fortement faire les fêtes de l ÉTERNEL ce qui est juste je ne mange plus de porc en obéissance au lévitiques j ai un problème je ne sais pas faire le shabbath comme je vis seule , le vendredi soir je me mets une paracha je mange et vais me coucher je ne sais pas si c est bien pour cela j aurai besoin d un peu d aide je voudrai me sanctifier d avantage et être dans la vérité un grand bonjour a luc Micciche que j aime beaucoup shalom a tous que D.IEU vous bénisse

      Réponse
  6. Florence

    Merci pour cet article.
    Je me pose une question qui n’est pas en lien direct avec cet article : Peut-on fêter Roch Hachana, le nouvel an Juif en même temps que les Juifs? En effet, Roch Hachana tombe toujours vers fin septembre, mois de Tichri. Or, dans Exode 12 et Lévitique 23, le premier mois de l’année est le même mois que la fête de Pessah donc le mois de nisan en avril généralement.
    Merci d’avance pour l’aide que vous pourrez me donner pour comprendre ces divergences dans les calendriers.
    Shalom.

    Réponse
    • RencontrerDieu.com

      Shalom Florence, oui Roche Hachana est une fête de l’Eternel très importante. Il y a plusieurs « nouvel an » dans le calendrier biblique hébraïque et Roche Hachana, selon la tradition, correspond au nouvel an du calendrier civil qui commémore la création d’Adam. Le 1er du mois de Nissan (avril) correspond au nouvel an du calendrier religieux. Des études sont à paraitre à ce sujet, notamment dans le projet de formation ou cela sera abordé en détail.

      Réponse
      • Florence

        Merci pour la réponse. J’apprends par la même occasion qu’il existe donc un calendrier civil et un religieux. Je vais approfondir mes recherches en attendant l’occasion de lire vos études.
        Merci encore.
        Shalom

        Réponse
        • OUDIN

          Oui Florence je confirme qu’il y a l’année religieuse qui commence le 1er Nissan et une année civile qui commence au 1er du mois de Tishri, comme nous dans notre calendrier grégorien païen il y a l’année civile qui commence le 1er janvier et une année scolaire qui commence courant septembre.

  7. Emma

    C’est bien de pouvoir enfin lire ce genre d’article. J’ai moi même fait une soirée premier de l’an dans une Eglise!
    Je n’ai jamais aimé cette fête et je ne m’y suis pas amusée. J’avais compris cela depuis quelques années et j’ai trouvé le courage de le dire autour de moi ce qui m’a valu de passer pour une penible. Mais maintenant on comprend ce que c’est qu’être dans le monde mais ne pas être du monde (et de l’église parfois aussi).

    Réponse
    • Bernard

      T’en fais pas EMMA, tu n’es pas la seule à passer pour une pénible dans ton Assemblée, c’est également mon cas dans la mienne. On me trouve un peu trop Messianique. Je découvre depuis trois ans les racines hébraïque de la foi, c’est très enrichissant. Je t’encourage à persévérer.

      Cordial shalom.

      Réponse
  8. Françoise

    Je remercie DIEU de m’avoir montrer le vrai chemin

    Réponse
  9. valdo

    Bon article merci, pour ma part ça fait 28 ans que je ne fais plus ces fêtes de noel et nouvel an, Dieu m’a ouvert les yeux sur toute cette idôlatrie et je suis bien content d’être délivré des traditions du monde, j’adore le Père en esprit et en vérité(de qui toute grâce excellente et tout don parfait descendent et chez qui il n’y a ni changement ni ombre de variation. Jacques1:17) en suivant ses commandements ainsi que ses Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes.
    Toutes ses Fêtes et Sabbats seront rétablies par le Messie lui même dans le Royaume ( Esaie 66: 23 et Zach 14: 16-18), donc si on n’est pas prêt à les observer maintenant, on ne sera pas avec lui dans son Royaume.
    Shalom Sabbat.

    Réponse
  10. dufresne

    j’ai brisé tout lien avec les coutumes et les traditions de ce monde. Et s’il y a des choses dont je ne suis pas consciente encore, que le Seigneur me montre. Merci pour votre article. Soyez bénis Aline

    Réponse
  11. Ondine

    Merci infiniment pour cet enseignement cela fait déjà plusieurs années que je ne fais plus les fêtes païennes je me sentais un peu seule qu’elle joie de savoir que d’autres sont éclairés
    Qu’hashem vous bénisse richement en yeshua mashiah

    Réponse
  12. Samuel

    Shalom mes frères Yanick et Thomas, C’est le temps du retour à la vraie racine de notre foi. Que le Très-Haut soutient Ses Serviteurs qui se dispose pour délivrer Son peuple de la gueule de Loup.

    Réponse
  13. Nell

    ca va de sois que pour les anniversaires aussi

    Réponse
    • Yannick

      Bonjour Nell,

      pour les anniversaires, c’est différent. Si ton anniversaire est un culte idolâtre, en effet, c’est très grave. Mais si c’est pour faire plaisir à celui qui le fête, tu te fais alors tout à tous. Un anniversaire n’est pas mauvais en soi à partir du moment qu’il n’y a pas de culte idolâtre, à partir du moment qu’on ne vole pas la gloire du Seigneur.

      Réponse
      • Mélanie LALIRE

        Shalom,

        Je souhaite donner mon avis. J’ai entendu que la Torah ne mentionne pas l’égo. Or, à mon sens l’anniversaire de naissance engendre l’égo et je ne vois pas en cela comment Hashem peut être à l’honneur. De plus, l’exemple donné par le nouveau testament, un anniversaire de naissance, celui d’Hérode, montre bien une fête célébrée par un homme non croyant et désobéissant à Hashem. Comme fin de cette célébration il y a eu la mort de Jean… Bref, de ma vision actuelle des choses et ça n’engage que moi, ça n’honore pas Hashem.

        Que Hashem soit bénit et vous bénisse abondamment.
        Soyez encouragés.

        Réponse
        • isabelle

          Je suis tout à fait d’accord sur ce point d’autan que cette fête est une pratique des nation et n’est ordonnée nulle part par Elohim, que le messie ni les disciples encore moins les prophètes ne le fêtaient, que l’apôtre Paul a bien dit que nous devions être ses imitateurs comme il l’était le Christ qui lui même ne le fêtait pas.

          Que votre attitude soit identique à celle de Jésus-Christ :
          6 lui qui est de condition divine, il n’a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver,
          7 mais il s’est dépouillé lui-même en prenant une condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains. Reconnu comme un simple homme,
          8 il s’est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu’à la mort, même la mort sur la croix. philipiens 2.5-8

          Amos: 5.21 Je hais, je méprise vos fêtes, Je ne puis sentir vos assemblées.

          Nahum: 1.15 (2 : 1) Voici sur les montagnes Les pieds du messager qui annonce la paix ! Célèbre tesfêtes, Juda, accomplis tes voeux ! Car le méchant ne passera plus au milieu de toi, Il est entièrement exterminé…

          un sujet de refflexion…

      • isabelle

        Une erreur s’est glissé dans mon dernier commentaire:
        Nous avons mis très longtemps et NON pas longtemps à nous apercevoir que les fêtes que nous fêtions n’étaient pas agréable à Elohim.
        Et nous avons découvert que derrière ses fêtes se cachait un « amour » factice, apparent, de la bouche seulement.
        Je crois que aimer vraiment c’est autan que nous pouvons pousser nos enfants à Servir le Dieu d’Abraham d’Isaac et de Jacob et son Fils unique sans levain afin qu’il parviennent au salut.
        Que le Père vous donne dêtre puissament guidés dans la lumière de son Fils qui est notre lumière dans ce monde.
        Shalom à tous

        Réponse

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